Akhannouch: A mi-mandat du gouvernement, les réalisations dépassent toutes les attentes    Albares réaffirme l'excellence des relations de l'Espagne avec le Maroc    "Maghreb sans le Maroc": Le rêve algérien brisé par la Mauritanie et la Libye    Santé animale : Convention-cadre entre BIOPHARMA et l'IAV Hassan II    Gaza/Cisjordanie: L'ONU réclame 1,2 milliard de dollars pour aider deux millions de personnes    Alerte aux intempéries en Arabie saoudite    Coupe de la CAF/ demi-finale aller : La CAF annonce la défaite l'USM Alger sur tapis vert    Un individu interpellé à Tanger pour atteinte aux systèmes de traitement automatisé des données numériques    Après le SIAM, place à la commercialisation des produits à base de cannabis    Match USMA-RSB: La CAF sanctionne l'USMA par un forfait de 0-3, le match retour maintenu à Berkane    L'Agence Bayt Mal Al-Qods Acharif organise la 3è session du Forum annuel des personnes handicapées dans la Ville Sainte    "Dbibina" : avec Darmanin, ça se passe bien    SIAM 2024 : le Maroc et la FAO annoncent un projet en faveur d'une gestion optimale de l'eau    OCDE: M. Miraoui souligne l'engagement du Maroc en faveur de la science ouverte    Rabat: Cérémonie en l'honneur des lauréats du 1er concours national de la sécurité routière    New York : Une rencontre sur les réalisations de Ahmed El Maanouni    Mise en place de 60 000 coins de lecture dans les écoles primaires marocaines, déclare Benmoussa    Russie: Le vice-ministre de la Défense arrêté pour corruption présumée    Le Maroc est fortement engagé en faveur de la décarbonation du transport    Devant Kinder et Andros, une marque marocaine dans le Top 10 des marques les plus vendues en France    Itzer Trail annonce son retour pour une 6ème édition épique    Coupe du Monde Futsal Ouzbékistan 24 / Tirage des groupes: Les adversaires des Lions dévoilés le 26 mai prochain    Open national du Badminton : Clôture en apothéose de la première édition à Marrakech    Arbitrage / A .G. de l'Association des Anciens Arbitres Internationaux et Arbitres de Division Supérieure: M. Youssef Mabrouk reconduit pour un nouveau mandat    Tennis: Rafael Nadal « pas sûr de jouer à Roland-Garros », à un mois du tournoi    SIAM : les chiffres clés de la 16ème édition    Morocco's PJD suffers landslide defeat in Fes    Service militaire : les nouveaux conscrits promis à des formations d'excellence    SIAM 2024 : CENTRALE DANONE SOULIGNE LES AVANCEES DU PROGRAMME « HLIB BLADI » POUR UNE AGRICULTURE DURABLE ET REGENERATIVE    UNESCO: Lancement d'une initiative pour promouvoir les compétences numériques des alphabétiseurs au Maroc    Enseignement supérieur: le Maroc et la Pologne renforcent leur coopération    France-Amnesty International : Poursuite de l'«érosion» des droits humains    Une députée LFI convoquée par la police pour « apologie du terrorisme »    L'épidémie du choléra s'aggrave dans le monde avec 25.000 nouveaux cas en mars, alerte l'OMS    Rétro-Verso : La fabuleuse Histoire du Royal Mansour de Casablanca    Le tourbillon rock-blues Zucchero arrive à Casablanca    Trafic aérien : plus de 6,8 millions de passagers en trois mois    Le Maroc présente ses atouts à la Hannover Messe, plus grand salon industriel au monde    INDH : Le Centre médico-psycho-social de Tit Mellil, un accompagnement pluridimensionnelle innovant    La Libye remercie le Roi Mohammed VI pour le soutien du Souverain à la cause libyenne    SIAM : FILIERE M de Marjane Group au cœur de l'agriculture responsable (VIDEO)    Gospel & Gnaoua aux couleurs d'une histoire africaine commune au sud des montagnes du Haut Atlas    2M TV : ElGrandeToto et Dizzy Dros jury d'une compétition 100% Rap    Identification des besoins des populations : alliance entre l'INDH et l'ONDH    Nouvel hippodrome de Rabat : la SOREC choisit l'architecte Said Berrada    Réunion africaine de haut-niveau sur la lutte contre le terrorisme: l'expérience du Maroc mise en avant à Abuja    Le dialogue social dans le secteur de la santé se poursuit et a permis de réaliser plusieurs revendications    L'ONMT enfile le tablier pour conquérir des parts de marché    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



YAZAMI LE TSUNAMI : BILAN MITIGE ET MEPRIS DE LA COMMUNAUTE
Publié dans Maghreb Observateur le 05 - 11 - 2011

Du point de vue de la démocratie et de la justice sociale, la participation des MRE à la vie publique marocaine n'est rien d'autre que leur appartenance à ce cher pays et dont la contribution à la prospérité économique du Maroc n'est plus à démontrer.
