Plusieurs membres de la Chambre des représentants évoquent de plus en plus l'éventualité d'un ajournement de la session extraordinaire de la première Chambre, prévue initialement vers la mi-août. Les bruits de couloir indiquent également que les formations parlementaires siégeant actuellement au Parlement ne se sont pas encore mises d'accord sur l'ordre du jour de cette session, qui devra valider les projets de lois que nécessite l'activation de la nouvelle Constitution. Pourtant, rien n'est encore sûr à propos de cette session extraordinaire dont la date ainsi que l'ordre du jour sont arrêtés soit par Abdelwahed Radi, soit par décret du premier ministre Abbas El Fassi.