Ils étaient quinze (15) membres fédéraux, depuis leurs élections en 2013 à Mohammédia pour un mandat de quatre ans, pour se retrouver, aujourd'hui, réduit à douze (12) pour siéger jusqu'en 2017 au chevet de la FRMT. On déduit, donc, que trois membres se sont perdus quelque part. En effet, le bureau fédéral est passé, ces derniers temps, par des zones de turbulence (voir L'Opinion du 22 juin 2015) qui se sont calmées après une déchirure au sein du groupe. Quatre démissions d'un seul coup, après une réunion assez houleuse, dont l'une sera rejetée par la suite, celle du vice-président Aziz Laâraf, alors que celle du trésorier, Brahim Aniss, du secrétaire général, M'hamed Lhamidi, et du président de la commission juridique, Maître Mohamed Benhamou, ont été entérinées par le président Fayçal Laraïchi qui en voulait, surtout, à «l'argentier» de la Fédé. Il est vrai que l'argent a été, de toujours, le nerf de la guerre ! Après ces trois départs, et non des moindres, on était, donc, obligé de revoir l'ossature du groupe en procédant à quelques remaniements pour la nouvelle structure suivante : - Président : Rachid Laraïchi Faïçal. - Vice-président : Dalil Guendouz. - Vice-président : Abdelaziz Laârraf. - Secrétaire général : Dr Mohamed Zouhair. - Secrétaire général-adjoint : Abderrahim Aïssaoui. - Trésorier : Mohamed Benhadi. - Trésorier-adjoint : Mohamed Mezzour. - Assesseurs : Mustapha Sahabi, Abdelaziz Tifnouti, Dr Chafik Sader, Mohamed Sahli et Younès Lbaïbi. Ce remaniement qui a touché, également, la commission de «développement» qui a trouvé un «meilleur preneur» en la personne du Docteur Sader et celle du «juridique» qui a été confiée au «Khouribgui» Aïssaoui. Espérons, en cette période de vœux et de piété, que d'ici 2017, Inch'Allah, notre petite balle jaune évitera de pareilles discordes qui ne font que ternir l'image du tennis national qui n'est pas à sa première désillusion.