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Historique du sport à Mazagan
Publié dans Eljadida 24 le 12 - 07 - 2013

De 1914 à la fin de la première guerre mondiale, plusieurs clubs vont être crées au Maroc, en
1920 pratiquement, chaque grande ville avait au moins un club sportif.
Les programmes des rencontres entre les différents clubs étaient organisés par le comité central des sports constitué à l'image de la vielle "Union des Sociétés Français des Sports Athlétiques" (U.S.F.S.A.). À ce moment là, naissent en France les Fédérations Sportives Autonomes représentées par des Ligues et Comités qui se fondèrent immédiatement au Maroc et elles étaient devenues les représentants officiels. C'est à cette époque (juste après la première guerre mondiale) que le sport au Maroc va connaître son premier véritable essor. Cependant, le nombre de marocains affiliés sera très restreint parce que la pratique sportive au sein des clubs et associations sportives n'était réservée qu'aux européens.
Pendant cette période, l'armée et l'école vont jouer un grand rôle dans la propagation et la diffusion des exercices physiques et du sport moderne au Maroc. Cette période était aussi celle du démarrage du sport scolaire avec la création des Associations Sportives Scolaires (A.S.S.) en 1921 qui joueront un rôle important dans le développement du sport au Maroc. Ainsi, on peut dire que c'est le sport scolaire qui a influencé l'évolution de tout le mouvement sportif durant la période coloniale.
Pendant la période du protectorat, le sport en général et le football en particulier faisait partie des activités réservées en priorité aux européens essentiellement Français et Espagnols ! Il leur revenait de créer, gérer et diriger les clubs. Les ligues et en général toute association. Néanmoins pour renforcer leurs effectifs, ils étaient obligés de faire appel à quelques
« Indigènes » dont les qualités et les performances se sont avérées exceptionnelles. À Mazagan, les associations sportives s'appelaient :
S.C.M: Sporting, Club Mazagan (Football)
M.U.C: Mazagan, Universitaire Club (Handball)
B.C.M: Basket Club Mazagan (Basket ball)
T.C.M: Tennis Club Mazagan (Tennis)
C.E.M: Cercle Escrime Mazagan (Escrime)
C.N.M : Club Nautique Mazagan
ESMM : Ecurie Sport Mécanique Mazagan (automobile)
C.B.D : Club des boules des Doukkala
A.N.M : Association nautique de Mazagan
C.C.M: Club Cyclisme Mazagan
Football
Le S.C.M qui a toujours fait partie de l'élite avait comme président Yvars (policier de sinistre mémoire), entraîneur et homme à tout faire. Ses matches se déroulaient sur le terrain de l'actuel lycée Ibn Khaldoun jusqu'au début des années 50 puis le stade Archambault, l'actuel stade El Abdi. Les familles Rizzo, Jacquety, Chatillon fournissaient l'essentiel des Joueurs Européens. Les Marocains étaient recrutés parmi les pratiquants de la plage Gharbaoui, Mahjoub, Charqui, Bouâalam, Belhaj, Kadmiri, Birto, Haj Kamel, Nino Levy, Jacques Benaroche, Lopez , Chatillon, Guy et plus tard Samame, Jacquety, Riffi, Fabre, Paralsi, Baba, Miloud, Si Khlifa, Haj Salah, Zoufri, Labdi, Chtaïni …..
Les compétitions étaient organisées par la ligue du Maroc qui dépendait directement de la Fédération Française de Football (F.F.F).
Vers la fin des années 40, une poignée de jeunes marocains issus de toutes les classes sociales, d'un niveau intellectuel très appréciable pour l'époque, parfaitement bilingues et dont le patriotisme n'avait d'égal que leur confiance dans l'avenir du pays, ont décidé d'organiser un championnat local ouvert à toutes les équipes de la ville qui pratiquaient alors le Football, les vendredis entre le Casino et l'enceinte du port (plage).
Les équipes organisées par quartiers : Sfa, Derb Ghalef, Kalâa, Derb Touil, Sidi Daoui… avaient pour objectif de remporter le championnat local. Il y avait comme équipes les plus en vue : le Rachad, le Difâa, le Hilal, le Nejm, le Hayat, le Youssoufia, le Hassania …
Au début de l'année scolaire et sportive 1952 -1953, les responsables du Difâa : Benchâa
(Algérien), Belâarbi Bakel, Dahchi, Boumelha, impressionnés par l'exemple et les résultats du WAC, seul club à 100 /100 marocain à l'exception d'un certain Gomez, et fort du soutien de la population ont décidé de franchir le Rubicon en entamant les démarches pour engager leur équipe dans le championnat de la ligue du Maroc. Le club adopta le nom du Difâa Club Africain (D.C.A), et des démarches pour l'acquisition d'un terrain d'entraînement étaient très avancées du côté de Sidi moussa car la municipalité de l'époque avait réservé le stade Archambault pour la seule équipe du S.C.M. L'effectif était composé de Hansali, Mahjoub, Moulay Saïd, Tijani, Boumelha, Benchâa, Belazri Omar, Chtaïni, Mehdi, Gharbi Abderrahim, ainsi que des jeunes dont un certain Abdelkébir Khatibi avec les Chiadmi, Harkati, Bencherki Mustapha …
Afin d'empêcher la création de cette association considérée à juste titre comme un symbole de l'émancipation de la jeunesse marocaine et sous la pression des autorités coloniales, chef de région, contrôleur civil, et l'intraitable Yvars, des conditions inacceptables ont été posées par la ligue du Maroc :
-Le président doit être Européen.
