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«Dbibina» : L'idiot même pas utile aux adversaires du Maroc, et fils indigne
Publié dans Barlamane le 09 - 01 - 2025

"Dbibina" le pensait plus intelligent, Aboubakr Jamaï, et surtout plus introduit. Et "Dbibina" constate que cet homme, décidément, plus personne ne veut l'interroger ou, plus précisément, l'instrumentaliser. Alors Jamaï va gratter les fonds de tiroir, où il trouve l'un des seuls qui souhaite encore entendre ses ''vérités'', Francisco Carrión du site El Independiente. Il est quand même curieux que ce rejeton d'une si illustre famille de patriotes et de nationalistes accepte de s'entretenir et de déverser toute sa haine et toute sa rancœur sur son pays à un journaliste connu pour son non-professionnalisme et ses partis-pris.
Jamaï est présenté comme le doyen de la Donna Dillon Manning School of Global Affairs de l'American College of the Mediterranean. Titre pompeux, nom très long, englobant tout, sans rien de précis, et où notre héros est le doyen. Ok. Il est aussi présenté comme celui qui a dû fermer son journal en 2010, en expliquant que "le journalisme sérieux est devenu impossible au Maroc aujourd'hui", mais oubliant de dire que le journalisme sérieux est aussi celui qui paie ses salariés et leurs cotisations sociales ; en effet, c'est suite à une plainte de la CNSS que son journal avait été fermé, mais ça, il ne le dit pas, Jamaï, et Carrion ne cherche pas trop non plus à approfondir. Le plus important est que le journal a fermé et que c'est l'Etat qui l'a fermé !
Le reste est du même tonneau. Des questions idiotes, restant sur la logique des années 70 du siècle dernier, c'est-à-dire le journaliste espagnol téméraire qui pose des questions auxquelles personne n'a jamais pensé, du type ''comment est observé le Maroc depuis l'étranger ?'' ou encore ''quel est le résultat du gouvernement ?'' ; et bien sûr des réponses de héros, Jamaï dans le rôle du vieux sage, de l'observateur averti à qui on ne le fait pas, celui qui sait et qui ne dit rien. En fait, "Dbibina" pense que Jamaï est plein de ressentiment contre le Maroc, son Roi et même les amis du Roi. Comme d'autres, la notoriété lui est montée à la tête, il s'est peut-être vu promis à un grand avenir mais quand son projet a fait faillite, il est devenu enragé, imputant la responsabilité au gouvernement. Et il y a toujours des journalistes enragés et haineux comme Carrion pour le croire.
En lisant la réponse de Jamaï sur la question de savoir ce qu'il pense du plan d'autonomie marocain, "Dbibina" a eu très mal pour Khalid Jamaï, le père d'Aboubakr, et pour Boubker, son grand-père, nationaliste de la première heure. En effet, le rejeton (comme rejet) déroule un argumentaire comme s'il lui avait été soufflé par les Algériens ; à le lire, on a le sentiment qu'on lit une dépêche de l'agence Algérie Presse Service. À l'écouter, le Polisario agit de lui-même et travaille avec intelligence pour le bien du ''peuple sahraoui''. C'est triste et c'est affligeant, regrette "Dbibina", mais c'est en même temps normal car son interviewer est le même qui défend toujours le Polisario, juste parce qu'il n'aime pas le Maroc. Ailleurs, dans un autre pays que le Maroc, on aurait appelé le comportement de Jamaï une haute trahison et les Marocains auraient cherché à le juger. Mais non, au Maroc, l'unanimité est telle autour de la question du Sahara qu'on préfère opposer l'indifférence et le mépris pour cet homme renégat issu d'une si grande famille de nationalistes. Et oui, se dit "Dbibina", parfois des chiens donnent des chats !
