Le secrétaire général adjoint du PJD, Slimane El Omrani a rejeté en bloc toute tentative visant à lier le parti de lampe à un «courant mondial », en réponse à des déclarations de Mohamed Cheikh Biadillah, membre du bureau politique du PAM, qui était dimanche l'invité de l'émission web de Hespress « Niqach fi assiassa ». Interrogé sur le fait que le credo du PAM soit fondé et consacré à faire face aux islamistes, le premier candidat au secrétariat général du tracteur avait estimé que «les PAMistes aspiraient à se prémunir contre l'influence des frères musulmans au plan national, soit une protection contre un courant mondial, doté de moyens importants et ayant des opinions différentes des nôtres ». أجرى أحد المواقع الإلكترونية حوارا مع الشيخ بيد الله، وفي سؤال له إن كانت ما تزال مستمرةً العقيدةُ السياسية لحزب الأصالة… تم النشر بواسطة Slimane EL Omrani في الثلاثاء، 14 يناير 2020 Choisissant de répondre à travers un post Facebook, El Omrani a ainsi indiqué que « le PJD ne gaspillera de temps ou d'énergie dans la mauvaise bataille, en tentant de réfuter la relation du PJD avec le courant des frères musulmans », chose qui est « connue de tous et clairement exprimée dans les documents et les communiqués du parti et les discours de ses dirigeants ». C'est l'occasion, a ajouté le secrétaire général adjoint du PJD, de conseiller à Biadillah, « qui est aujourd'hui candidat au secrétariat général de son parti, d'adopter un discours sincère dans les critiques qu'il adresse au PJD, de ne pas ressasser des expressions désuètes et dépassées mais également de ne pas parler à tort et à travers ». Avec un tel discours et un tel ciblage du parti de la lampe, a poursuivi le dirigeant PJDiste, Biadillah reproduit les mêmes erreurs que ses prédécesseurs, au moment où « il doit tirer la leçon et voir comment ils ont fini sur le plan politique », et il pourrait « s'il le veut » méditer les paroles d'Einstein « La folie, c'est de faire toujours la même chose et de s'attendre à un résultat différent ». En remettant une couche, El Omrani a estimé que « Biadillah a tenté, ce faisant, de nier qu'il ciblait le PJD, mais toute personne pouvant lire en filigrane, ne peut que relever que l'atteinte était préméditée ».