Mobilize Duo : Un véhicule sort de l'usine de Tanger toutes les 48 min, voici le process    TGCC: Feu vert de l'AMMC à l'augmentation de capital    Paiement multicanal : M2T lance son offre «Chaabi Payment»    France : Expulsée d'une plage pour son burkini, une jeune femme renonce à se baigner    Maroc : Un événement parallèle au Forum mondial de sociologie consacré à la Palestine    Équité sportive : le football féminin africain face à un débat délicat    Adam Aznou, l'heure du choix    Le Sporting de Charleroi enrôle le Lionceau Yassine Khalifi    El Partido Popular de España reafirma su postura sobre el Sáhara Occidental en su congreso    Une femme recherchée par la Belgique pour enlèvement de mineurs interpellée au Maroc    Salé : Amende pour un parlementaire après un accident en état d'ébriété    Jazzablanca 2025 : Seu Jorge, samba de feu et nuit électrisée    Les FAR participent à un défilé militaire aux Comores    CAN féminine: L'équipe d'Algérie bat le Botswana (1-0)    USA: Les inondations au Texas font 59 morts selon le dernier bilan    Mondial des clubs : Le PSG dans le carré d'as, Achraf Hakimi passeur décisif    Distribution : Quand le circuit du produit pèse sur l'addition    Marocains du Monde : Levier Incontournable pour un Maroc Ambitieux en 2026    Presse au Maroc : La FMEJ rejette le projet de loi relatif au CNP    Province de Nouaceur : Un garçon se noie dans un bassin de collecte des eaux usées (autorités locales)    Finance participative : Pourquoi n'atteint-on pas le plein régime ?    Jazzablanca : Black Eyed Peas, Caravan Palace et Nubya Garcia galvanisent les foules    France : En route pour le Maroc, un père de famille oublie son épouse sur l'autoroute    Le Maroc affiche la plus forte croissance du marché des semi-conducteurs en Afrique du Nord (10,3 %)    Jazzablanca : La nuit la plus folle est signée Caravan Palace et Black Eyed Peas    Maroc : A Rabat, les projections de la Nuit blanche du cinéma interdites    Settat : 450 bénéficiaires d'une caravane médicale pour le traitement de la cataracte    Achoura : Entre sacré et profane, quand la fête rime avec démesure    Le Roi Mohammed VI félicite le président des Comores à l'occasion de la fête nationale de son pays    Le Maroc mise sur un million de touristes chinois d'ici 2030    Entretien avec ALDAR... L'expert international chinois Bernard Sok : Le Sahara est une terre marocaine    17e Sommet des BRICS : Un bloc grandissant, une alternative pour une gouvernance plus inclusive    Gérard Araud : l'Algérie n'a pas d'identité historique, il y a par contre une identité historique marocaine"    «L'Algérie subit une dictature manipulatrice, corruptrice, dissimulatrice», écrit le JDD après le verdict contre Boualem Sansal    Canada: Adoption de nouvelles normes pour améliorer la qualité de l'air    Transport aérien : nouveau record du trafic passagers en Corée    Gabon : le président Brice Oligui Nguema lance son parti politique    Un acte de sabotage du réseau d'eau menace la fermeture de la piscine municipale de Meknès    M'diq-Fnideq: Le « Pavillon Bleu » hissé au port de Marina Smir et sur quatre plages    Safi : Coup d'évoi à la 7ème édition du Salon National du Câprier    USA: Elon Musk annonce la création d'un nouveau parti politique    Le Sahara et le Sahel au cœur d'un entretien maroco-russe à Moscou    Karim El Aynaoui : «Sans repolitisation, l'Afrique et l'Europe resteront étrangères l'une à l'autre»    Lancement des travaux de rénovation de l'Institut Cervantès de Casablanca    MAGAZINE : Salim Halali, la voix sismique    Détails révélateurs : une découverte génétique relie les anciens Egyptiens au Maroc...    Jazzablanca : Black Eyed Peas, Nubya Garcia et Caravan Palace enflamment la scène    Coupe du trône de basketball : Le FUS Rabat sacré champion aux dépens de l'AS Salé    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



«Culture amazighe et cultures méditerranéennes»
Publié dans Albayane le 28 - 12 - 2020

« Culture amazighe et cultures méditerranéennes » est l'intitulé d'un nouvel ouvrage collectif qui vient de paraitre, sous la direction du chercheur marocain Moha Ennaji.
Publié en Français par Karthala à Paris, cet ouvrage de 222 pages vient contribuer aux débats au Maghreb et en Europe sur le pluralisme culturel en général et la promotion de la culture amazighe en particulier.
Le livre aborde le rôle ‘'important'' du patrimoine immatériel amazigh et des cultures méditerranéennes dans le développement humain et leurs apports à la culture de la paix, comme il se focalise sur le dialogue interculturel et le rôle de la culture amazighe dans le processus de démocratisation au Maghreb et dans le maintien de la paix, explique Moha Naji, qui enseigne notamment à l'université Sidi Mohammed Ben Abdellah de Fès.
‘'Il s'agit de repenser le Maghreb en établissant des stratégies cohérentes, permettant de consolider le dialogue interculturel, la cohésion sociale et la culture démocratique dans toute la région de la Méditerranée'', dit-il, notant que cette nouvelle publication réunit un grand nombre de chercheurs et écrivains qui œuvrent pour les valeurs humanistes de liberté, de fraternité et de paix, tout en combattant la violence et l'extrémisme dans un moment aussi crucial pour le Maghreb et l'Europe.
L'ouvrage, ajoute-il dans une note de présentation, a pour objectif de sensibiliser le grand public au rôle de la culture et de ses répercussions dans le développement humain et social, mais également de valoriser les cultures amazighes et méditerranéens et leur apport à la culture de la paix et au rapprochement des cultures.
La publication propose au débat des axes qui intègrent les dimensions sociale, économique, culturelle, littéraire, religieuse et politique et interrogent les aspects théoriques, méthodologiques et pratiques du multiculturalisme et du vivre ensemble caractérisant la région méditerranéenne.
Le livre traite également de questions relatives à l'histoire, la modernité et la diversité culturelle et leur rôle dans la consolidation de la paix, de la démocratie, du développement et de la cohésion sociale.
L'ouvrage se décline en deux parties. La première est composée de chapitres basés sur des recherches scientifiques académiques relatives au thème principal, tandis que la seconde est consacrée à des récits et à des témoignages d'écrivains maghrébins et européens sur le dialogue interculturel et le vivre ensemble.
Des auteurs marocains et étrangers ont contribué à ce collectif, à savoir Jaan de Ruiter, Alfonso de Toro, Mohamed Nedali, Belkacem Boumedini, Issa Ait Belize, Jean-Marie Simon, Mohamed Taifi, Enza Palamara, Marc Bourcrot, Juliane Tauchnitz, Fatima Sadiqi et Moha Ennaji.


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.