Désinscriptions, baisse d'activité et manque d'attractivité. Six mois après l'entrée en vigueur de la loi de Finances et l'instauration d'un taux libératoire de 30%, les impacts sur le statut de l'autoentrepreneur restent mitigés. À tel point que des voix appellent l'Etat à rectifier le tir, au risque de voir les acquis s'évaporer pour les jeunes entrepreneurs. «Les dispositions de la Loi de finances 2023 ont eu un impact négatif - pour ne pas dire catastrophique - sur le mindset des... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.