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"Dbibina" : aussitôt sorti de prison sur grâce royale, le violeur Raissouni devient l'ami des pro-Polisario
Publié dans Barlamane le 02 - 09 - 2024

''Qui se ressemble s'assemble'', ''birds of a feather flock together'', '' معا من شفتك شبهتك''... Il doit y avoir quelque chose de vrai là-dedans ; tant de cultures ne peuvent se tromper en ayant la même conception d'une situation.
Dbibina se repasse ce proverbe en boucle, dans les langues qu'il connaît, depuis qu'il a lu sur « El Independiente », un des journaux espagnols phares de la « fachosfera » (esfera fascista-la sphère fasciste), dixit Pedro Sanchez, l'entretien accordé par Raissouni au très marocophobe Francisco Carrion, un sous-fifre de Ali Lmra-bête et de Ziane et aussi du très sombre Khaled Drareni, l'agent algérien au sein de RSF, qui ne sait plus à quelle allégeance se vouer et laquelle trahir.
Qui se ressemble s'assemble, Raissouni ressemble à Carrion et ils s'assemblent autour de leur aversion pour le Maroc et les institutions marocaines !
Raissouni a été libéré sur grâce royale il y a seulement un mois et voilà qu'il va se placer entre les mains de ce site espagnol et de son journaliste qui vouent une haine aussi féroce qu'inexplicable au Maroc.
Dbibina se dit qu'on peut ne pas aimer quelque chose ou quelqu'un, et qu'on peut les critiquer, de façon constructive ; mais quand on ment, qu'on invente des faits imaginaires, qu'on emploie des mots bien précis, alors cela dénote de cette haine maladive, obsessionnelle, excessive.
Et Dbibina de se rappeler cette sagesse de Talleyrand qui disait que ''ce qui est excessif est insignifiant''. Les deux complices de haine et de rancœur Carrion et Raissouni sont donc très insignifiants.
Dbibina réfléchit donc à l'expression de cette insignifiance, en relisant ce dernier entretien accordé par le toujours condamné et donc toujours violeur Raissouni, à ce Carillon qui se dit journaliste et qui n'est en réalité qu'un ombrageux activiste de l'extrême droite...en somme un franquiste maurophobe.
Il faut lire les écrits passés de ce Carrion sur le Maroc et le Sahara, des écrits qu'on a du mal à classer dans la catégorie articles de presse ; ce ne sont pas des articles, en effet, mais de véritables réquisitoires à la mode stalinienne, c'est-à-dire à charge et sans preuve.
Les institutions marocaines sont à ses yeux criminelles et corrompues, le polisario est formé de « courageux zouaves », et tout prisonnier au Maroc est forcément, nécessairement, un ''prisonnier politique''.
Et c'est à cet individu que Raissouni a accordé un entretien ! Et que dit-il, dans cet entretien, ce plumitif qui se présente comme journaliste, métier qu'il a effectivement exercé au « temps pudibond des cerises islamistes », avant de devenir violeur et d'etre condamné pour avoir agressé sexuellement un jeune homme ?
Il dit sa vérité et sa vérité est que tout le monde ment, sauf lui ; la preuve ? Il affirme que l'ONU, le parlement européen, les ''militants'', les ''démocrates'' le soutiennent contre 'cet affreux régime marocain qui le tourmente'.
Dbibina hoche la tête, se disant que l'argument est aussi vieux que dépassé, aussi facile que peu crédible, et surtout faux et mensonger !
Alors comme ça, pense Dbibina, son accusateur n'avait rien à faire ce jour-là quand il a été dire à la justice, qu'il a été violé par Raissouni !!! Aucun homme ne dit ça quand c'est faux, et aucun violeur ne reconnaît avoir violé, ne serait-ce que parce qu'il craint l'autre 'justice', celle des prisons ; en général, un violeur rime avec menteur et manipulateur, comme Raissouni.
Dbibina trouve un autre exemple de ce caractère manipulateur de Raissouni, en lisant cette phrase de son entretien, dans laquelle il dit attendre ''une décision politique de démanteler des dizaines de journaux diffamatoires appartenant aux responsables des basses œuvres et des assassinats moraux d'opposants et d'intellectuels indépendants''.
Pchakhhh, comme dirait l'autre !! Alors donc voilà ce journaliste qui, non seulement se présente comme le seul qui détient la vérité, mais quand ses confrères ne pensent pas comme lui, il faut les démanteler. Pas les fermer ou les suspendre, non, les démanteler, les dé-man-te-ler !! En voilà un grand défenseur de la liberté d'expression, pense Dbibina.
Ce grand éradicateur est encore plus inquiétant quand il reprend à son compte les arguments et mots de ces ''grands démocrates'' que sont la Jamaa al adl oual Ihsane ou Annahje Dimocrati (qui a d'ailleurs organisé une réception en son ''honneur'', si on peut encore parler d'honneur concernant Raissouni). Ces deux groupes disent que ''la Grâce Royale est une correction des erreurs judiciaires'', que ''le Roi n'a pas gracié mais réparé les erreurs judiciaires'' et que ''l'arrestation des journalistes se fait sur la base de dossiers fabriqués'', et Raissouni reprend les mêmes arguments, balayant toute la dimension humaine de la décision royale de le gracier.
Dbibina constate que Raissouni est le seul parmi les détenus graciés à avoir agi comme ça, les autres détenus étant moins belliqueux.
Dbibina a compris : Raissouni se prend pour un dur à cuire, qui dicte au Roi sa conduite judiciaire, qui insulte les institutions, qui accuse tout le monde de tout et de n'importe quoi... Après tout, il dit avoir fait une grève mielleuse de la faim record.... de 122 jours. 122 jours ! Ça se saurait si ça avait été le cas, et il en aurait encore des séquelles, alors qu'il semble très bien se porter !
En un mot, Raissouni veut faire de son séjour en prison un tremplin pour annoncer son « coming out » qu'il n'arrive pas encore à assumer, et c'est ce qui explique toute sa colère contre le système. Dans sa rage, il prend comme référence Julian Assange, un temps soupçonné de viol de deux suédoises, il parle de lui-même à la troisième personne, il se permet d'apostropher le Roi et ose même qualifier Feu le Roi Hassan II de dictateur.
Dbibina pense aux anciens détenus politiques des années de plomb : eux avaient de la prestance et ils étaient estimés de leurs propres adversaires, car ils n'insultaient pas, ils développaient des idées, échangeaient des analyses, ne s'autoproclamaient pas ''journalistes d'investigation'', ne se précipitaient pas vers les médias ennemis de leur propre pays pour insulter et injurier... Raissouni, lui, est un vulgaire éradicateur qui se révèle, un provocateur qui fraie avec des militants pro-polisario, un violeur homosexuel, un homme très imbu de sa personne, qui ment comme tout pervers narcissique qui se respecte, à défaut de pouvoir convaincre.
Alors il s'en prend à tous ceux qui ne voient pas le monde comme lui. Mustapha Ramid est attaqué car Raissouni lui prête des propos dangereux et le fait passer pour un comploteur ; le Syndicat de la Presse est à ses yeux formé de traîtres à ''sa'' cause ; le Roi n'est pas ménagé, même s'il l'a gracié, même malgré son geste humain et positif... seuls les étrangers trouvent grâce à ses yeux.
Dbibina arrive à la fin de l'entretien et là, bien qu'il n'aime pas ce mot très fort, il ne peut s'empêcher de penser à la ''trahison''. En effet, comment qualifier quelqu'un qui demande la libération des condamnés du groupe de Gdim Izik, ces individus qui ont été filmés en train d'égorger de jeunes pompiers désarmés, avant de souiller leurs dépouilles ?
Dbibina, comme Raissouni, comme l'ensemble des Marocains, comme le monde entier, ont vu ces images révoltantes ; comment peut-on demander leur libération sans être un félon ? se demande Dbibina.
Mais Dieu merci, conclut Dbibina, le Maroc est bien au-dessus de ce type d'individus qui se considèrent être le nombril du monde, qui vivent toujours dans l'idée du martyre. Le royaume est apaisé, réconcilié avec lui-même, sa population est sereine et confiante, et elle gère ses problèmes de la manière la plus paisible qui soit, avec ses institutions, son opposition, ses militants qui respectent les règles, son Etat qui veille au développement du pays...
Et des gens comme Raissouni, Lmra-bête, Jamai, Ziane peuvent continuer de s'appuyer sur des mercenaires haineux comme Carrion ou Ignacio Sombre-Héros, ils ne gagneront rien d'autre que le mépris général, encore plus grand que la haine qui les anime.


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