Des bandes criminelles sillonnent les plages marocaines et sèment la terreur chez les touristes.. Voilà en substance ce qu'écrit un autre journaliste, I'Espagnol Ignacio Cembrero pour ne pas le nommer, dans le quotidien espagnol La Vanguardia. Un écrit honteux car plein de contre-vérités, mensonger et même diffamatoire. C'est comme considérer Madrid comme un bastion du crime parce qu'un voyou s'est attaqué à un passant dans «el centro de ciudad» ! Autant dire, que, de faits divers isolés, il en fait tout un chaos imaginaire avec le seul objectif de ternir l'image du royaume. Encore une fois, à qui profite le crime ? Je vous laisse imaginer la conclusion tout en vous rappelant que ce même Cembrero a été exclu du Maroc, alors qu'il occupait le poste de correspondant du prestigieux El Pais qui l'a, depuis, mis dehors pour manquement aux règles de déontologie. L'homme était habitué à cracher son venin dans la soupe chérifienne en plaçant dans son viseur les problèmes du pays tout en en exagérant la teneur. C'est d'ailleurs l'un des journalistes occidentaux qui se disait spécialiste du Maroc et qui prédisait une révolution sanguinaire lors du Printemps arabe. Quelle fut sa déception en constatant que le royaume s'est magistralement démarqué de son environnement régional! Cela ne l'a pas empêché de continuer à verser dans un journalisme pour le moins haineux envers le Maroc, qui reste néanmoins totalement indifférent, comme il le fait à juste titre avec tous les journalistes prédateurs