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Affaire révoltante : Une voisine au dessus de la loi
Publié dans Albayane le 08 - 06 - 2011

Au moment où notre pays s'engage d'une manière irréversible dans l'Etat de Droit et des Institutions, à la veille de l'instauration d'une nouvelle Constitution, on est souvent exposé à des abus et des outrances qui restent malheureusement dans l'impunité la plus totale.
A ce propos, on citera l'exemple d'un plaignant qui ne cesse de vivre le calvaire avec une voisine se considérant au dessus de la loi. En effet, depuis plus d'une année, cette voisine sise au bloc B4, n° 93, quartier Al Qods Agadir, a planté une clôture métallique sur le domaine public sans autorisation.
Cette plantation irrégulière a occasionné des désagréments à l'encontre du plaignant dont l'accès du domicile est fortement réduit. Face à ces préjudices, le plaignant a saisi les services de la commune, en date du 20 juillet 2010, dans l'espoir de lever ces torts.
La même requête a été adressée à l'agence urbaine d'Agadir, en date du 27 août 2010, après avoir tenté toutes les solutions à l'amiable pour que la voisine enlève cette clôture encombrante. Malgré toutes les réactions visant à dissuader la contrevenante, y compris la missive de la commune au chef d'arrondissement concerné, en date 8 mars 2011, demandant la prise des dispositions nécessaires conformément aux mesures juridiques régies par le code de l'urbanisme 12-90 plus particulièrement l'article 80, la voisine semble être indifférente à toutes les lois en vigueur. On comprendra mal pourquoi les autorités locales saisis à cet effet et en dépit de la justesse des doléances du plaignant, ne parviennent pas à faire respecter la loi.
De deux choses l'une, ou bien cette femme s'appuie sur “une grosse pointure”, bien plus influente que le Caid de l'arrondissement en question, ou bien celui-ci procède à des pratiques louches bien qui existent encore, hélas, dans les rouages des autorités locales. Dans tous les cas, le comportement des autorités est condamnable, devant un cas aussi clair que l'eau de roche. Il est alors inadmissible de faire encourir aux citoyens des préjudices pareils, alors que le règlement est on ne peut plus censé veiller aux droits légitimes y compris celui du bon voisinage.
Les pouvoirs wilayis sont donc appelés à se pencher sérieusement sur ce cas dans les plus brefs délais pour mettre au clair cette affaire scabreuse.
Agadir: Saoudi El Amalki
Théâtre Ounamir d'Agadir
Rachid Yahiaoui à l'honneur
Comme à son accoutumée, le théâtre Ounamir d'Agadir, fidèle à son activité habituelle « Rencontre avec un créateur », a encore une fois créé une ambiance conviviale dans son siège flambant neuf et artistiquement pavoisé.
Cette fois, il convia, récemment, une assistance massive, composée essentiellement d'intellectuels, d'artistes et de cadres de tout acabit. Tout ce beau monde a eu droit à un large échange autour de l'invité du jour qui n'est autre que l'éminent nouvelliste et critique Rachid Yahyaoui, l'une des figures régionales de notoriété rare, de par son style à la fois sobre et provocateur et ses trouvailles créatives d'une sonorité saisissante. Son amour pour l'écriture propre et profonde n'a d'égal que son inlassable persévérance au profit de l'art et la littérature raffinés. Ses interminables méditations dans nombre de cafés de la ville, notamment la fameuse Taddart où il avait l'habitude de côtoyer son complice «scribouillard» Abdelkader Ababou, ont enfanté, durant des années, des créations publiées dans certains quotidiens et magazines nationaux et arabes, en plus de ses publications. Une occasion de susciter un débat lors de cette audience à laquelle contribuait une flopée d'intervenants. Au côté de ces essais proprement littéraires et artistiques, Yahyaoui se lance pareillement dans l'univers de l'aventure médiatique, en tant que plume journalistique, mais aussi gestionnaire de la ligne éditoriale d'un journal local « Al Ofoq ». Une pluridisciplinarité qui enrichit le répertoire régional et national en termes de création et de réflexion. Le choix de l'homme était pertinent et a donné à « rencontre avec un créateur » une dimension de plus en plus agissante dans une cité qui a grand besoin des rendez-vous pareils où la noblesse est reine.
S.E
Action de solidarité
Les enfants du SOS village en fête
A l'occasion de la journée mondiale de théâtre, l'école Mounib d'Agadir a choisi de célébrer cet événement en compagnie des enfants de SOS village.
Une bonne initiative qui vise à offrir du plaisir et de la joie aux enfants démunis, à travers des spectacles joliment conçus et interprétés. Des pièces de théâtre, des chants, des scènes de magie, tels sont les ingrédients de cette manifestation inédite.
Enfin, les enfants ont eu droit à des collations partagées dans la liesse et la convivialité. Hommage donc à cette action destinée aux enfants déshérités.
