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Pour « Dbibina », le Canard est enchaîné par ses clichés racistes et gratuitement déchaîné contre le Maroc
Publié dans Barlamane le 06 - 10 - 2024

« Dbibina » savait le Canard enchaîné orientaliste, gauchiste, antimonarchiste, mais cette fois, concernant le Maroc, l'hebdomadaire français s'est surpassé.
Il n'est absolument pas obligé d'aimer le pays ou son dirigeant suprême, mais là, cette semaine, il a fait fort.
Un cocktail de contre-vérités, de raccourcis faciles, d'acharnement ad hominem et de vœux pieux pour illustrer les stéréotypes.
« Dbibina » ose le mot : la vision avec laquelle le Canard continue d'observer le royaume est néocolonialiste, ce qui n'est pas du tout à l'honneur d'un hebdo qu'on dit de gauche et anticolonialiste !
Alors, pour illustrer son objectif qui est de faire passer le Maroc pour une république bananière (un comble pour une monarchie !), l'auteur de l'article, Jean-François Julliard, sort à peu près tout ce qu'il sait sur le Maroc et l'agrémente à sa sauce. Une sauce nauséeuse à force de mensonges.
« Dbibina » se permet un petit florilège : ''L'ONU conteste la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental après la conquête militaire des deux tiers du pays (sic) par Hassan II en 1975.'' Le Sahara est devenu un pays, la Marche verte est considérée comme une conquête militaire, et l'accord entre Nouakchott et Rabat en 1979 est totalement inconnu de Julliard !
Pour ce dernier, le site Yabiladi est considéré comme ''proche du pouvoir''. En fait, c'est simple, pense « Dbibina » : pour le Canard et ses semblables, tout journal marocain qui ne pense pas comme eux, qui n'insulte pas le Maroc et ses institutions, est ''proche du pouvoir''. Forcément. C'est facile, mais les gens aiment la facilité. C'est tellement facile d'être arrogant, encore plus quand on est un idéologue encrassé.
Julliard revient sur l'épisode de 2014, quand un juge avait voulu sortir de l'anonymat en s'attaquant à un grand sécuritaire. Il verse même dans la diffamation en reprenant les accusations contre Hammouchi sans même user du conditionnel. Et après, il fait un bond dans le temps, sautant à pieds joints dans le cloaque mis en place par un collectif de journalistes autodésignés redresseurs de torts, en l'occurrence Forbidden Stories, pour ressortir l'histoire des écoutes Pegasus.
''L'enquête mène droit au chef du renseignement marocain'', affirme sur un ton péremptoire et définitif Julliard, alors même que rien n'a jamais prouvé les faits ; au contraire, la justice française a protégé les journaux qui ont attaqué le Maroc sans preuves, et les Espagnols ont carrément disculpé le Maroc. « Dbibina » note que de cela, Julliard ne parle pas.
Puis la suite de l'article devient carrément ridicule. Pour le Canard et Julliard, le Maroc a refusé l'aide française après le séisme qui a ravagé la région de Marrakech parce que, disent-ils, ''le Président n'a pas mentionné le roi, quand il s'est adressé aux Marocains'' (sic !).
La haine pour la monarchie va jusque dans le détail, ''Président'' avec un P majuscule et ''roi'' avec un r minuscule, alors que la règle grammaticale est la même dans les deux cas. Et puis, c'est faux, « Dbibina » le sait, ainsi que les Marocains et les Français qui suivent l'actu, la vraie. Et Julliard aussi, sauf qu'il préfère mentir.
Il préfère mentir et s'acharner. Son ennemi, c'est Hammouchi, et « Dbibina » se demande pourquoi d'ailleurs, mais dans la méchanceté des hommes, la raison devient facultative.
Julliard impute tout au ''chef du renseignement marocain''. Pegasus, c'est Hammouchi ! La réplique du site Le360 à Macron, qui s'est adressé dans un live hors normes aux Marocains, après le tremblement de terre, c'est encore Hammouchi ! L'affaire Rachid Mbarki, c'est toujours Hammouchi !
Julliard est tellement obnubilé par la personne d'Abdellatif Hammouchi qu'il ne se rend même pas compte, lorsqu'il lui reconnaît d'avoir aidé la France à localiser le cerveau des attentats de novembre 2015 puis, plus récemment, d'avoir envoyé des démineurs et des agents marocains pour sécuriser les quais de Seine lors de la cérémonie d'ouverture des JO de Paris, en juillet.
« Dbibina » voudrait bien dire à Julliard que la haine aveugle ne sert à rien, et qu'il dit les choses et son contraire, mais il se rappelle de cette phrase de Hassan II : ''Il ne sert à rien de se montrer de bonne foi face à des gens de mauvaise foi.''
C'est le cas de Julliard. Sa mauvaise foi tutoie le mauvais goût et même le racisme quand il qualifie Rachida Dati de ''binationale''. Même le RN ne l'aurait pas osée, celle-là, se dit « Dbibina ».
À la fin de son article, Julliard s'embrouille complètement, avec une chute tout à fait désordonnée, citant le Roi, Ciotti et Macron dans une confusion qui ôte tout sens à ce qu'il aurait pu vouloir dire. En fait, il ne dit rien, il déroule des attaques sans queue ni tête, sans preuves ni arguments.
Mais qui est Julliard ? s'interroge « Dbibina ». Curieux, il va chercher et trouve que c'est un journaliste qui travaille depuis longtemps au Canard et qu'il en est même l'un des chefs. Mais un chef autocratique qui, voilà quelques années, avait voulu virer un journaliste de sa rédaction qui avait parlé d'emplois fictifs au Canard. Il a fallu qu'il soit arrêté dans son élan staliniste par les autres journalistes de l'hebdomadaire et par l'inspection du travail.
Et comme il est l'un des chefs du Canard, l'accroche de son article furieusement anti-Maroc et anti-Hammouchi est placée en Une, en haut à droite, là où le titre est visible en kiosque, même lorsque le journal est plié.
Tout a été pensé pour nuire et pour faire passer le Maroc pour ce qu'il n'est plus depuis longtemps. Tout à sa haine et son arrogance, il attaque même les grands chefs de la police française ; leur tort aux yeux de Julliard ? Avoir reçu Hammouchi avec les honneurs dus au rang d'un haut responsable sécuritaire qui partage et mutualise ses compétences et ses informations pour protéger et défendre la sécurité d'un pays ami.
Car, et « Dbibina » en est convaincu, la France demeure un pays ami, malgré les vicissitudes de l'actualité et les rancœurs de gens louches comme Julliard. Un Julliard qui, depuis qu'il dirige la rédaction du Canard, l'a fait plonger dans des affaires d'emploi fictif, de licenciement abusif, d'abus de biens sociaux, avec pour résultat prévisible et normal, une forte baisse de son lectorat.
Avec des articles fâcheux et des insultes faciles et avec des patrons adeptes du marteau et de la faucille, comme Julliard, c'est un peu normal, conclut « Dbibina ».


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