-Au moins 6 joueurs doivent être de « souche » Européenne.
-Elimination du mot : club Africain du nom de l'association.
Devant ces conditions draconiennes, les responsables du Difâa, Hassan Benchâa et Belâarbi Bakel prirent contact avec la F.F.F qui après étude du dossier ordonna à la ligue du Maroc d'accepter l'engagement du Difâa en championnat pré-honneur pour la saison sportive 1953-1954 selon le modus vivendi suivant :
-La présidence a été confiée à Monsieur Frappart, un français libéral (comme on les appelait à l'époque : anticolonial) et qui était instituteur à l'école des fils des notables (actuel collège Lalla Meryem).
-Les joueurs pouvaient être à 100/100 marocains.
-Le DCA devenait : le Difâa Club Athlétique au lieu d'Africain.
Ayant donc réussi son examen, le Difâa ou DCA commença la préparation de la saison sportive et plusieurs joueurs du Sporting ont commencé à rallier le Difâa entre autre le gardien de but Mahjoub et l'avant centre Chtaïni …Cela ne va pas durer longtemps.
Le 20 Août 1953, avec l'exil du Sultan Sidi Mohamed Ben Youssef, le Difâa a gelé ses activités et en 1955, le Difâa organisa des journées mémorables au quartier Sfa chez Driss Admoune et à la fin des festivités, il a été décidé de réactiver le D.C.A. Parallèlement à ces événements, le Hassania commença à récupérer les joueurs du Sporting.
Et en décembre 1955, les dirigeants du Difâa et du Hassania, qui ont eu toujours des relations très fraternelles, ont décidé de fusionner les deux équipes pour créer le Difâa Hassani Jadidi Athletic Club.
Handball
Au Lycée mixte d'El Jadida, dans les années 50 un professeur de gym, Laurence de son nom, qui était un féru du handball, a constitué une équipe où figuraient les Dahbi, Bouafi, Gonzales, Fofana, Hcine, Bettioui, Aboukinane et bien d'autres. Cette équipe du lycée portera le nom Mazagan universitaire club (MUC) avant de devenir par la suite connue sous le nom EJUC (1956) qui constituera l'une des meilleures équipes du Maroc à l'époque. Face à des équipes comme le Stade marocain, le CODM, l'OCK, les joueurs de l'EJUC sortaient des rencontres épiques et la salle des sports d'El Jadida affichait complet tous les dimanches matin ou samedi après-midi. Dahbi, Bouafi, Fofana, Hcine, Bettioui et Aboukinane constituaient l'ossature de l'équipe nationale.
Malheureusement, à partir de 1976, le déclin de l'EJUC a été dû essentiellement à la mauvaise gestion du club, aux infrastructures déficientes et au mauvais encadrement technique.
Basketball
On n'a pas gardé trace du premier match officiel de l'équipe Basket Club Mazagan (BCM) disputé à Mazagan, mais en l'espace de quelques années après son introduction dans la ville, cette discipline connut une ascension prodigieuse et vers les années Trente, elle s'étendit sur l'ensemble de la région, jusque dans les plus petites localités où les militaires et les colons en firent découvrir les rudiments aux adolescents d'origine européenne.
Ce furent par la suite les enseignants qui prirent le relais de cet apprentissage car l'école offrait l'espace par excellence au sein duquel le Basketball devait connaitre son développement et prendre son élan. Vers les années quarante, le Maroc comptait déjà un grand nombre de licenciés pratiquant dans beaucoup d'équipes constituées dans leur quasi-totalité d'associations européennes issues de clubs omnisports appartenant aux grandes sociétés françaises implantées au Maroc (Phosphates, chemins de fer, Tabacs, Sucre…) et des communautés résidant dans le pays (Italiens, Espagnols…).
Toutes ces associations sportives étaient implantées dans les principales villes du Royaume comme Casablanca, Rabat, Fès, Meknès, Marrakech, Oujda, Khouribga, Mazagan (El Jadida), Mogador (Essaouira), Port Lyautey (Kenitra)…
Dans les années cinquante, les joueurs du Basket Club Mazagan ont livré des rencontres contre leurs homologues d'Algérie, de Tunisie et de France durant cette période.
