Dans les pâturages du Gharb, les végétations se font rares. C'est la première conséquence du retard des pluies enregistré dans tout le royaume. Les éleveurs scrutent le ciel depuis plusieurs semaines, dans l'attente de précipitations salvatrices. Un retard inédit qui inquiète sérieusement les agriculteurs puisque les difficultés commencent à se faire ressentir. Malgré une abondance il y a tout juste quelques mois, la pluie n'est pas tombée en quantité suffisante sur la région et une grande partie du pays. Depuis près de deux mois le secteur en pâtit. . Une situation qui risque de perdurer encore selon la météorologie nationale qui prévoit encore pour quelques temps une tendance plutôt sèche. Du côté des professionnels, tout l'enjeu est de pouvoir atténuer les pertes et limiter les dégâts d'ici au retour de la pluie.