Certains hommes politiques tiennent à partager leurs expériences avec le grand public, avec ceux qui sont un peu loin des arcanes du monde du pouvoir et des décisions. Ils expliquent des positions, des choix, des résolutions qui ne concernent pas (...)
img class="responsive" style="display:none" src="https://www.libe.ma/photo/art/grande/35129532-31904307.jpg?v=1561636687" alt="La fragilité de la vie dans "Rue du Pardon" de Mahi Binebine" title="La fragilité de la vie dans "Rue du Pardon" de Mahi (...)
«Les infortunes de l'identité culturelle» est le titre du collectif paru dans les publications de l'Université internationale de Rabat. Il s'agit d'un ensemble de textes produits par des écrivains, des journalistes, des universitaires et des (...)
La scène culturelle marocaine se voit enrichie par une nouvelle revue : Din Wa Dounia. Son premier numéro trace certainement le chemin qui depuis l'édito, superbement écrit par son directeur de la publication et de la rédaction, Souleimane (...)
Vient de paraître chez les éditions Toubkal le nouveau recueil de poèmes du poète marocain Yassin Adnan. Cet opus s'ajoute à l'oeuvre déjà entamée par la production prolifique composée d'un florilège de poèmes et de nouvelles. On compte déjà à (...)
La parution de l'audacieux livre de Samuel Hunkington « Le choc des civilisations » en 1996, a provoqué une controverse et suscité une grande polémique, donnant ainsi lieu à de nombreux débats. L'auteur précise que les conflits qui régissent le (...)
«Dans ce travail, Cordoue nous accueille à bras ouverts en nous permettant de nous balader dans ce patrimoine de l'humanité» a bien dit le maire de cette ville espagnole dans son texte présentant l'exposition «Cordoue, ville des cultures» de (...)
En 2005, trois danseurs marrakchis défient le monde et lancent la première édition du Festival international de la danse contemporaine de Marrakech. Taoufik Izeddiou, Said Ait El Moumen et Bouchra Ouzgen, fondateurs de la Compagnie Anania, n'avaient (...)
Il y a des livres qui ne se prêtent qu'à une seule lecture. Quand on les relit, on a l'impression de gaspiller du temps, on sent que le récit a déjà perdu de son mystère, que ce principe de la découverte qui est à l'origine de l'attachement du (...)
On parle ici d'une ville de l'ancienne province de Galilée sur la rive nord-ouest du lac de Tibériade (ou lac de Génésareth) au nord de la Palestine historique. Une ville complètement détruite par un séisme en 746. Elle a été reconstruite un peu (...)
Mohamed Hmoudane en a trouvé une dans son dernier livre « Le Ciel, Hassan II et Maman France » paru aux éditions de la Différence à Paris, au mois de juin 2010. Une autobiographie romancée de 222 pages où l'auteur fait des va-et-vient incessants (...)
La chanson parle d'une dame qui se rappelle l'ambiance dans laquelle elle a rencontré et perdu à la fois son amant. Le souvenir est tellement vivant dans son esprit qu'elle revoit encore la vie en fête. Il s'agit d'une fête où tout le monde s'adonne (...)
Parcourant des chemins différents, ils se sont tous rencontrés à la croisée des chemins. C'est dans une vieille masure qu'un nombre de démunis élisent domicile, cherchant seulement à être à l'abri de la rudesse de la vie, de ses griffes qui ont déjà (...)
«Des mots brûlés pour la dignité». Tel était le titre de la pièce de théâtre présentée par la troupe «Aljil Assaîd» de Marrakech à la salle des spectacles, au sein de la délégation du ministère de la Culture. Une pièce qui a drainé non seulement le (...)
Ils se croisaient dans les couloirs de l'Institut français de Marrakech. Ils se disaient à peine bonjour parce qu'ils se connaissaient de vue. Parfois, il arrivait à certains d'entre eux, debout devant le même rayon, de tendre au même temps la main (...)
Autour d'une table ronde, le premier jeudi de chaque mois, à l'Institut français de Marrakech, se réunit un nombre de férus du livre, dans le cadre du club de lecture, pour débattre d'une thématique, d'un livre, d'un courant littéraire ou tout (...)
«Dans Tazmamort », le livre d'Aziz Binebine, la mort côtoie la vie. Elle ne fait plus peur ni aux personnages ni aux lecteurs. On se familiarise avec elle comme dans les champs de bataille, sauf que les extinctions là sont lentes. On ne disparaît (...)