Ce Jamaï, remarque encore "Dbibina", qui dit qu'il n'y a pas de liberté d'expression au Maroc et qu'il n'y a que de la répression, raconte pourtant dans son interview qu'il vient au Maroc, qu'il rencontre des jeunes, qu'il leur parle. Et personne ne lui cherche de problèmes. Alors, liberté ou pas, Monsieur Jamaï ? Mais bon, "Dbibina" connaît la mauvaise foi de ses semblables.
Bouffé par le complexe du colonisé, pour lui, Aboubakr Jamaï, il n'y a que la démocratie à l'occidentale qui marche et il n'y a que les notes de Freedom House qui comptent. Il persiste à juger son propre pays à ces mesures qui ne fonctionnent plus depuis longtemps, et il pense que quelqu'un va le croire ! Alors, pour être sûr qu'il sera lu, il fait dans le drame : ''oui, il y aura d'autres soulèvements'', car le premier, selon lui, dans le Rif, a été réprimé par le pouvoir. "Dbibina" apprend donc autre chose sur cet homme aigri : il ment, tout simplement. En effet, "Dbibina" sait qu'il n'y avait pas eu de soulèvement dans le Rif, mais des émeutes urbaines dans une partie de la ville d'al Hoceima. Pour Jamaï, l'Etat a réprimé, mais les blessés étaient tous à compter dans les rangs des forces de l'ordre, dont des blessés graves. Cela, Jamaï ne le dit pas et Carrion ne s'en préoccupe pas ; l'essentiel est de diffamer, d'insulter, de noircir le tableau, de cracher le venin qui vous consume de l'intérieur.
"Dbibina" est ulcéré par ce discours nauséabond, nauséeux, de Jamaï. Il s'exprime comme un... "Dbibina" ne trouve pas le mot. Renégat ? Apatride ? ou peut-être, plus simplement, paumé ? Là où le Maroc marque des points à l'international, lui renie, et là où le Maroc affiche une grande assurance, lui dit que c'est de l'arrogance. Il ne comprend pas que les Français et les Espagnols aient reconnu, chacun à leur manière, que le Sahara dit occidental est marocain.
Aboubakr se vend comme un grand érudit, un grand penseur, sans pensées... autres que celles qu'il marine dans le nihilisme le plus crasse. Il déroule des raisonnements classiques sur l'occident, sur ce que veut la France et les Etats-Unis et il défend des raisonnements dépassés qui ne montrent rien d'autre que le fait qu'Aboubakr Jamaï est devenu sans le savoir, ou en le sachant peut-être, l'idiot même pas utile de journaleux européens qui n'ont rien compris à l'évolution des choses.
Là encore, "Dbibina" a de la peine pour ce type et se prend à penser au père d'Aboubakr, Khalid, cet homme qui n'avait jamais eu la langue dans sa poche, qui critiquait mais ici, au Maroc, et avec respect. Que Dieu ait son âme.
Aboubakr Jamaï, finalement, aura connu plusieurs périodes dans sa vie professionnelle, avec à ses débuts, l'âge d'or de son "Journal", puis de son "Journal hebdomadaire". Et c'est là où son ego a commencé à lui nuire. Au lieu d'essayer de sauver son magazine de la faillite et de la mauvaise gestion, il a préféré jouer au martyre, fermer l'entreprise, crier au harcèlement et s'autobannir du Maroc. Il s'envole pour les Etats-Unis où il a tenu sporadiquement des rubriques dans des journaux américains de prestige ; puis, revenu en France, il a baissé de plusieurs crans, en répondant aux sollicitations du "Monde", qui fut le quotidien de référence, avant de sombrer dans une forme de néocolonialisme débridé, nécessitant des plumes payées et aigries, comme Jamaï.
Et il atterrit ensuite à France24 et RFI, dont les agendas et les lignes éditoriales sont notoirement connues. Aujourd'hui, seul un obscur site espagnol, pompeusement appelé "El Independiente", est resté pour lui tendre un micro ! Il finira, sans doute, vu son cheminement hachuré et son ego maladif, comme pigiste dans ''Annahar al Jazairya'', qui lui jettera quelques miettes, avec l'assentiment assuré de la junte militaire !


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