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Indice de liberté économique : Le Maroc à la 103ème place
Publié dans Yabiladi le 20 - 01 - 2014

Le rapport 2014 de l'indice de liberté économique vient de paraitre, mais les nouvelles ne sont pas très bonnes pour le Maroc. Après une régression en 2013, le royaume chérifien vient de reculer une nouvelle fois pour se situer au 103ème rang sur 178 pays. Même au sein de la région MENA, le Maroc ne fait pas meilleure figure. Détails.
Avec un score de 58,3, le Maroc est classé 103ème - parmi 178 pays - de l'indice de liberté économique 2014, dont les résultats ont été présentés vendredi dernier par la Fondation Héritage, un laboratoire d'idées américain à la base de ce classement.
C'est bien une mauvaise nouvelle pour le royaume chérifien qui régresse une nouvelle fois. Au 87ème rang en 2012, il avait déjà, en effet reculé à la 90ème place en 2013. D'après les auteurs du rapport, la contreperformance enregistrée cette fois est due au recul de la liberté commerciale, la corruption, et la liberté monétaire dans le pays. Au niveau réglementaire, le rapport regrette la lourdeur du système pour les investisseurs, face à l'inefficacité du marché de l'emploi, le chômage chronique et le sous-emploi.
Au niveau de la région MENA, le Maroc a également dégringolé. Le royaume chérifien arrive en effet au dixième rang, alors qu'il était 7ème en 2013. Toutefois il se hisse en tête des pays maghrébins, puisqu'il devance la Tunisie (11ème) et l'Algérie (14ème). Cette année encore, le Bahreïn reste le pays de la région MENA le plus offrant en terme de liberté économique, suivi des Emirats Arabes Unis et du Qatar.
Globalement, la Chine reste le pays le plus économiquement libre au monde, suivi –comme d'habitude – de Singapour et de l'Australie, quand la France arrive au 70ème rang.
Historiquement parmi les plus fortes baisses
Créé en 1995, l'indice de liberté économique est fondé sur un ensemble de dix critères économiques regroupés en quatre catégories, à savoir, l'autorité de la loi, les limites du gouvernement, l'efficacité de la réglementation et l'ouverture des marchés. «Au cours des 20 ans de l'indice, le score de la liberté économique du Maroc a chuté de 5 points, l'une des 20 plus fortes baisses», remarque le rapport. Désormais classé «Quasiment non libre», le royaume chérifien a réussi une seule fois à figurer parmi les pays «modérément libres».
Bien que le Maroc tente d'intégrer son économie dans le marché mondial, des «défis critiques» altèrent sérieusement ses efforts, estime le rapport. Il s'agit notamment de l'éradication de la corruption, la maitrise des dépenses du gouvernement relativement élevées, les déficits budgétaires qui se poursuivent, la dette publique qui ne cesse de grimper (actuellement à environ 60% du PIB).


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