Le ministre de la Justice et des libertés n'a pas de souci majeur par rapport aux allégations de torture au sein des commissariats et des centres de détention. Devant les députés du PAM de plus en plus insistants sur les cas de torture relevés par certaines ONG, Mustapha Ramid a ouvertement appelé les conseillers à constituer une commission d'enquête s'ils jugent les accusations émises par certains représentants du tissu associatif fondés, tout en notant que les cas soulevés datent d'avant 2012.