La problématique de vote et de citoyenneté se pose donc pour nous : la citoyenneté nous a été déniée et le CCME de YAZAMI n'ont pas su ou voulu lever cette injustice faite aux MRE . Cette privation de l'exercice des droits politiques est injustifiable. La communauté marocaine à l'étranger ne restera pas passive et fera tout pour faire triompher les principes d'égalité et de justice.
Les changements que connaît le Maroc en matière de développement économique et dans le domaine des libertés publiques nous impose de défendre nos droits les plus élémentaires. L'ère des atteintes systématiques aux libertés les plus fondamentales est révolue, aujourd'hui, nous pouvons user dignement de notre droit d'expression et que pour atteindre ces objectifs, nous n'avons pas à lutter contre une oligarchie seulement, nous devons combattre la tyrannie du dogmatisme imposé par YAZAMI sensé présenté un avis sur la participation politique des MRE.
Notre communauté qui traverse l'une des heures les plus graves de son histoire, n'a que faire de querelles byzantines qui nous éloignent de l'essentiel : d'abord de se battre pour une citoyenneté pleine et ensuite de l'arracher des mains ensanglantées et inexpertes qui le plongent chaque jour davantage dans un chaos dont nul ne peut calculer les conséquences sur les générations présentes et futures: Refuser à une partie des citoyens, en l'occurrence les MRE, l'exercice de leur droit constitutionnel, vote et éligibilité, au motif qu'ils vivent en dehors du territoire national reviendrait à vider de son sens la notion même de citoyenneté marocaine. Le droit d'être éligible, est indissociable de celui d'être électeur. Cette indivisibilité est fondamentale.
Consciemment ou inconsciemment, notre silence permet aux prédateurs que sont YAZAMI et ses minables courtisans de défendre cette posture qui relève de l'obstruction systématique.
YAZAMI et tous les courtisans qui grouillent et grenouillent autour de lui (Youness AJARAI, Annas HASNAOUI……..) pour maintenir leurs privilèges nous manipulent, nous mentent et pillent sans état d'âme les ressources d'un CCME très attendu, qui devrait remplir ses principales missions dans l'intérêt des MRE et du Maroc.
Bilan des quatre années de fonctionnement du CCME
A l'occasion de la rencontre de SAIDIA, YAZAMI a présenté au journal l'observateur dans un discours grandiloquent un bilan qui peint le CCME comme une véritable structure active et transparente.
A travers l'interview YAZAMI, a raconté n'importe quoi. Ainsi, face aux journalistes, il a osé déclarer sans sourcilier : « Dans mon intimité, j'ai entièrement réalisé mon travail de consultation et de réflexion. J'ai changé la conception qu'a le Maroc de son émigration. (…). »
L'homme nous a habitués à de tels délires qui donnent parfois, souvent d'ailleurs, l'impression qu'il nous tient dans le mépris le plus total ou que le syndrome Hitler frappe aux portes du CCME. Il en était ainsi quand il s'interrogeait sur l'utilité d'un aéroport à Bouarfa, l'homme reste égal à lui même quand il raconte que pour assurer son travail, un député doit être présent sur place et comment font les députés de dakhla plus loin que les marocains en Espagne ? Il se perd et raconte n'importe quoi en annonçant que le travail mené au CCME est scientifique, alors qu'aucune commission du CCME ne se réunit.
