La contribution de la demande intérieure à la croissance économique s'est maintenue à un niveau faible d'une année à l'autre se limitant à +0,6 point au T1-20 au lieu de +0,8 point une année auparavant, apprend-on de la note de conjoncture de la DEPF. Le rythme de progression de la contribution de la demande intérieure à la croissance économique n'a pas dépassé +0,4% contre +0,6% un an auparavant, découlant principalement d'une baisse de l'investissement de 4,8% au lieu de -4,5%, amputant ainsi à la croissance du PIB de -1,4 point contre -1,5 point. De son côté, le rythme d'accroissement de la consommation des ménages est revenu de +2,7% à +1,4%, soit une contribution d'à peine +0,8 point à la croissance économique contre +1,6 point au T1-19. Pour sa part, la consommation finale des administrations publiques a progressé de 6,2% au lieu de +3,4%, affichant ainsi une contribution à la croissance de +1,3 point contre +0,7 point.