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Télégramme
Publié dans L'opinion le 22 - 11 - 2013

Quel rapport entre la harira, la harcha, cette galette qui fait la loi dans les souks, et la jellaba ? Elles reflètent bien l'exception qui fait la règle là où on ne l'attend pas. La harira une fois ingurgitée, on n'a plus envie de manger autre chose, surtout après 1 ou 2 bols. Même topo pour la harcha qui bourre le ventre. Enfin, la jellalba surtout en laine, on est bien au chaud lorsqu'on y entre sans frapper. Elle couvre tout le corps qui a besoin de chaleur quand le thermomètre s'y perd en valeur. Une fois dedans, on n'a plus besoin d'ajouter quoi que ce soit, ni cache-col, ni châle - pour les femmes - ni gants, c'est pas dans les mœurs alors qu'il gèle à la montagne isolée que des citoyens solidaires découvrent avec effroi, le froid ne mobilisait pas autrefois.
Dans bien des cas, il ne faut pas croire que la jellaba c'est pour faire chic dans les enterrements à Ben Msik ou à Bab Maâlka.
Maintenant, on enfile le jellab, comme on dit dans le Nord, parce cet habit, qui ne fait pas le moine, est tout indiqué pour se protéger contre le froid qui n'épargne ni les chaudronniers ni les rois. Un froid qui devient de plus en plus dur sous nos cieux, dominés pourtant par le bleu. stop.
Les jeunes gens qui ont salué la qualification du voisin au Mondial ne sont pas sortis dans la rue pour crier : viva l'Algérie, sont les mêmes qui souhaitent l'ouverture des frontières depuis un bon bout de temps, qui leur donne raison car les temps pressent et tout indique que l'union, qui fait force, mobilise, des deux côtés de la frontière, des hommes et des femmes. La victoire des Fennecs c'est un peu la nôtre car, dans le reste du monde, on parle de l'Algérie et souvent du Maghreb arabe. Car le pays de Warda et Katib Yacine, dont le fils fait un tabac dans les concerts à Essaouira et autres festivals, ne se trouve pas à des milliers de kilomètres de la Tour Hassan, mais à nos portes. Comme souvent au Mondial où Blatter qui prétend ne posséder ni terre ni yacht, qui passe son temps à étouffer les scandales qui l'éclaboussent, le Maroc comme l'Algérie suivent les matchs du voisin, non sans passion. Et quand un match est gagné, c'est la joie dans les cafés, qu'il soit signé H'mad ou Mohamed. On l'a bien vu lors des dernières qualifications.
Le Maghreb se fera coûte que coûte, y compris par le foot et tant pis pour les rétros qui veulent tout mélanger, en ignorant l'avis de la rue qui écoute du rai d'Oujda et de Sidi Bel Abbas. stop.
Rectif. Le couple photographié par un inconscient qui a profité de l'état précaire de ses sujets, est un couple hétéro de sans abri. Ce que le flash d'hier n'avait pas précisé. stop.
Dernier flash sur le 18 Novembre 1956, dont l'affiche en technicolors de l'époque vaut son pesant d'or. Comment ne pas rendre hommage, comme on le fait sur cette rubrique qui ne tombe pas dans le ludique quand il s'agit de sujet sérieux, à Larbi Mambo, un mdini qui a dansé durant deux jours et deux nuits le mambo à l'occasion de la Fête de l'indépendance qui n'a inspiré aucun cinéaste ou documentariste qui a vécu cette époque, dont les anciens gardent dans la tête des images inoubliables ?
Larbi Mambo, issu d'une famille respectable de la médina à qui aucun journaliste des temps présents n'est venu demander au moins une photo, a réussi à immortaliser le mambo dans l'imaginaire des chibanis - déjà ! – ce Mambo qui fut une guinguette des années 50 à côté de l'actuel Pagode de madame Xuan Lan Maret, actuellement hospitalisée à Nice à qui nous souhaitons un prompt rétablissement. Madame Xuan tenait à passer ses annonces de fermeture ou d'ouverture à l'occasion des vacances dans « L'Opinion » des années 60 et nulle part ailleurs, une marque de fidélité qu'on n'oubliera pas.
Quant à Larbi Mambo, son nom jaillit comme une étincelle chez ceux qui se souviennent de la nuit du 18 Novembre 1956 qui a remplacé la nuit du bal du 14 Juillet que beaucoup de Marocains fêtaient sans savoir exactement de quoi il s'agissait dans le tourbillon de la valse musette qui reflétait plus la fête qu'autre chose. stop.
Si le projet de TV parlementaire ressemblera aux échappées belles de Radio Sawa, les radios ont libéré la parole ici, même si ça turlupine des observateurs radoteurs, on n'est pas prêt d' applaudir d'une ou de deux mains.