Interrogé sur la déception des Marocains de Monde sur le travail du CCME, il se laisse aller à l'autosatisfaction et rappelle qu'avant sa géniale trouvaille, qu'il a organisé plusieurs séminaires liés à la femme qui ont couté 22 millions de dirhams sans aucun document ni avis, à la culture et l'identité pour 20 millions de dirhams et plusieurs fêtes. Il faudrait remarquer que les bénéficiaires de ces séminaires sont ses amis : Amina ENNCEIRI, Youness AJARAI, Merouane TOUALLI et Anas HASNAOU……..
Voilà un bilan que brandit fièrement YAZAMI, sans la tenue d'aucune Assemblée Générale et que vont répéter sans précaution des gens comme Youness AJARAI, Merouane TOUALLI et Amina ENNCEIRI…
Or, toutes ces réalisations sont totalement fausses, en contradiction formelle avec le DAHIR de création du CCME. Une Institution Royale qui est classiquement une institution qui cultive comme valeurs, la transparence, le sérieux, et l'organisation, or le CCME est gangrenée par le népotisme, l'incompétence, une désorganisation et un manque d'efficacité légendaire. Sur le principe, une déviation de ses valeurs cardinales de loyauté, honnêteté, désintéressement et sens élevé du sacrifice vers un gâteau de partage, de soumission et humiliation des membres, est injustifiable, inacceptable.
Citoyenneté pleine et participation institutionnelle au Maroc
Nous en sommes plus convaincus encore si nous considérons cette autre fanfaronnade, dans la même interview à « Observateur » : « j'ai vu des jeunes de la troisième génération font tout pour participer au referendum du 1 juillet » Notre ami prodige ne s'arrête pas en si bon chemin ; il continue d'étaler ses « prouesses » : « les marocains du monde ne sont pas murs pour avoir des
circonscriptions à l'étranger » tel est l'avis présenté au Roi du Maroc rédigé par Mr BERDOUZI avant sa mort sans l'Avis des membres du CCME : Le mépris,
stade suprême de l'irresponsabilité.
Continuons d'accompagner notre Zeus national dans ses lubies et ses résultats fantaisistes. Il raconte donc des contrevérités sur la participation politique des
marocains du monde: Que valent donc les cinq articles dans la nouvelle constitution brandis par YAZAMI et ses minables jacasseurs si les marocains du Mondes ne voteront pas et ne seront éligibles ? Evidemment pas un sou. YAZAMI montre les symptômes de la grippe à bière. Ce ne sont pas les déclarations maladroites qui lui manquent, c'est un professionnel de la provocation. Il passe tout sont temps à faire des sorties de route, Il part souvent littéralement en sucette. A chaque moment, il s'enfonce et continue à ronronner avec un bilan élogieux couché sur papier glacé à grand renfort de photos et de nombrilisme, avec une communauté qui va continuer à vieillir et à diminuer.
Son ami de toujours Mr Kamal JENDOUBI président de l'Instance supérieure indépendante des élections (ISIE) a organisé le premier scrutin libre de Tunisie. Kamal a refusé le poste d'ambassadeur, puis le ministère des affaires sociales que lui propose le gouvernement provisoire. Il s'imbibe de cette nouvelle Tunisie, réapprend sa géographie. YAZAMI, ex crève la faim, fait tout pour cumuler les postes.
JENDOUBI a su convaincre le gouvernement tunisien provisoire et les partis politiques de la participation de tunisiens du monde. Sur les 217 membres que comptera la future Assemblée constituante, 18 représentants seront élus par les Tunisiens résidant à l'étranger. Dans l'ensemble, il est important de remarquer que les Tunisiens de l'étranger sont une priorité des différents programmes des partis politiques tunisiens. D'ailleurs le gouvernement tunisien a fait pression sur plusieurs pays comme le canada pour permettre d'ouvrir des circonscriptions dans les pays d'accueil. JENDOUBI et ses compatriotes ont relevé le défi : Bravo ya si Kamal : le « triomphe » de la démocratie.
