La Fondation du Grand Ouarzazate pour le développement durable (FGODD) a exprimé son indignation à la suite d'un article paru dans le quotidien français Le Monde, qu'elle juge offensant à l'égard du roi Mohammed VI et attentatoire à la dignité nationale. Dans un communiqué dont Barlamane.com tient copie, l'institution a rappelé que «l'article en question s'attaque de manière injuste à la personne du roi Mohammed VI, en usant de termes dégradants et en contrevenant aux règles éthiques et professionnelles que commande la presse responsable.» Rappel de l'histoire et défense de l'image nationale La Fondation a affirmé que «le texte incriminé méconnaît la légitimité historique et institutionnelle de la monarchie marocaine, qui demeure le socle de l'unité nationale et de la stabilité du royaume». Elle a également souligné que l'action du souverain s'est traduite, depuis son intronisation, par de profondes avancées dans le domaine du développement durable, de la santé publique, de l'éducation et des droits sociaux. Elle a en outre fait valoir que «le roi Mohammed VI a placé le bien-être du citoyen au cœur de ses préoccupations, en veillant à préserver l'harmonie sociale et en consolidant les équilibres territoriaux et institutionnels». La FGODD a dénoncé les campagnes médiatiques qu'elle estime préjudiciables à l'image du Maroc, affirmant que «ces pratiques ne contribuent nullement à l'objectivité ni à la crédibilité de l'information, mais s'emploient au contraire à ternir la réputation du pays et à susciter des perceptions biaisées». Elle a insisté sur le fait que «la presse se doit de privilégier l'exactitude, l'équité et le respect des normes déontologiques, loin des insinuations malveillantes et des généralisations abusives». Enfin, la Fondation a réaffirmé sa détermination à poursuivre son action en faveur du développement durable et à défendre, par tous moyens légaux, la dignité du roi Mohammed VI et l'unité du royaume, déclarant que «sa mobilisation demeure constante face à toute entreprise de dénigrement ou de manipulation».