Il est l'artisan de la transformation économique, politique et sociale du Royaume. En 17 ans de règne, le Roi Mohammed VI a su impulser, avec clairvoyance et pragmatisme, une autre dynamique au Maroc. Faisant du Maroc un pays qui bouge, se modernise et qui joue un rôle de plus en plus important sur la scène internationale. Le Roi, notre Roi, est un visionnaire. On peut le dire sans concession. On peut s'en glorifier. Et il suffit de voir ce qui se passe actuellement dans la région pour s'en convaincre. Et les jaloux et les envieux n'ont qu'à continuer à se morfondre et à essayer de nous savonner la route. Cela n'empêchera pas le Maroc, sous la conduite éclairée du Souverain, de poursuivre son cheminement vers la modernité. Le Maroc d'hier n'est pas celui d'aujourd'hui et ne sera certainement pas celui de demain. Le pays n'avance pas à l'aveuglette, il trace sa route en s'appuyant sur un schéma de développement économique clairement défini. Entre réformes structurelles, infrastructures d'envergure, diversification des partenaires et un ancrage toujours plus fort en Afrique, le Roi a véritablement donné au pays de nouvelles opportunités pour asseoir une économie forte capable de se mouvoir valablement dans l'univers multidimensionnel de la mondialisation. Et cette approche, sans conteste, paie : les investisseurs étrangers se bousculent au portillon du Royaume, les bailleurs de fonds sont séduits et l'étendard marocain flotte actuellement dans de nombreux pays africains. De fait, ce n'est pas pour rien que le Maroc est cité comme modèle dans la région. Un modèle de développement économique, tant les chantiers structurels lancés jusqu'à présent démontrent leur pertinence. Un modèle de stabilité politique, eu égard à tout ce qui se passe autour de nous. Un modèle en tant que partenaire fiable et crédible, notamment dans la lutte menée farouchement contre le terrorisme. C'est dire que le Souverain est actif sur tous les fronts. Et de par les actes qu'il pose au quotidien et son aura internationale, il nous semble plus que légitime, de temps à autre, de lui rendre modestement hommage. D'où ce spécial consacré à ses 17 ans de règne.