Notre YAZAMI à nous, prétend que les marocains de l'étranger sont immatures et fait perdre quatre années pour aboutir au résultat de 2007.
Par manquement à la feuille de route du Dahir de création du CCME, YAZAMI le prodige prive plusieurs millions de Marocains des élections du 25 novembre. Le Zeus National a dit à des amis proches qu'il a conseillé Mr Saad HASSAR Ministre de l'intérieur lors d'un déjeuner privé, d'écarter les MRE des élections du 25 Novembre 2011 sous prétexte que seront élus que les islamistes. Plus grave encore, il a interdit la constitution de la commission proposée par Mr OUJAR du Parti RNI lors de la rencontre de Casablanca composée des partis politiques et les MRE afin d'étudier une éventuelle participation politique des MRE dans la première chambre. Il a aussi suspendu toutes les réunions des différents groupes du CCME pour ne pas faire des recommandations pour les dispositions de la loi organique 27.11 relative à la Chambre des représentants.
Des dispositions qui ne consacrent ni leur droit de vote ni leur droit à l'éligibilité garantie pourtant par la Constitution alors que les discours de SM le Roi, depuis le nouveau règne, ont posé clairement le caractère légal et légitime de ce droit.
La parade trouvée par les ingénieux : faire voter les MRE par procuration, alors que les MRE exigent depuis des années une représentation parlementaire, droit qui en théorie leur a été accordé par la nouvelle constitution. Les MRE disposent en vertu de celle-ci d'une représentation parlementaire et jouissent du droit de voter et de se porter candidat dans les deux Chambres du parlement. Cette exclusion sera vécue par les MRE comme une blessure qui les touche au plus
profond d'eux-mêmes.
Le principe d'une appartenance à une communauté nationale unique et indivisible, avec les mêmes droits et devoirs pour tous les citoyens, est acté par tous. Notre représentation au futur parlement, notre droit de vote et notre éligibilité (même les binationaux) sont acquis, cette question de l'éligibilité des binationaux, où YAZAMI, et les partis bottent en touche malheureusement sous des prétextes inconnus.
Autant dire que les débats seront nécessaires afin de coller à la réalité de nos compatriotes à l'étranger.
Ce sont ces problèmes qui nous animent dans la critique de YAZAMI. Son travail n'est pas fait et a passé quatre année à organiser des événements superfétatoires et bien sûr il y a des aspects à dénoncer.
Lambada financière au CCME
Nous avons décidé de dénoncer la vraie Lambada financière au CCME et la mettre à nu. Des centaines de millions sont encaissés par certains amis de YAZAMI et des subventions d'une valeur de plus de deux millions de Dirhams ont été accordées à des associations proches à YAZAMI (comme génériques). La grande surprise a été la découverte d'un professeur de collège qui se prend pour un universitaire du nom de Youness AJARAI, employé à génériques, qui s'est adjugé plusieurs séminaires sans l'avis des membres de la commission culture qu'il préside. Exclue par l'ATMF par manquement, ce membre du CCME est sensé être bénévole comme le stipule le Dahir, mais
YAZAMI l'homme « honnête » lui fait bénéficier de contrats successifs à durée déterminée dont le dernier est arrivé à terme depuis des mois déjà, or, pendant la durée de ses contrats successifs M Youness AJARAI a administré les ressources du CCME.
L'année dernière, il a procédé au soutien du festival de Ganawa pour un montant de 50 000 Euros et à l'ordonnancement des règlements en faveur des amis que Madame AJARAI qu'elle a invité à ce festival.
Les faits sont tellement graves que les membres du CCME doivent demandé au ministère des finances de saisir l'Agent judiciaire de l'état, aux fins de déclencher des poursuites judiciaires pour recouvrer les primes et autres avantages indument encaissés par YAZAMI et ses amis.
