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El Jadida
Nestlé Maroc fête ses 20 ans d'existence
Publié dans Albayane le 27 - 03 - 2013


Nestlé Maroc fête ses 20 ans d'existence
Nestlé Maroc a fêté, ce 25 mars, dans son unité de production d'El Jadida ses 20 ans d'existence. Implantée en 1992, elle n'a cessé de s'appliquer aux normes mondiales les plus strictes au niveau de la technologie, des infrastructures, du respect de l'environnement, de la formation et de la gestion de la qualité.
Faisant sienne la devise «Valeur partagée» pour confirmer son engagement envers les populations de la région d'El Jadida et ses environs, elle a recouru, durant toute cette période, à des transformations majeures d'ordre organisationnelles, technologiques et écologiques. Ainsi, avec au départ 500 millions de DH investis lors de sa construction, près de 270 autres y ont été injectés au fur et à mesure. Ce qui fait d'elle, actuellement, l'une des unités les plus performantes, non seulement au Maroc mais dans le monde. Le gouverneur de la province, Mourad Jamî, présent ce jour, avait émis le vœu que cette «valeur partagée», soutenant ses partenaires ruraux à travers son partenariat avec la Fondation Zakoura Education dans l'enseignement non formel, la lutte contre l'analphabétisme, la fourniture d'outils adéquats pour améliorer leur productivité et la qualité du lait, tels le matériel pour stockage, centres de collecte, subventions, microcrédits, dépasse ce cap pour contribuer au développement du tourisme via l'implantation à El Jadida d'un musée Nestlé à l'instar d'une limonade internationale. Pour les hauts responsables qui s'étaient relayés au micro, l'implantation de Nestlé à El Jadida a marqué un tournant dans son histoire au Maroc. En effet, le groupe, implanté dans le pays en 1927, se contentait de commercialiser ses produits importés essentiellement d'Europe. Aujourd'hui, avec l'implantation d'une unité de production au Maroc, elle couvre, depuis Casablanca, en Algérie et en Tunisie. Comme elle a intégré, au fur et à mesure, la production d'un seul produit, en 1992, à plus de cinq en 2013.La qualité de ses produits est une exigence sur laquelle ne badine Nestlé. Constamment, elle veille à garantir une qualité maximale à toutes les étapes de leur production en s'assurant qu'ils répondent aux besoins nutritionnels nécessaires. Ces produits répondent à des standards élevés en termes de qualité et de sécurité. Le respect de ces standards est assuré par l'application du Nestlé Quality Management System (NQMS). Ce protocole permet une analyse approfondie des risques alimentaires, la gestion des allergènes, la surveillance des agents pathogènes, la prévention des corps étrangers et des contaminations chimiques. Le laboratoire d'analyses, installé à l'usine, permet de garantir la qualité via le contrôle du lait collecté, l'analyse des matières premières, son traitement et sa pasteurisation. A noter que le site l'unité d'El Jadida est certifiée ISO 22000 pour la sécurité alimentaire. Le respect de l'environnement représente pour Nestlé un axe primordial. Certifiée ISO 14001 pour le management environnemental, de nombreuses autres mesures visant la protection de l'environnement dans toutes les activités de l'usine sont mises en œuvre quotidiennement comme la sensibilisation des collaborateurs, le transport, la transformation et l'emballage des matières premières, le contrôle des émissions de gaz à effet de serre ainsi que le suivi des rejets liquides, solides et gazeux. Un système de gestion durable de l'eau a été également mis en place. De ce fait, l'usine dispose de sa propre station d'épuration pour traiter les eaux usées. Cette réussite n'aurait pu avoir lieu, reconnaissent les responsables, sans l'apport inestimable des femmes et des hommes qui œuvrent à la bonne marche de cette unité. Ils sont près de 253 permanents et 191 intérimaires à donner, quotidiennement, le meilleur d'eux même afin de satisfaire le consommateur. Une formation continue et spéciale, en qualité et en sécurité alimentaire, leur est prodiguée dans les différents centres de formation de Nestlé. En guise d'émulation et de récompense, l'usine fait profiter les salariés d'un programme d'estivage, de l'envoi de quelques employés en pèlerinage à la Mecque comme elle leur accorde des primes annuelles à l'occasion de l'Aïd El Kébir ou de l'Achoura, des aides spécifiques au logement et des aides sociales aux cas médicaux particuliers. Enfin, une convention de partenariat de formation et d'accompagnement entre Nestlé Maroc et l'Ecole nationale des ingénieurs d'agriculture de Meknès a été signée.
