Si les avis divergent sur l'étendue des réformes qui ont été engagées depuis 2012, l'indépendance des magistrats ne semble plus en danger. Face à l'une des plus délicates réformes du Maroc de l'après Constitution de 2011, Mustapha Ramid a dû attendre, sans perdre de temps, les résultats du débat national autour de la question avant de passer à la vitesse supérieure pour boucler le plan législatif sur lequel il s'est engagé. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper