Le gouvernement vient d'être interpellé pour la énième fois par les parlementaires sur le retard dans la mise en oeuvre de l'officialisation de l'amazigh. L'Exécutif renvoie, comme à l'accoutumée, la balle au Parlement. Une grande responsabilité incombe au chef du gouvernement pour que le dossier soit débloqué au sein de l'institution législative au cours de cette session printanière. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper