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Ouadih Dada raconte «Dans l'œil du lion»
Publié dans Les ECO le 07 - 02 - 2019

Star du journal télévisé pendant des années, le journaliste et chroniqueur Ouadih Dada revient avec un troisième livre en moins de 4 ans intitulé «Dans l'œil du lion». L'homme aux 2.000 JT revient sur son parcours à 2M. Détails.
Aïn Sebaâ, là où tout a commencé pour Ouadih Dada, est le personnage principal de Dans l'œil du lion, roman du visage le plus connu du JT marocain. Le journaliste y raconte, comme dans un rêve éveillé, son retour au pays à l'âge de 25 ans, où il vient passer un stage de fin d'études à 2M. Il ne se doute pas que ses rêves les plus fous allaient se réaliser. «Cela a toujours été un rêve de gamin! Je regardais Patrick Poivre d'Arvor à la télévision et je me disais que je voulais faire ce métier !», confie le présentateur aux 2.000 JT.
Fin d'un chapitre d'une carrière multidimensionnelle...
Plus qu'une autobiographie, «Dans l'œil du lion» est une façon de clore un chapitre d'une vie professionnelle pour en commencer un autre. En 2017, celui qui avait habitué les téléspectateurs à «Même heure, même endroit» annonçait qu'il ne présenterait plus le journal télévisé pour se consacrer à sa carrière d'écrivain et de chroniqueur. Il sort alors le recueil de chroniques «Imaginez si c'était vrai ?!» et «7080» où il raconte l'histoire de Youssef Zouini, victime d'une erreur judiciaire. «Je souhaitais refermer ce long chapitre de ma carrière professionnelle à travers ce bouquin, partager mon expérience avec les jeunes journalistes qui me sollicitent sur les réseaux sociaux, et laisser un témoignage à mes fils qu'ils pourront peut-être exploiter au cours de leur vie», explique l'ex-présentateur télévisé. «Ce n'est pas un règlement de compte, je ne suis pas dans cette perspective. Je ne lave pas mon linge sale en public. Tout n'a pas été rose, il y a eu de belles choses et de moins bonnes», continue-t-il, comme pour faire taire les rumeurs qui ont entouré la sortie de son livre.
… et début d'un autre !
En racontant ces 12 années d'expérience, Ouadih Dada souhaite s'ouvrir sur à nouvelles aventures. Chroniques, romans, il crée un nouveau rendez-vous télévisé 100% africain «Continentales» où il sillonne l'Afrique pour faire la lumière sur ses talents. «J'aurai pu rester dans ce fauteuil-là pendant des années! Mais je suis quelqu'un qui a besoin de sortir de sa zone de confort. Il s'est passé plein de choses au sein de l'administration. Je n'avais pas envie qu'on vienne me remercier un jour. Que ce soit les téléspectateurs ou la direction. Je voulais décider de partir et pas me le voir imposé d'une manière ou d'une autre», confie le journaliste écrivain dont les parents sont originaires de Bhalil, dans l'ancienne région de Fès-Boulemane. Né le 8 février 1981 à Pierrelatte (sud-est de la France) et il nourrit le rêve de devenir un grand journaliste TV. Il obtient une maîtrise de droit à Avignon et fait ses débuts dans le journalisme au quotidien «La Provence» avant de décrocher un diplôme d'études approfondies (DEA) en droit public, à Montpellier, puis un master en journalisme à Grenoble en 2006. C'est à ce moment-là que l'opportunité de faire un stage au Maroc se présente. Dans son roman, il raconte son départ avec beaucoup d'émotion et de sincérité: «Nous revoilà, Sihame et moi, mais cette fois avec Afafe et Jamal, sur le parvis de la gare. Pas besoin de m'accompagner jusqu'au quai, je ne veux pas de ces départs comme on en voit au cinéma. Je les hais tant, que jamais il ne me serait venu à l'esprit qu'il aurait pu s'agir d'un adieu. Je prends Jamal dans mes bras, le serre très fort comme on avait l'habitude de le faire lorsqu'on se quittait à la fin du week-end pour retrouver chacun de notre côté le chemin de l'université». Dans les pages du roman, Ouadih Dada fait le point sur ses débuts et sur l'expérience qui l'a rendu populaire auprès du public. «Je monte à bord de leur 4L dont je prenais souvent le volant pendant les vacances. Elle avait une légère odeur de France, comme un sevrage avant de pénétrer totalement dans ce Maroc de mes origines», raconte-t-il dans son livre. Un Maroc qui le marquera à jamais et qu'il marquera également, sans même le savoir.


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