Interrogé sur ses choix de joueurs, le sélectionneur a répondu "Il y a des obligations que j'essaie de remplir par rapport à certains postes en trouvant des joueurs capables d'ajouter un plus " peut-on écouter sur une audio de Radio Mars Mis face à ses contradictions, le sélectionneur s'est même interrogé (tout seul) quant à la question de savoir s'il y a des résultats par rapport à sa tache secondaire de convaincre les joueurs. « Y a-t-il des résultats ou pas ? Telle est la question qu'il faut poser » a-t-il poursuivi avant d'enchainer avec sa réponse. « Avant et depuis une dizaine d'années de frustration, on entendait qu'on n'avait pas de bons joueurs, que les joueurs MRE ne s'acclimatent pas bien avec les conditions Africaines, qu'il n'y a plus de petites équipe en Afrique. On avait alors pris la décision de se diriger vers le joueur local, de créer des écoles de formations... Ce langage n'a plus raison d'exister (supposé depuis son retour et ses victoires) car désormais, on assiste à un virage de critique à 180° puisque nous avons étrangement des bons joueurs et nos adversaires sont visiblement moins forts » s'efforce-t-il de faire admettre à un parterre de journaliste une réalité non vérifiée sur le terrain par des résultats et matchs probants, à moins que la victoire contre Sao Tomé et Principe ne lui sert de match référence !! Concernant nos interrogations sur l'étrange convocation de Jamal Ait Ben Idir, le sélectionneur a profité de ce point de presse pour nous répondre en admettant tout d'abord les contraintes comme dans le cas d'un Assaidi qui n'est peut-être même pas sur la liste de son club. Un Labyad qui a des problèmes avec son club et qui ne joue pas non plus... « Bien sûr, je dois remplacer ces joueurs » a-t-il enchainé sur le manque de compétitivité avant d'ajouter en ce qui concerne Ben Idir. « On constate aussi le retour de Barrada, l'arrivée de Ziyech en sélection et aussi la présence de Jamal Ait Ben Idir, un pilier de ma formation qui n'entame pas comme il faut (chwya) son début de saison »