La célébration du soixante-neuvième anniversaire de la création de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) continue de faire l'objet d'un intérêt soutenu au sein de la sphère numérique marocaine; les expressions «الأمن الوطني», «المديرية العامة», «16 ماي» et «التراب الوطني» occupant depuis plusieurs jours les tendances du réseau X (anciennement Twitter), tandis que leur récurrence sur Facebook les érige au rang de sujets populaires. Cet engouement prolongé est interprété, par de nombreux observateurs en ligne, comme le témoignage irréfutable d'une confiance populaire indéfectible à l'égard de l'institution policière, en dépit des tentatives récurrentes de dénigrement fomentées par des relais hostiles à la stabilité du Royaume. Ces derniers jours, les commentaires laudatifs se sont multipliés, saluant à la fois la rigueur protocolaire de la cérémonie officielle tenue à El Jadida, et la distinction conférée à Abdellatif Hammouchi, directeur général du pôle DGSN-DGST (Direction générale de la sûreté nationale [et] de la surveillance du territoire), décoré de la médaille du prince Nayef pour la sécurité arabe de première classe. Une autorité saluée pour son humilité et sa rigueur Perçue par les internautes comme une consécration méritée d'un parcours voué à la préservation scrupuleuse de l'ordre public et à l'élévation des standards de coopération sécuritaire régionale, cette distinction est présentée comme le sceau d'un engagement exemplaire au service de la nation. Nombre de commentaires relèvent également la sollicitude du public, spontanément attiré vers ce haut fonctionnaire pour immortaliser, par des photographies, un moment jugé singulier. Selon plusieurs témoignages numériques, cette ferveur s'expliquerait par «la simplicité du directeur général [Abdellatif Hammouchi], son abord chaleureux et son attachement constant à l'éthique du service public». En filigrane, les réseaux sociaux marocains relaient abondamment l'hommage implicite rendu à l'harmonie des services relevant de la sécurité stratégique marocaine. La convergence d'action entre M. Hammouchi (DGSN-DGST), Mohamed Yassine Mansouri (Directeur général des études et de la documentation – DGED), et le général Mohamed Haramou (commandant de la gendarmerie royale – GR) est décrite comme un modèle de coordination organique, «une alliance silencieuse au service de la paix civile et de la souveraineté nationale». Un symbole d'autonomie technologique au service de la sûreté Dans ce sillage, la présentation du véhicule intelligent «Aman», nouveau prototype d'unité de police embarquant des dispositifs technologiques de surveillance et d'analyse autonomes, a nourri un flot de réactions enthousiastes. Nombre d'internautes y voient «l'expression tangible d'une autonomie technologique patiemment cultivée dans les cercles sécuritaires marocains», soulignant «la capacité des institutions nationales à anticiper les mutations et à s'adapter sans renoncer à leur identité». Enfin, plusieurs voix ont exprimé leurs vœux «pour que M. Hammouchi poursuive son œuvre dans la sérénité, sous les hautes instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI», formulant le souhait que son engagement continue de «porter haut l'étendard de la sécurité publique dans un monde troublé». À noter que si le choix d'El Jadida comme ville hôte des festivités a été largement salué pour sa portée symbolique et son ancrage territorial, quelques remarques se sont élevées au sujet du calendrier des Journées portes ouvertes (JPO), coïncidant avec la période des examens scolaires. L'influenceur Ilyas El Malki, suivi par deux millions d'abonnés sur la plate-forme Instagram, a publié pas moins de six vidéos documentant les temps forts de la cérémonie, contribuant à étendre sa résonance auprès d'un public jeune et massivement connecté.