Les professionnels sont déçus par le caractère «timide» du projet de loi de Finances, qui n'est pas en mesure de relancer le secteur. Pour bénéficier du taux réduit de 3%, l'acquéreur du logement social doit l'affecter à son habitation principale pendant 4 années consécutives à compter de la date du contrat d'acquisition définitif, sous peine d'application du taux de 4% et le cas échéant de la pénalité et des majorations prévues. Alors que la Fédération nationale des promoteurs immobiliers (FNPI) avait récemment organisé une sortie pour une «relance du secteur», la publication du PLF n'a pas réellement répondu à leur attente. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper