«Tous les éléments entre les mains de la justice prouvent la constitution d'un crime», a fait valoir le magistrat. Mohamed Ould Abdel Aziz est accusé d'avoir «accumulé une très grande fortune que ses revenus légaux ne peuvent justifier» et d'avoir exercé «des activités commerciales incompatibles avec ses fonctions de président de la République» de 2008 à 2019. Le procureur a également évoqué « un enrichissement illicite condamné par la loi », réclamant la confiscation des biens de l'ancien chef d'Etat.