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Honni qui mal y pense!
Publié dans L'opinion le 25 - 07 - 2014

Quelle mouche a piqué la désormais honnie journaliste égyptienne, la poussant à proférer « on air » sur la chaîne ONTV des insanités à l'égard du Maroc et des Marocains ?
Sans crier gare, la dénommée Amany Al Khayyat s'est mise à insulter les Marocains qu'elle a taxés sans appel de "fornicateurs" s'adonnant dans leur ensemble à la prostitution, et de porteurs du VIH Sida.
Où a-t-elle été chercher « l'inspiration » pour s'attaquer d'emblée aux millions de citoyens d'un pays qui de son côté, faut-il le rappeler, voue à l'Egypte une estime et un amour ancestraux ?
Une seule explication nous paraît plausible à cette sortie périlleuse, inconsidérée, calamiteuse et puérile. La journaliste aurait été aveuglément éblouie par une « récompense » alléchante qui lui aurait obstrué tout bon sens commun, l'amenant à bafouer toutes les règles de la déontologie, à faire fi de l'importance des relations bilatérales qui maintiennent Maroc et Egypte sur une même longueur d'onde, toujours en quête de coopération fructueuse à plusieurs niveaux, et lui facilitant de commettre un impair des plus hasardeux et à faire preuve d'une témérité sans bornes...
La DRS algérienne serait-elle derrière cette incommensurable diffamation ? qui non seulement tombe sous le coup de la loi égyptienne, mais expose son auteure, ce qui est pire, à la vindicte de ses propres concitoyens qui n'ont pas du tout besoin de se mettre le peuple marocain à dos, et sans doute déplairont à d'autres peuples auxquels de telles infamies propres à créer gratuitement un climat délétère provoquent un « haut le cœur ».
Enfin, aux dernières nouvelles, nous apprenons qu'il a été donné suite par le parquet cairote aux plaintes déposées par des ressortissants marocains en Egypte contre Al Khayyat l'accusant d'« atteinte au peuple marocain » et de « propos diffamatoires ». L'oiseau de mauvais augure encourt une peine d'emprisonnement allant jusqu'à un an. Elle est déjà sur la sellette pour le restant de sa vie. Grillée, son retour un jour à l'antenne est fort peu probable. Car son apparition sur la lucarne ne sera jamais gobée, ni par les victimes, au nombre d'un peuple, de son déchaînement hystérique de très basse facture, ni par ses propres concitoyens qui en ont perçu une ténébreuse illuminée, passible d'opprobre et qui a tout à gagner à se faire oublier.
N'a-t-elle pas créé un branle-bas de combat auquel le ministre égyptien des Affaires étrangères n'a trouvé d'issue qu'en tenant sur les chapeaux de roue une réunion avec le ghota des journalistes de toutes sortes de presse de son pays pour leur souffler la nécessité de réparer le tort dans lequel leur collègue les a fourgués et l'impératif d'user de tact et des règles de bienséance en vue de préserver intactes les bonnes relations entre les deux pays aux points communs infranchissables à tout acte désobligeant.


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