Cette équipe a joué, à l'époque, un rôle important dans le championnat du Maroc et eut la chance de bénéficier à cette époque du talent de bons joueurs tel qu'Oiknine ex-joueur international, Nahon, Bencherki, Benabbou et Lleul.
Sport mécanique
Né à Mazagan le 6 mai 1919, d'un père officier de marine et d'une mère qui passait sa vie à chanter devant son piano, André Guelfi est livré à lui-même très tôt. Dès l'âge de dix ans, il conduit la voiture familiale en interposant des cales et des coussins pour se hisser à une hauteur suffisante; il gagne quelque argent en conduisant les touristes à la plage...
La guerre éclate et Guelfi se retrouve, grâce à ses dons de conduite, chauffeur d'officiers.
Au début des années cinquante, il se lance dans la course automobile. Après avoir couru sur Delahaye et Jaguar, il intègre l'équipe Gordini en 1953. Il retourna à Mazagan et fonda avec des fans du sport mécanique ce qu'on peut appeler « une association de courses » qui était connue chez les amoureux de cette discipline sous l'appellation « Ecurie Sport Mécanique Mazagan ». Guelfi sera champion national en 1955. Il pilotait souvent les voitures bleues quand elles y sont engagées.
Escrime
Le Cercle Escrime Mazagan, constitué par Carpozen, était dans les années 50 très redouté vu qu'il se composait de talentueux escrimeurs tels Vasquez, Cherkaoui, Bigot, Filiatreau, Orsero et Charles El Gressy (né le 17 Juin 1929 à Mazagan).
Charles El Gressy a participé à trois épreuves au Jeux Olympiques d'été 1960 à Rome et a remporté une médaille de bronze au nom du Maroc.
Sport nautique
L'Association Nautique de Mazagan (A N M) fut fondée en 1925. Son maillot est blanc cerclé de bleu à hauteur de la poitrine, avec une culotte bleue et des pelles blanches barrées de bleu. Son pavillon est de couleur bleu et blanc. La plupart des régates s'organisaient sur l'Oum R'bia à Azemmour. Très actif avant la guerre mondiale (39-45), le club donnait des résultats plus que remarquables, dominant la plupart des compétitions dans lesquelles les mazaganais se distinguèrent très brillamment, plusieurs fois de suite, et même aux championnats de France. Parmi les stars de l'ANM, citons Dandy (yachting) qu'on surnommait « l'imbattable » ou le caneton numéro 1du pays car à chaque épreuve, il affichait d'un bout à l'autre une supériorité telle que les autres concurrents ne luttaient que pour la seconde place.
Entré en léthargie, l'ANM ne se réveille que dans la fin des années 50. Ce sont messieurs Saddock Fitouri (président) et Mohamed Boumehdi (secrétaire) qui ont eu le mérite de tenter de relancer l'activité du club.
En 1958, seuls dix clubs étaient bien dotés et équipés en matériel de tous genres servant à la pratique de l'aviron. Mais ce nombre n'a cessé de diminuer, et ce, suite au départ massif des français qui étaient les principaux pratiquants de ce sport, et seuls trois clubs : l'ANM (El Jadida), le CNR(Rabat), le CNK(Kenitra) et l'ADM(Casablanca) ont subsisté.
Le club de DHJTC est un patrimoine qui fait la fierté d'El-Jadida et que nous devons préserver, améliorer et développer pour le bonheur des Jdidis
Tennis
Le Tennis Club Mazagan (T.C.M), crée en 1927, est l'un des premiers clubs du tennis au Maroc. Il a enfanté plusieurs grands tennismen tel que M. Fabre qui a été président du club et président de la fédération marocaine du tennis. Et dans les années 60 -70, le club, qui est devenu Difâa Hassan Jadidi tennis Club (DHJTC), comptait une cinquantaine de classés, hommes et femmes dans toutes les catégories.
Parmi les premiers marocains qui ont joué au tennis au temps du Protectorat, on peut citer Omar Fassi Fehri, M'Fadel Lahlou, Omar Skalli, Mohamed Amor et Mokhtar Belfakir.
À noter que Feu Lyazid Chergui a été, dans les années 60-70, à la tête du club pendant plus d'une dizaine d'années.
Pétanque
Quelques fanatiques de la pétanque, d'origine marseillaise, ont eu l'idée saugrenue de se réunir et de fonder un club de pétanque à Mazagan. Le club fut créé en 1947 sous le nom « Club des boules des Doukkala(C.B.D) ». Les autorités communales de l'époque mettaient à leur disposition un petit chalet de bois situé au Sud-ouest du parc Spiney, jouxtant un terrain où on pouvait jouer aux boules. Trois pistes sont alors aménagées, ce qui permet d'accueillir des foules surtout le dimanche. Très vite, le club est inscrit à la Fédération française de Pétanque, et participe aux championnats organisés par celle-ci. Parmi les meilleurs boulistes du club, on peut citer la doublette mazaganaise : Bosquet et Lestra.


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