Dans ce festin amical, Merouane TOUALLI a été également bien servi. Il est embauché au CCME en tant que chargé de communication, mais son vrai travail consiste plutôt à flatter bassement et outrageusement YAZAMI qui aime les incompétents.
Le jeune HASNAOUI, un chargé de mission auprès de YAZAMI est d'une incompétence notoire. Il ne fait que lui cirer les pompes et l'empêche de voir la réalité. Il est chargé par YAZAMI de présider l'association des fonctionnaires du CCME dont la seule activité est de prêter allégeance à YAZAMI et en contre partie, il se tape des mission dont la dernière au Cambodge a couté au CCME une somme de 20 000 Euros.
Complicité de Boussouf et extorsion
Toutes ces libéralités n'ont pas fini d'émouvoir, que YAZAMI s'alloue à lui seul, il y a juste quelques mois, une prime de plusieurs millions de centimes.
Tout cela se fait sous la bénédiction de BOUSSOUF. Certains estiment que si Abdellah est parfait. Je vous invite alors, à écrire sa biographie. Certainement elle amusera un grand nombre de lecteurs. D'ailleurs tout le monde a remarqué qu'à chaque rencontre organisé par le CCME, la famille de BOUSSOUF y invitée d'office. Quelques quatre à cinq chambres en pension très garnis.
La personne de BOUSSOUF et son silence sont aussi en cause dans la gestion du CCME. BOUSSOUF, est le potentiel mielleux des lèche-bottes, des fayots, des flagorneurs qui fascine les gens par son sourire hypocrite, ses propos modelés et contenus, son vile charogne prête à tout pour arracher un peu d'attention et l'estime des femmes. Il vit dans la flagornerie. Son histoire avec Nadia est flagrante. Pour service rendu, Nadia a obtenu un très haut salaire.
Depuis BOUSSOUF, le Recteur de la mosquée de Strasbourg vit une vraie histoire alors qu'il est supposé jouir d'une autorité morale sans égale, le voilà
rattrapé par de sombres affaires de mœurs.
Une relation de dessert sur un buffet, auquel l'imam ne peut résister. Pour camoufler cette histoire le CCME a négocié le départ de Nadia Moyennant 30 000 Euros. Une autre histoire semblable avec cette fois ci YAZAMI qui a du demander à Véronique sa chérie de toujours de quitter le CCME moyennant 25 000 Euros. Plusieurs autres cas suivront : Laila , ITIMAD, ASMA, Ghizlane….
Tout cela se fait sous la protection de mohamed BELHRACH présent à toutes les activités du CCME, dont on ignore le rôle. Il s'est établi que ce monsieur est un agent de renseignement DGED.
BELHRACH inspire à la fois la terreur et mille fantasmes chez nos concitoyens de l'Etranger les plus crédules. Le mystère et le mysticisme longtemps entretenus par BELHRACH ont été totalement amplifiés au sein de la communauté où l'ignorance et l'obscurantisme permettent l'inacceptable.
Portant la casquette des renseignements, dotée de pouvoirs exceptionnels, BELHRACH en abuse et sème la terreur. Les dérives totalitaires vont du maniement informationnel malveillant aux persécutions les plus odieuses orchestrées. Les pratiques de ce Monsieur sont sans limites. Il prétend élaborer des stratégies de grande envergure sous le couvert de la religion, pour la création de lobbies marocains de pression dans les pays d'accueils, mais en réalité il s'enrichie. Car les importantes subventions destinées principalement pour subvenir aux besoins des associations religieuses marocaines, les gardes pour lui. La dernière arnaque de BELHRACH est celle du financement du Centre Euro-islamique pour la culture et le dialogue, basé à Charleroi dont le directeur est Mr BOUSSOUF.
BELHRACH est un personnage à la réputation quelque peu sulfureuse met en plein jour la collusion des autorités marocaines avec leur diaspora. Il agit comme un fief indépendant qui ignore les règles fondamentales de la diplomatie.
