Nour-Eddine Lakhmari troque la cacophonie urbaine pour le silence écrasant des forêts. Avec «Mira», son dernier film, le réalisateur continue de filmer la solitude et la quête de sens qui traverse toute sa carrière. Mais cette fois, loin des klaxons et des néons, c'est la nature qui parle, et qui frappe. Suivez-nous sur WhatsApp Suivez-nous sur Telegram On aurait voulu croire à un virage sec, une embardée radicale. Après les néons brutaux de Casanegra, Zero et BurnOut, voilà Nour-Eddine Lakhmari planté en pleine forêt, à filmer des arbres glacés comme des spectres norvégiens. On s'est emballé: «Rupture !» dit-on, ravis d'avoir flairé un revirement poétique à plus de 2.000 mètres d'altitude. Et... La suite de cet article est réservée à nos abonnés. Découvrir nos offres d'abonnement Déjà abonné? Je me connecte