Pêche maritime
Transformation des produits de la mer
L'une des plus édifiantes composantes de la trilogie économique de la région Souss Massa Drâa est, sans nul doute, le secteur de la pêche maritime et plus particulièrement la transformation des produits de mer. La notoriété de ce domaine précis n'est nullement le fruit du hasard si l'on sait que nombre de professionnels et d'opérateurs épris de citoyenneté et de compétence lui a imprimé une forte distinction au point de le hisser en tête du groupe de compétition représentant plus de 70% des exportations du secteur de l'agroalimentaire du pays. Cette particularité caractérisée notamment par l'énorme potentiel stratégique de la région proche de la ressource et des lieux de commercialisation et surtout par les aptitudes performantes des industriels investis dans des unités de production de référence, a incité justement ces derniers, il y a quelques temps, à développer un projet d'envergure consistant à mettre en place un pôle de produits de la mer. Cette initiative dont la mise en place revient aux multiples partenaires institutionnels et associatifs en terme d'accompagnement, d'expertise et de financement s'inscrit, en fait, dans le sillage national du plan Emergence. Une convention cadre pour la création du pôle des produits de la mer d'Agadir avait été signée, précédemment, par les intéressés, avec maints promoteurs, vu leur expérience dans le développement de projets de parcs industriels similaires et sa nouvelle mission d'impulser la création de pôles de compétitivité régionaux dans les différents secteurs porteurs du royaume (tourisme, industrie, offshoring…). Le positionnement géographique de la ville et le savoir- faire dans les domaines du débarquement des produits de la mer et de leur transformation sont autant d'atouts majeurs qui motivent l'opportunité de la création de ce pôle. Pour assurer cette démarche qui s'insère dans la stratégie régionale du plan Emergence, le projet s'appuie concrètement et précisément, depuis déjà quelques années, sur des études fiables, en tant que chef de fille et des sous-traitances d'autres partenaires en terme d'expertise pêche et expertise logistique. Cette étude permet, en effet, de positionner la place de la capitale du Souss et l'une des plus belles baies du monde dans l'environnement national et régional de la transformation des produits de la mer, de définir le concept du pôle en termes d'aménagement d'infrastructures et de services aux industriels, de tester ce concept auprès d'une large palette d'investisseurs locaux et internationaux et de définir un plan de mise en œuvre ad hoc. Il s'agit, en fait, d'identifier minutieusement les points saillants relatifs aussi bien à l'amont (ressources, flotte de pêche, infrastructures portuaires, premières ventes et approvisionnement des usines) qu'à l'aval (unités de transformation, infrastructures logistiques, services connexes, formation, recherche et développement et marketing et commercialisation des produits transformés). Cette approche mise davantage sur une meilleure valorisation de la ressource que sur son accroissement quantitatif, sauf à développer des apports extérieurs. Il faut dire également que la flotte d'Agadir, quoique importante, est censée impérativement être modernisée pour être mieux adaptée aux ressources disponibles et permettre le stockage du poisson dans des conditions optimales de qualité. Dans le même contexte, les infrastructures logistiques et de débarquement du port d'Agadir doivent être pareillement mises aux normes et le système d'assainissement doit être consolidé dans un objectif de qualité. Enfin, la réussite du projet est conditionné constamment par la nécessité de développer des produits et techniques de commercialisation innovantes au service des industriels et adaptées au marché et de mettre en fonction une politique de marketing forte de certification, de labellisation… Toutefois, il y a lieu de relever malheureusement que nombreuses sont les pratiques illicites et attentatoires à l'économie nationale en terme de fiscalité et de rentabilité persistent encore dans les diverses activités portuaires et dont les principaux instigateurs ne sont autres que les différents intervenants aussi bien administratifs que représentatifs et professionnels au niveau de la gestion, de la commercialisation et de l'exploitation des pêcheries (criée, pont bascule, transport…).
D'autre part, il est aussi révoltant de constater que, mis à part certains exploitants qui évoluent avec grand civisme, nombre d'unités industrielles continuent à porter préjudice à l'équilibre écologique marin, en déversant, sans scrupule, des eaux usées et déchets, provocant ainsi une pollution des plus dévastatrices. En d'autres termes, la démocratisation, l'assainissement et la modernisation restent des fondements essentiels de l'essor du secteur, sous ses diverses formes. D'autant plus que le plan Halieutis est là pour rehausser le secteur sous tous ses volets.
S.E
Point de mire
Le mal de maire
Le bateau de la mairie d'Agadir, prend-t-il l'eau ? Avec l'actuelle majorité écrasante, quoique hétéroclite et contre-nature (USFP et PJD), on croyait que le nouvel équipage dont le timonier (Kabbage) se revigorait à souhait, allait aisément sortir du creux de la vague.
Les détenteurs du même gouvernail du mandat précédent (Bijdiguen et Dor) sont désormais relégués au second plan sans piper mot, mis à part quelques récidivistes (Nachit et Miri) qui continuent à s'insurger en perpétuelle escarmouche au sein de l'arche de Noé. D'aucuns espéraient alors une réelle émergence à bon port d'un embarquement serein dont la rive balnéaire était ornementée par une splendide promenade.
D'autant plus que l'accostage était vraisemblablement facilité par le départ de l'ex Wali (Filali), l'ennemi juré du maire.
