La ville de Salé accueille, du 08 au 13 novembre, le Festival international du film de femmes de Salé (FIFFS). Projections, interviews, compétition officielle et tables rondes… Chaque jour Monsef SAKHI vous plonge dans l'ambiance du FIFS, dans une chronique à suivre à 20h10 sur 2M Journal du Jeudi 11 Novembre : Le FIFS continue d'encourager la contribution des femmes à l'industrie cinématographique et promouvoir des valeurs de la parité homme-femme. La 14e édition a été mûrement réfléchie par par l'Association Bouregreg qui a poursuivi son travail de programmation malgré une année de trêve, en 2020, en raison de la crise sanitaire. Cette année, la Suisse est l'invitée d'honneur. C'est d'ailleurs le film, "L'Ordre divin" de Petra Volpe (2017) qui a été projeté en ouverture du Festival, lundi dernier, lors de la cérémonie qui a rendu un hommage à la brillante comédienne Touria ALAOUI et à l'artiste au talent pluriel, Samia AKARIOU. Dans cette chronique, du 3e jour, Khaoula ASSEBAB BENOMAR est l'invitée de Monsef SAKHI. La jeune réalisatrice et scénariste est présente, cette année, au FIFFS en tant que membre du Jury, alors qu'il y a 4 ans, elle y participait avec son premier long-métrage «Le Clair Obscur» (2016), primé au Festival international d'Alexandrie. Une expérience dont elle parle avec beaucoup de spontanéité… Egalement militante associative, Khaoula BENOMAR défend les droits de la femme. Une cause à laquelle elle dédie son prochain film.