Un nom bien ancré dans la mémoire de la “Maison blanche” du Royaume, une saga familiale militante à toutes les étapes décisives de la lutte de libération, d'indépendance et d'édification du Maroc moderne, les Bouchentouf s'identifient totalement à l'histoire, au présent et à l'avenir de Casablanca. L'inoubliable patriote Haj Belyout Bouchentouf était comblé par sa “plus belle réussite”, ses enfants, cadres émérites et citoyens intègres. Et le port du flambeau échut, tout naturellement, au docteur Mohamed Bouchentouf qui s'est juré de mettre un point d'honneur à perpétuer les nobles traditions militantes et d'engagement au service de la collectivité. Dynamique président de l'Association des Carrières Centrales fondée par son prestigieux ascendant, il s'est totalement investi dans l'action citoyenne de la société civile. Dernier acte majeur en date : l'ONG bidaouie a organisé, le vendredi 14 janvier au Centre culturel d'Anfa, une rencontre exceptionnelle avec le grand professeur Wajih Maâzouzi, virtuose de la chirurgie cardio-vasculaire et génie de la découverte scientifique , le père du “premier cœur artificiel marocain”. Une sommité médicale qui, d'ailleurs, fait partie intégrante des grands noms composant les membres de l'association pilotée par Mohamed Bouchentouf. Une louable initiative qui en appellera bien d'autres, car Bouchentouf a promis d'autres moments d'intenses rencontres et de “palpitants” échanges qui déplaceront les grandes foules de la métropole. Non sans avoir assuré d'y mettre le “paquet” pour en garantir la réussite préalable.