C'est comme dans les films à séries, tels X-Men, Rocky, Spider Man, Mission Impossible...où l'on dissèque qu'il existe forcément un réel changement sur les suites, sur le comportement des acteurs et du sujet à traiter, car il est évident que la première copie reste, néanmoins, la plus réaliste, la plus attirante, celle qu'on calque intentionnellement dans nos esprits comme un repère ou un document de rappel par rapport à 2, 3, 4, 5... C'est que Fakhir avait voulu nous présenter une autre copie que celle qui s'est distinguée par la manière et par le score face au Congo, mais ne fut pas totalement ménagé par le Burkina, puisque les nouveaux acteurs intégrés pour cette série s'étaient avérés incapables de remplir le rôle intéressant qu'avaient assumés ceux de vendredi dernier et pour cause, les Abrhoun et consorts impliqués cette soirée, n'avaient pu créer cet amalgame désiré et souhaité avec les acteurs de la 1ère Série et c'est ainsi que l'on a relevé certaines hésitations et d'autres interprétations malencontreuses, qui ont ainsi mené à la défaite. Certes, devant une équipe professionnelle et disciplinée des Etalons, mais il faut le reconnaître : les nôtres avaient agi par application inachevée, parfois par fatigue (les revenants du « A »), incompatibilité (Rabeh-Abroun), technique ratée (Nakach, Saâdane)... Aussi, faudra-t-il désormais ne plus changer une équipe qui gagne, dans la perspective d'instaurer une continuelle confiance entre ses composantes et permettre, d'autre part, à ce même Groupe une homogénéité plus renforcée, en ajoutant de temps à autre un ou deux éléments près afin de solidariser l'ensemble de l'effectif...pour de meilleures perspectives bien convaincantes que celles vécues devant le Burkina ! A méditer...