Même d'un point de vue strictement partisan et égoïste, il devient urgent pour YAZAMI de réhabiliter son camp discrédité par quatre années de mensonges, d'atteinte aux droits de l'Hommes, d'impunité, de non-satisfaction de la communauté marocaine à l'étranger, de tripatouillages du Dahir, d'utilisation illégale et abusive d'armes de corruption massive, de patrimonialisation des conseils (CCME & CNDH) au Maroc avec des tendances dynastiques, de mégalomanie…..
La guerre de succession a commencé
LA GUERRE de succession a commencé. YAZAMI a beau affirmé qu'il ne quittera pas son siège de président du CCME avant le mois de décembre, les prétendants au titre de « patron par intérim » se bousculent déjà sans ménagement. Signe de la tension actuelle qui règne au CCME.
En se donnant jusqu'à fin décembre pour l'intérim à la tête CCME, YAZAMI pensait, selon sa propre expression, éviter la « bagarre » entre ses différents dauphins présumés : AMINA ENNCEIRI, DRISS AJBALI, YOUNESS AJARAI et ABDELLAH BOUSSOUF. Le meilleur moyen actuellement pour ceux qui briguent l'intérim, c'est de donner le sentiment que BOUSSOUF ne tient pas la maison quand YAZAMI n'est pas là. Certains pensent qu'il ne peut pas y avoir d'héritier naturel ni de choix préétabli.
Les querelles de personnes qui minent le CCME sont-elles liées à une guerre de succession de YAZAMI ?
La guerre de succession fait rage. D'un côté, YAZAMI qui refuse de sortir du sérail en s'accrochant à la présidence du CCME et de l'autre, un Driss AJBALI et Abdellah BOUSSOUF qui veulent à tout prix prendre les rênes du CCME. Cette lutte intestine de leadership, rend le climat du CCME indésirable.
A défaut de cumul des mandats, YAZAMI Semble soutenir Amina ENNCEIRI (employée à génériques) qu'il couve tel un œuf dans la perspective de sa succession au sommet de la pyramide du CCME pour des raisons qui restent brumeuses et en dépit d'innombrables vicissitudes qui, sous d'autres cieux, auraient amplement suffi à une élimination.
Même s'il a toujours nié avoir un dauphin pour sa succession, YAZAMI travaille bel et bien au sacre d'un des potentiels candidats. En voulant trop maintenir dans la pénombre son dauphin, YAZAMI a fini par exposer au regard indiscret des amis intimes la silhouette d'Amina ENNCEIRI. Les tenants du pouvoir ont ceci en commun qu'ils refusent tous, et à juste titre, de laisser trainer dans la rue le nom de leurs successeurs au risque de les exposer aux agressions des adversaires potentiels.
Ce principe qui consiste à faire l'innocent tout en étant l'unique et le vrai manœuvrier est malheureusement bien connu. La musique a horreur de la cacophonie disait un célèbre philosophe.
Le spectacle auquel YAZAMI nous oblige à assister n'est rien d'autre qu'une façon de nous abrutir davantage.
A l'analyse et selon toute logique, le président sortant tient à la préservation des acquis et à la continuité des actions initiées sous son règne.
En qui peut-il mieux placer sa confiance que les hommes et les femmes qui l'ont aidé à obtenir l'honorable bilan qui fait aujourd'hui la fierté de la majorité des fonctionnaires du CCME ?
Or, au fond, rien ne prouve que YAZAMI a des griefs contre son homme de confiance AJBALI qui est sans conteste le mieux placé. AJBALI qui cumule plusieurs années d'expériences de gestion du CCME faisant preuve d'une fidélité et d'une loyauté sans faille envers son mentor YAZAMI.
En plus de plusieurs années d'amitié et de collaboration, les deux hommes ont presque tout partagé, tout vu, et tout connu des Marocains de l'Etranger et de leur réalité.
Même s'il ne s'est jamais prononcé publiquement sur sa candidature au CCME, AJBALI ne cache plus ses ambitions même s'il n'est pas bavard.
D'ailleurs, selon de très crédibles indiscrétions, il aurait abordé le sujet avec son complice et patron YAZAMI..
Peut-on croire que AJBALI soit si dupe au point de s'engager dans une si périlleuse aventure sans l'accord préalable de celui à qui il doit presque tout en
termes de privilège dans le CCME?