Nonobstant, au fil du temps, on a bien l'impression que les lames de la tempête faisaient chanceler la barque, à forcer le mal de mer. Le vacillement s'accentue lors des sessions où les échauffourées intestines s'élèvent sur fond de toile protestataire, à tel point qu'on brandit le fameux vocable : « Dégage ! ».
En dehors du vaisseau envenimé, on réalise mal comment les choses publiques peuvent avancer à pas de tortue, depuis déjà deux années.
Peu de projets d'envergure voient le jour, d'autres stagnent, à l'image du conservatoire de musique qui ne cesse de gésir au cœur de la cité tel un mastodonte, aucune réalisation explosive en vue, pouvant marquer cette présente investiture, nombre de langueurs irascibles à plus d'un registre… L'embarcation communale dont le batelier semble battre de l'aile, est-il au bord du chavirement ?. Les mauvaises langues paraissent déliées davantage pour fustiger de plus belle cette expérience mi-figue mi-raisin dont les gros bénéficiaires, ne sont autres que les nouveaux alliés de l'équipée de l'hôtel de ville, vieille de presque quatre décennies. Eux qui ont tout à gagner par cet effilochement, pour leur première accession aux commandes de l'aubaine communale.
Le marinier, quant à lui, s'entoure mal, s'essouffle à mort et tarde à se ressaisir, en compagnie des siens indolents et mornes, et de ses alliés narquois et versatiles. Et, comme le malheur ne vient jamais seul, on croit savoir que les rentes budgétaires de la commune seraient sévèrement amenuisées par la contrainte de l'achat des terrains relatifs aux lotissements Hassania d'Anza et Taddart Al Oulia dont l'acquisition n'est toujours pas accomplie, depuis des décades par les prédécesseurs. Le département de tutelle semble être intransigeant à cet égard pour récupérer ses redevances, longtemps mises sous l'éteignoir. Une opération asphyxiante qui pomperait assurément les caisses communales, toujours en mal de fructification, à cause des atermoiements et des méfiances souvent démesurés. Face à ces relents de récession, à l'instar du goûte à goûte appliqué bienveillamment dans les espaces verts et les corridors de la ville, on imagine mal comment les citoyens ne seraient pas tentés de faire ragaillardir des réminiscences selon lesquelles la commune recule pour mieux bondir lors de la dernière ligne droite votative. La flotte en plein flottement est donc à l'heure de la méditation pour rectifier les tirs et assurer l'amarrage escompté.
S.E
Art photographique
Patrimoine, architecture, identité
A l'occasion de la journée mondiale des musées, en collaboration avec la commune urbaine d'Agadir et le musée municipal du patrimoine amazighe d'Agadir, le club photo d'Agadir a organisé une exposition d'art photographique sous le signe:
Patrimoine, Architecture, Identité. Le vernissage a eu lieu récemment, en présence du représentant de la commune urbaine d'Agadir, des membres du CPA et des fanatiques de cet art qui ne cesse de se propager dans la région et partout au Maroc. Les organisateurs ont bel et bien choisi le thème puisque de nos jours, le patrimoine est menacé et risque de disparaitre si on ne fait pas d'efforts pour le préserver parce qu'il est notre identité et notre architecture.
Il est à signaler que la préservation du patrimoine est un devoir qui nous interpelle tous. L'exposition se tient au Musée Amazighe d'Agadir jusqu'au 8 juin 2011.
Mustapha Chbani
Pignon sur rue
Aourir
La commune rurale d'Aourir est l'un des patelins périurbains les plus précaires en matière d'infrastructures et d'équipements publics. Malgré une forte démographie, la situation sociale est des plus désastreuses, à cause des déficits de la gestion communale, loin de répondre aux doléances et attentes des populations en mal de services les plus élémentaires;
Incendie
Après l'incendie du souk d'Inezgane qui a ravagé toute une superficie, le souk anarchique des quartiers Salam /Al Houda d'Agadir a été également incendié par les opposants de cette opération encouragée par des marchands ambulants. Ce souk qui a poussé, il y a quelques semaines, a été auparavant saccagé par les habitants des quartiers qui se plaignent de la promiscuité de ce marché répugnant. Aujourd'hui, on compte y monter un jardin public pour mettre fin à cette invasion et permettre aux habitants de jouir des moments de détente
Charlatanisme
On vient de mettre la main sur un charlatan qui, par le biais de ses coups de charlatanisme, a pu tenter ses victimes et les acculer aux pratiques sexuelles. En les persuadant qu'elles peuvent parvenir à leurs fins demandées grâce à ces pratiques, le charlatan est devenu un véritable «Don Juan», mais les objectifs escomptés ne sont jamais exaucés. Les victimes de ces tours de sexe ont fini par déposer plainte et causer l'arrestation du mis en cause qui, croit-on savoir, tente de marchander ces victimes à coups de millions pour qu'elles renoncent à leurs plaintes
Condoléances
C'est avec peine et tristesse que nous avons appris le décès du défunt Samikoun. En cette douloureuse circonstance, nous présentons à la famille, les proches et les amis du regretté nos condoléances les plus déférentes, tout en implorant Dieu de l'avoir en sa sainte miséricorde;
S.E


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