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Nestlé Maroc a fêté, ce 25 mars, dans son unité de production d'El Jadida ses 20 ans d'existence. Implantée en 1992, elle n'a cessé de s'appliquer aux normes mondiales les plus strictes au niveau de la technologie, des infrastructures, du respect de l'environnement, de la formation et de la gestion de la qualité.
Faisant sienne la devise «Valeur partagée» pour confirmer son engagement envers les populations de la région d'El Jadida et ses environs, elle a recouru, durant toute cette période, à des transformations majeures d'ordre organisationnelles, technologiques et écologiques. Ainsi, avec au départ 500 millions de DH investis lors de sa construction, près de 270 autres y ont été injectés au fur et à mesure. Ce qui fait d'elle, actuellement, l'une des unités les plus performantes, non seulement au Maroc mais dans le monde. Le gouverneur de la province, Mourad Jamî, présent ce jour, avait émis le vœu que cette «valeur partagée», soutenant ses partenaires ruraux à travers son partenariat avec la Fondation Zakoura Education dans l'enseignement non formel, la lutte contre l'analphabétisme, la fourniture d'outils adéquats pour améliorer leur productivité et la qualité du lait, tels le matériel pour stockage, centres de collecte, subventions, microcrédits, dépasse ce cap pour contribuer au développement du tourisme via l'implantation à El Jadida d'un musée Nestlé à l'instar d'une limonade internationale. Pour les hauts responsables qui s'étaient relayés au micro, l'implantation de Nestlé à El Jadida a marqué un tournant dans son histoire au Maroc. En effet, le groupe, implanté dans le pays en 1927, se contentait de commercialiser ses produits importés essentiellement d'Europe. Aujourd'hui, avec l'implantation d'une unité de production au Maroc, elle couvre, depuis Casablanca, en Algérie et en Tunisie. Comme elle a intégré, au fur et à mesure, la production d'un seul produit, en 1992, à plus de cinq en 2013.La qualité de ses produits est une exigence sur laquelle ne badine Nestlé. Constamment, elle veille à garantir une qualité maximale à toutes les étapes de leur production en s'assurant qu'ils répondent aux besoins nutritionnels nécessaires. Ces produits répondent à des standards élevés en termes de qualité et de sécurité. Le respect de ces standards est assuré par l'application du Nestlé Quality Management System (NQMS). Ce protocole permet une analyse approfondie des risques alimentaires, la gestion des allergènes, la surveillance des agents pathogènes, la prévention des corps étrangers et des contaminations chimiques. Le laboratoire d'analyses, installé à l'usine, permet de garantir la qualité via le contrôle du lait collecté, l'analyse des matières premières, son traitement et sa pasteurisation. A noter que le site l'unité d'El Jadida est certifiée ISO 22000 pour la sécurité alimentaire. Le respect de l'environnement représente pour Nestlé un axe primordial. Certifiée ISO 14001 pour le management environnemental, de nombreuses autres mesures visant la protection de l'environnement dans toutes les activités de l'usine sont mises en œuvre quotidiennement comme la sensibilisation des collaborateurs, le transport, la transformation et l'emballage des matières premières, le contrôle des émissions de gaz à effet de serre ainsi que le suivi des rejets liquides, solides et gazeux. Un système de gestion durable de l'eau a été également mis en place. De ce fait, l'usine dispose de sa propre station d'épuration pour traiter les eaux usées. Cette réussite n'aurait pu avoir lieu, reconnaissent les responsables, sans l'apport inestimable des femmes et des hommes qui œuvrent à la bonne marche de cette unité. Ils sont près de 253 permanents et 191 intérimaires à donner, quotidiennement, le meilleur d'eux même afin de satisfaire le consommateur. Une formation continue et spéciale, en qualité et en sécurité alimentaire, leur est prodiguée dans les différents centres de formation de Nestlé. En guise d'émulation et de récompense, l'usine fait profiter les salariés d'un programme d'estivage, de l'envoi de quelques employés en pèlerinage à la Mecque comme elle leur accorde des primes annuelles à l'occasion de l'Aïd El Kébir ou de l'Achoura, des aides spécifiques au logement et des aides sociales aux cas médicaux particuliers. Enfin, une convention de partenariat de formation et d'accompagnement entre Nestlé Maroc et l'Ecole nationale des ingénieurs d'agriculture de Meknès a été signée.