AJBALI connait bien YAZAMI. Une telle « désobéissance » occasionne généralement d'impitoyables représailles. Et c'est bien connu. Et si c'était le cas, AJBALI aurait-il donc mis en péril ses avantages ?
Quel drame se serait abattu sur ces deux hommes au point de rompre un si fort lien combien sacré ?
Un autre prétendant est BOUSSOUF. Il sait que pour escalader les marches du 4éme étage du siège du CCME, il ne suffirait pas d'avoir le titre du Secrétaire général du CCME. Il lui faut aussi des connaissances. En ce qui concerne les Connaissances, Belharach semble les avoir déjà fournis mais discrètement, très discrètement. Sa présence dans toutes les cérémonies officielles correspond à un message facile à être décodé. D'ailleurs, le mieux placé parmi les plus habiles n'est autre que BOUSSOUF. En plus de cette force incontournable au serviceexclusif de belahrach, il faut ajouter une forte « colonie d'abeilles » venant de laruche.
A n'en pas douter, le débat actuel qu'animent les membres du CCME n'aura d'autre aboutissement qu'une fracture. Une de plus, à la différence que cette
fois-ci, l'acteur principal s'appelle BOUSSOUF.
La nomination d'un nouveau secrétaire général au Conseils des Oulémas à l'étranger constitue un savant stratagème visant à offrir à BOUSSOUF une
occasion pour diriger le CCME.
Dans tous les cas, même si BOUSSOUF semble mieux incarner la continuité du CCME que d'autres, il est chimérique de croire que les portes du 4ème étages
s'ouvrent si facilement.
Il faut donc se mettre à l'évidence que les marocains ne sont pas hostiles aux notions de candidats naturels, successeurs virtuels, et de dauphin.
Le Conseil National des droits de l'homme
YAZAMI, nommé par le Souverain président du Conseil national des droits de l'Homme. Il doit se sentir bien heureux de voir Rochdi Chraibi voler à son «secours», à chaque fois qu'une foudre s'abat sur lui. Qu'il doit être heureux !
Pour avoir un poste, faut-il savoir se faire caméléon, avoir l'ingéniosité de pouvoir retourner sa veste en fonction des situations ? Cela semble être la règle de YAZAMI et ses amis. YAZAMI a eu le mérite de mettre à nu cette tortuosité dont les principes ne sont régis que par leurs intérêts du moment.
Il y a quelque chose d'obscène dans cette obstination butée qu'ont nous dit de vouloir encore s'autoproclamer grands acteurs d'une petite histoire éternellement réécrite. Sur les sentiers de l'abîme, la rhétorique est la même, la sémantique globale identique, celle du large abandon de tout principe de tenue ou d'exigence morale, et les mêmes petits rôles resservis avec plus d'effets de manche, et déclarations d'intention.
Ils font semblant de partir, mais ubiquitaires ne font que changer de masque à l'occasion de l'évolution des rapports dans les conseils. Ce qui change finalement ce sont le faciès et le nom du régent.
Le CCME avec YAZAMI a atteint le degré zéro de la défense de l'intérêt des marocains à l'étranger, et a nié le respect de la citoyenneté, et est devenu le comble de la perversion en tous genres, les membres ne savent plus faire que semblant, ils sont devenus des nombrilistes, en voulant regarder devant sans ……..
YAZAMI est en rupture de ban avec le « droit » la « démocratie » et la transparence. Si Les MRE sont en droit de s'interroger sur leurs exclusions pour le 25 novembre prochain, à qui s'adresseront ? A YAZAMI président du CNDH qui les a roulés en farine?