Il faut d'abord qu'on nous montre un exemple de programme réussi sur Medi1 Sat ou bate, et sur quelques autres stations pour qu'on y croit dur comme fer. Bien qu'il y a des « bernamajes » qui ne traversent pas le détroit à la nage, mais sur un pédalo qui ne les fait pas tomber dans l'eau.
Ce qu'il faut savoir, c'est que la chaîne LPC de l'Hexagone, qui a gagné sa qualif avec les califes de Didier Deschamps, un entraîneur sans histoire, occupe une place de premier ordre dans le concert des téloches moches, prêtes à toutes les concessions qui menacent l'unité du pays de Fréhel, Mistinguette et des dernières guinguettes.,,,
Sur LCP, la chaîne parlementaire donne la parole aux citoyens qui savent à peine où se trouve l'Assemblée Nationale. Ses émissions mettent au pied du mur les chaînes fourre-tout, qui se croient professionnelles que personne n'y tient comme on tient à la prunelle de ses yeux.
Enfin, la chaîne parlementaire LCP est tellement intéressante à bien des égards, qu'on oublie les mièvreries de Patrick Sébastien, Ruquier, Drucker et sa nièce qui profité de la mainmise de l'entreprise de son tonton flingueur du dimanche qui tue la romance. stop.
Comment le Maroc a fâché la BAD (Banque Africaine de Développement), écrit le journal de la chroniqueuse belliqueuse qui frôle la délation, quand elle dit gare à vous, on vous dénoncera, en ajoutant que le Maroc est menacé de perdre les financements de ses projets. Comme si le Maroc était un petit pays d'Outre-Mer qui vit de subventions qu'on offre aux paysans de Cavaillon pour sauver leurs melons contre le cantaloup andalous.
Le même journal qui nous fait peur, comme les faux monstres de Halloween au Morocco Mall, écrit pourtant :
«Le Maroc est le premier client de la BAD avec un montant d'engagements nets établi à plus de 25,7 milliards de DH à fin septembre 2013. La configuration sectorielle de ce partenariat fait ressortir une forte concentration dans les infrastructures qui représentent près de 90% des engagements. Il s'agit notamment des énergies renouvelables, du transport et de l'assainissement. Les autres investissements viennent en soutien aux réformes publiques, aux programmes d'appui à l'agriculture, au secteur privé et à la formation. Actuellement, 11 opérations d'assistance technique, d'un montant de 8 millions d'euros, sont en cours d'exécution».
Alors, où est le mal et de quelle menace parle-t-on ? stop.
Les terrains de sport que le Roi bâtisseur, écologiste et visionnaire a encouragés, dès le départ, de la plage de Rabat – Guenouni annonce la réouverture du restaurant de la plage, que les gourmets attendent de pied ferme – jusqu'à Yacoub El Mansour, en passant par le Borj – rien pour Gharbiya fel badiya – et l'Akkari, sont venus nous rappeler qu'avant ces espaces vitaux qui permettent aux jeunes de s'entraîner sous l'œil vigilant du wali qui ne va ni à Zurich, ni au Mali, qui aime sa ville, il n'y avait à Rabat que l'OM chérie je t'aime, sur le teppaz depuis des décennies, le Stade Marocain, jamais chouchoutés par les Portoricains, et le MSR où on n'organise aucune exposition de peinture patronnée par l'ONCF, l'ONEP, une institution redevenue orpheline depuis la reconduction forcée par la FIFA, la aârifa du foot, d'Ali au pays des merveilles.
Les terrains de sport sur la route côtière, qui donnent une image clean à Rabat où il ne manque que des douches, des vestiaires et des espaces verts, ont transformé la vision d'avenir dans une ville où l'Oued Web a tué la piscine, où madame Tournier venait jouer au bridge, et des petits clubs qui appartenaient au patrimoine du Ribat El Fath qui attendait une renaissance, comme celle du cinéma qui a gardé son architecture et ses structures qui accueillent maintenant au 1er étage des navigateurs. stop.
Les échos de la vie touristique. La tendance est au buffet où l'on se sert à volonté pour le prix d'une escapade au restaurant. Au Sofitel Jardin des Roses qui attire des curieux venus de Casa et d'ailleurs, tant cet hôtel a gagné sa place parmi les grandes enseignes. A la Tour Hassan où Barigou, ancien de l'Amphitrite repris par Jeha, un Libanais au style accueillant, reste un professionnel qui fait honneur au métier. Au Golden Tulip avec sa vue imprenable et sa brasserie où on se croirait chez Lipp avec une soupe à l'oignon qui rappelle les Halles. Un saut également chez Saladin au Diwan dont le restaurant du rez-de-chaussée est bien fréquenté également.
Quant à la nuit, elle reste de toute beauté quand on choisit ses coins évidemment. Vous connaissez la liste des élus. stop.
A lundi.


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