El Jadida
Du bon usage des trottoirs et de la chaussée
Trottoirs et les chaussées. Les premiers sont conçus pour l'usage des piétons et les seconds pour les véhicules roulants.
Mais les trottoirs, ici à El Jadida, comme ailleurs car la mentalité est la même, sont constamment envahis par les marchands ambulants, les cafetiers et les restaurateurs, les voitures en stationnement et par des professionnels de différentes activités : mécaniciens, réparateurs de motocyclistes, menuisiers, soudeurs, ferrailleurs, tôliers qui s'adonnent à leurs exercices sans nullement être inquiétés. Ainsi, le piéton, privé de son passage sécurisant qui ne l'est point à cause de l'état de son dallage très dégradé (une honte!), se voit obligé, à ses risques et périls, d'emprunter les chaussées. Une mauvaise habitude qu'ont prise les citoyens d'El Jadida. Par ailleurs, d'autres artères larges et d'un trafic routier dense servent de terrains aux mordus du football de jour comme de nuit. Ces enragés, inconscients des dangers auxquels ils sont exposés, y organisent de véritables matchs. A défaut d'être percutés ou renversés par un véhicule, ils risquent de nuire aux passants et/ou aux habitants avoisinant ce terrain de fortune. Un ballon tiré de toute force risquerait de casser le carreau d'une fenêtre ou de causer du mal à un enfant, à une personne âgée ou à une femme enceinte par exemple. Cette pratique, devenue générale, n'a été, hélas, jamais combattue. Il arrive, par moments, que ces joueurs driblent une voiture de police sans que les policiers qui y sont à bord ne pipent mot! Dans les deux cas, personne ne semble s'en soucier. Pourtant, l'opération effectuée contre le commerce informel en particulier a donné ses fruits. Elle a permis, tout d'abord, l'évacuation du domaine public, a libéré, ensuite, les chaussées et a fait disparaître, surtout, les vols à la tire et les pickpockets. Un grand bravo au pacha de la ville qui a mené la campagne d'assainissement d'une main de fer et à la sûreté locale qui a placé, en permanence, des policiers dans ce secteur. Mea Culpa du conseil municipal ? Seulement (eh oui!), la campagne aurait été beaucoup plus bénéfique si elle avait touché d'autres coins névralgiques et où la pagaille règne. A titre d'exemple, on cite l'avenue Bandoeng, Panorama, Mouilha et le quartier Jamila. Ces lieux ont la peau de véritables zones industrielles. Dans le nouveau quartier Jamila, le conseil municipal n'a trouvé mieux que de délivrer des autorisations industrielles de 3e catégorie! Voilà de grands ateliers de ferrailleurs, de soudeurs, de menuisiers, de tôliers et autres au rez-de-chaussée d'immeubles habités. Imaginons les risques qu'encourent ces gens en cas d'explosion d'un butane industriel ou du déclenchement d'un incendie. Où est donc ce sens de responsabilité et de citoyenneté, messieurs les élus ? Surtout si l'on sait que ces "faveurs" ne sont point données gratuitement ! Le grand artisan de cette zizanie, selon certains élus, serait le 1er vice- président du conseil qui a élu définitivement domicile dans la municipalité pour des visées électorales et pécuniaires d'après les mêmes sources. On ne peut ne pas comprendre l'attitude de l'autorité locale, en la personne des caïds des arrondissements urbains, qui préfèrent s'enfermer toute la journée dans leurs bureaux au lieu d'accomplir consciencieusement et pleinement leur devoir de veilleurs sur le respect de la loi et sur la sécurité de la communauté! Pour le cas des footballeurs, il fut un temps où s'adonner à ce jeu sur une voie publique était combattu pratiquement par les policiers et aussi par les «mkadmines». Malheureusement, il semble que cette prérogative a été abandonnée pour laisser l'anarchie régner. Seulement, on ne pourrait en vouloir, totalement, à ces jeunes abandonnés par nos politiciens locaux. Le béton armé a conquis les terrains vagues sans qu'on songe à leur édifier des terrains de jeu de proximité. Aujourd'hui, l'anarchie est un fait incontestable. Les responsables ne s'en soucient guère. Mais, il est toujours temps qu'on révise son comportement et son attitude. Les autorités provinciales et locales se doivent avoir un œil vigilant sur l'actuel conseil municipal dont le souci principal n'a jamais été le bien de la ville et la bienséance de sa communauté. Il n'ya qu'à voir l'état déplorable de la municipalité, miroir de la ville, pour s'en rendre compte!


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