L'un des traits saillants qui caractérisent cette structure « CNDH », est le choix des amis de YAZAMI comme : Myriem Khrouz fonctionnaire au CCME et fille de l'ami Driss KHROUZ directeur de la Bibliothèque nationale du Royaume à Rabat et qui permet à YAZAMI d'organiser des rencontre dans sa Bibliothèque. Myriem n'a rien avoir avec les droits de l'homme. Son seul atout aux yeux de YAZAMI c'est la crique de la famille Royale dans son article « Le business des fondations royales” dans lequel Myriem dit que « les fondations royales illustrent au mieux l'emprise de la monarchie sur le champ social. Mais le roi n'est pas le seul à se mettre en scène. Sa famille et quelques caciques du régime en tirent également des bénéfices en termes d'images. Les princesses sont ainsi impliquées dans les Fondations royales qu'elles président, mais sont également à la tête d'une multitude de fondations caritative, dont l'impact reste modéré, même si leurs actions sont toujours relayées par les médias officiels … »
Noureddine Mouaddib président de L'Université internationale de Rabat dont les actionnaires sont : Madame YAZAMI dont le mari est président du CCME et CNDH, Mr Driss KHROUZ, et quelques autres hauts fonctionnaires. Ce projet a été d'abord soumis au Prince…. qui lui a octroyé un terrain à Ain AOUDA à Rabat, mais un haut fonctionnaire et actionnaire a déconseillé. C'est un projet bisness soutenu par Driss YAZAMI et Chraibi qui ne présente aucun bénéfice pour le Maroc et que l'Etat aurait mieux fait de se focaliser sur la réforme de l'université lancée il y a cinq années, qui ne concerne pas encore des facultés prestigieuses comme celles de médecine et de pharmacie….
D'autres ……
Nous reviendrons plus en détail sur les membres du CNDH choisi par YAZAMI dont la plus part seront des figurants comme ceux du CCME.
Le défunt CCME
Il est vrai que le CCME est déjà cliniquement mort. YAZAMI donne encore l'impression que le CCME existe, Il s'adosse à la futilité, dont il est en train de pomper toutes les ressources, en vue de mettre le CCME à plat. Il prévoit d'organiser une rencontre des femmes à Marrakech au mois de décembre 2011 et une autre sur les compétences. A dire vrai, l'objectif est la parution des photos de YAZAMI dans les pages de journaux : les rencontres stériles ne sont pas les priorités des RME et la réalité demeure fort éloignée de ce que sont en droit d'attendre les Marocains de l'étranger.
Quand YAZAMI partira, son camp (Youness AJARAI, TOUALLI, ENNCEIRI, HASNAOUI, ….), se trouvera dans la même situation qu'une équipe de football, dont le meilleur joueur a été suspendu, et qui doit néanmoins disputer une finale décisive ! que feront ses acolytes après YAZAMI dans un CCME qui n'a pas gardé un œil attentif sur l'état de l'opinion, les mouvements d'humeur au sein de la société des Marocains du Monde, Sans oublier la réprobation générale contre les tripatouillages constitutionnels, l'impunité et le système patrimonial à tendance dynastique ! Le CCME n'a jamais vraiment fonctionné comme il aurait dû le faire. C'est parce que le CCME n'a jamais vraiment fonctionné comme un conseil, mais comme le Parti Bachar al ASSAD en Syrie, qu'il se trouve dans une impasse existentielle.
Le CCME devait consacrer une partie de sa mission aux renforcements des politiques migratoires, avec l'émergence de valeurs démocratiques nouvelles.
Or à quoi sont parvenus les MRE? A rien. Ils sont restés « planté là » ; toujours au degré zéro des problèmes. Ils sont toujours confrontés aux problèmes de rapatriement de dépouille, les problèmes de la retraite, la sécurité sociale et leurs enfants sont dans les prisons.
Nous sommes très nombreux à nous interroger sur le devenir de cette institution constitutionalisée mais très décriée, qui a largement failli à ses missions originelles tout en engloutissant l'essentiel des budgets alloués à notre communauté.
C'est soulager sa conscience et c'est le principal, dénoncer un cas de corruption dans un pays comme le notre c'est comme jeter une goutte d'eau dans un océan. Mais il se pourra que cette dénonciation soit un facteur ou un déclic généralisé pour mettre les responsables en éveille et luttent efficacement contre ce fléau YAZAMI qui gangrène notre société.
hassan SNOUSSI


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.