Le ministre de l'Economie et des finances a indiqué devant les députés que le retard enregistré en matière des textes d'application des banques participatives ne dépend pas du gouvernement. «Le gouvernement n'a aucune tutelle sur BAM», a expliqué Mohamed Boussaïd à propos de la lenteur qui a marqué l'entrée en exercice des banques participatives. L'argentier du pays a insisté à ce que ce sujet ne peut faire l'objet de polémique et que le dernier délai de la mise en œuvre du statut des banques participatives est fixé à fin 2016. Tags: Mohamed Boussaïd BAM Banques participatives gouvernement Maroc