Le PIB n'a progressé que de 0,9% au deuxième trimestre selon les premières estimations du HCP qui anticipait, il y a quelque mois, une hausse de 1,8% de l'activité économique entre avril et juin. Au-delà de l'impact de la sécheresse sur les activités agricoles, la persistance des tensions inflationnistes fait craindre un ralentissement plus marqué, surtout si Bank Al-Maghrib était amené à agir pour atténuer une inflation trop forte. Nous n'en sommes pas encore là. Cependant, la croissance resterait inférieure... Cet article est réservé aux abonnés Abonnez vous pour lire cet article ainsi que tout le contenu de votre quotidien Les Inspirations Eco Je m'abonne Déjà abonné connectez vous ICI Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.