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Télégramme
Publié dans L'opinion le 04 - 02 - 2010

Pas de doute, avec la réfection des trottoirs, le renouveau du jardin d'Essai, réouverture dans un mois, la voie pour les 2 roues, etc… la ville de Rabat veut donner à l'avenue An-Nasr un cachet genre Champs Elysées. Il faudra au préalable attendre le plan d'aménagement pour autoriser les R + 2 et + 3, pas plus, pour voir la machine immobilière qui exigerait chez certains l'ablation de la vésicule biliaire. En fait, c'est un projet qui remonte au temps de Basri qui n'a pas vu son rêve se réaliser. Les appétits des uns et des autres dépassaient les prévisions. Aujourd'hui que la tempête de la grande spéculation est passée, des mesures de protection et de préservation, comme on l'a fait pour les Oudayas, et qui n'ont profité ni à Driss ni à Yahya, l'avenir de cette zone est appréhendé avec sérénité même si dans la zone voisine, l'Agdal, le m2 est entre 23 et 30.000 dh. stop
Qui fait quoi dans la capitale où on parle de cacophonie ? Quand on pose une question précise à la wilaya, sur un sujet donné, il arrive qu'on vous réponde « voyez avec le Conseil de la ville » qui peut vous répondre, à son tour, que « ça concerne la wilaya » quand ce n'est pas le ministère de l'Intérieur. Lors de la première crise du transport en commun, tout le monde était concerné, mais personne n'est arrivé à prendre une décision. Même quand le ministère de l'Intérieur, sous la coupe de Benmoussa, est intervenu, il n'y a pas eu de solution, tant les responsabilités étaient partagées, sans résultat probant. Mais il faut dire que Benmoussa, drapé dans la nouvelle conception de l'autorité, n'a pas utilisé la manière forte pour résoudre la crise.
Malheureusement, en ce début de l'an 2010, c'est toujours le flou artistique entre la wilaya, le Conseil de la ville et l'Intérieur. A chaque fois, on entend « voyez avec l'autre… ». Mais nous n'irons pas jusqu'à regretter l'époque du gouverneur ordonnateur qui était seul maître à bord et qui décidait de tout. stop.
Au festival du court métrage à Clermont-Ferrand, le Centre Cinématographique d'ici, qui s'accapare déjà festivals et festivités, de Tanger à Lagouira – beau site – a envoyé un fonctionnaire du merkaz cinimaï, celui-là même qui dispose d'une suite au festival du film de Marrakech ou de Khouribga avec moins d'extras… Nos fonctionnaires du CCM se font inviter partout, là où on devrait envoyer des critiques de cinéma qui ont la rage au cœur chaque fois qu'ils apprennent que c'est encore bakrim allah krim qui représentera le Maroc à Berlin ou à Tachkent. Le pays appartient-il aux mêmes privilégiés ? stop.
A Casablanca, les étudiants qui ont brandi leur carte de bus dans la rue pour protester contre les oublis du délégataire qui obéit à la politique du profit indécent, ne sont pas passés inaperçus. Quand on commence à rendre le transport en commun des étudiants invivable, il est aléatoire de parler d'avenir et de développement durable. Comment en est-on arrivé dans un tel foutoir à Casablanca qui vit sur un terrain miné où le transport des travailleurs est une priorité devenue une calamité ? stop.
A propos du boss du cinéma, il a dit qu'il n'était pas de la même « rationalité », et non « nationalité ». stop.
Selon un sondage Obea-Infraforces, 68% des Français estiment que l'immigration n'est pas une menace pour l'identité nationale qui fait réagir même Jamal Debbouze, de plus en plus politisé, contrairement à un Gad El Maleh ou un Lahlou. Selon le même sondage, une majorité de Français - pas de chiffres, hélas - estime que le débat sur l'identité nationale a été lancé par le ministre de l'Immigration à des fins électoralistes, rapporte Reuters. Mais quand on nous parle des 68% qui estiment qu'il n'y a pas menace, ça veut dire qu'il y a 100 - 68 = 32. Donc, trente-deux pour cent pensent que les immigrés représentent une menace pour l'identité nationale. Et ce chiffre est de trop, quand on sait qu'il y a des immigrés qui sont intégrés et qui font tout pour respecter l'identité nationale et le pays qui les a accueillis. L'heure n'est plus à l'ingratitude. stop.
Le Maroc veut attirer 160.000 touristes polonais en 2012. Marhabane, marhabane, est-on tenté de dire en apprenant cette nouvelle. Mais il n'y a pas que le pays de Chopin, de Marie Curie Sklodowska, du Pape Jean-Paul II et de l'astronome Kopernic. Bien d'autres pays dont le niveau de vie est en hausse, avec une nouvelle élite qui aime voyager, sont à inscrire dans la ligne de mire de l'Office du Tourisme qui dispose à l'Agdal de la plus confortable des salles d'attente du Royaume. De l'ex-Tchécoslovaquie en passant par la Géorgie et une bonne partie de la nouvelle Europe, sans oublier des pays lointains qui pourraient intéresser le Maroc. Comme les Sud-Américains, du Brésil où l'on se déplace beaucoup en passant par le Mexique ou l'Argentine. Ces nouveaux riches viennent passer une semaine ou 10 jours en Europe. Un saut à Marrakech ou à Agadir pourrait être inclus. Le Maroc est à côté du vieux continent. stop.
C'est la mode. Tout le monde veut voler de ses propres ailes en restant sous l'aile de l'Etat - Providence, bien sûr. A Marrakech, les professionnels du tourisme veulent, nous dit-on, se reprendre en main comme si on les avait sur les bras. Ils s'apprêtent à lancer une association, une de plus, peut-être la bonne cette fois, à l'image de la CGEM, et loin ajoute-t-on, du CRT. Les chefs d'entreprises qui sont derrière cette association, sans nom encore, veulent contribuer aux chantiers de 2020 et aussi défendre les intérêts des entreprises mises à mal - c'est pas mal - par la crise «eu égard aux déficits de représentation constatés auprès des autres associations». Déficits ? C'est de bonne guerre, la nouvelle jamîya, bik oula biya, ne cite personne… stop.
Ouf, l'entraîneur national sera désigné avant juin 2010. Voilà qui va calmer les ardeurs des baroudeurs en tenue de jogging achetée à la Kissaria de Aït Baha, qui nous ressortent chaque semaine le nom d'un entraîneur que personne n'a consulté. On a eu droit à toutes les stars qui ont vu «Avatar» un peu tard. stop.
Dans notre série «Bonnes tables», on a oublié les vieilles marmites de Rabat dans lesquelles on prépare toujours du coq «beldi» avec une sauce onctueuse comme celle de «L'Entrecôte» où Nebo maintient le style des maisons anciennes qui se respectent. Le restaurant de la plage où Karim Allah tient aux produits frais ainsi que La Mamma avec son four qui donne l'eau à la bouche. Enfin, le «Crépuscule» qui retrouve Leïla qu'Eric Clapton a déjà chantée. Les petits tagines, spécialité de ce restaurant animé, ont une saveur particulière. La Saint-Valentin, qui est entrée dans les mœurs culinaires, fait travailler du monde à Rabat. stop.


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