CKay, ce diamant noir de l'Afrobeats, est prêt à faire danser la foule avec des titres comme « Emiliana » ou les introspections d' « Emotions », et à graver son nom dans l'histoire du festival. Un rendez-vous où les notes s'élèvent comme une prière universelle. Suivez La Vie éco sur Telegram Ce vendredi 20 juin 2025, la médina d'Essaouira s'apprête à vibrer sous les assauts de l'Afrobeats. La 26e édition du Festival Gnaoua et Musiques du Monde accueille ce soir, sur la scène Moulay Hassan, la sensation nigériane CKay, prêt à faire chavirer les cœurs avec son Afrobeats, un cocktail envoûtant de rythmes africains et d'émotions brutes. Chukwuka Ekweani, alias CKay, n'est pas un inconnu. Propulsé au firmament par son tube planétaire Love Nwantiti, qui a squatté la première place des charts Shazam mondiaux pendant plus de deux mois et cumulé 6 milliards de streams, l'artiste nigérian s'est imposé comme une figure incontournable de l'Afrobeats. Ce soir, il promet un set où se croiseront ses hits (Emiliana, Hallelujah) et les pépites de ses récents projets : l'EP CKay The Second (2024) et l'album Emotions, où il tisse des récits d'amour et de quête intérieure avec une flûte Oja et des beats électro-modernes. «Emotions, c'est ma vulnérabilité mise à nu, un instantané de mon parcours», confiait-il récemment. Le Festival Gnaoua vibre avec CKay, joyau rare de l'Afrobeats, auréolé de 6 milliards de streams et d'échos aux BRIT et BET Awards. Ce soir, sa musique résonnera dans la médina d'Essaouira, effleurant l'âme intemporelle du festival sans s'y fondre, tissant un fil d'émotions entre Lagos et l'Atlantique. Un instant suspendu, que la foule, frémissante, attend comme une offrande.
