Après le Panama et l'Afrique du Sud, l'Algérie par polisario interposé a subi un revers juridique de plus en Nouvelle-Zélande contre les importations des phosphates. En effet, la Haute Cour de ce pays a rejeté le 15 mars dernier, une plainte déposée contre le Fonds de retraites néozélandais déboutant ainsi les séparatistes. Le polisario et son parrain avaient engagé une action en justice contre le New Zealand Superannuation Fund (NZSF) en mars 2020, l'accusant « d'investir dans les importations de phosphates extraits et importés illégalement » du Sahara, dans le sud du Maroc. Le fonds sert d'instrument d'épargne du gouvernement néo-zélandais, créé pour soutenir les pensions de retraite. Sa valeur estimée est de plus de 44,5 milliards de dollars. Histoire de pas perdre la face ils ont eu beau fanfaronné via SPS, APS et autres relais sécessionnistes, que la Cour Suprême de Nouvelle-Zélande a déclaré que le Maroc n'a »ni souveraineté ni pouvoir administratif sur le Sahara occidental», il n'en demeure pas, pour autant d'aboiements que la version de la presse zélandaise est tout autre. Dans la décision de la Cour le juge Mark Woolford a conclu que les investissements du Fonds de retraite néo-zélandais « sont conformes à la loi de 2001 portant sur la pension de retraite et le revenu de retraite néo-zélandaise dans ses décisions relatives à l'investissement dans des actifs liés au phosphate extrait du Sahara » ajoutant que « La Haute Cour rejette le contrôle judiciaire des importations néo-zélandaises de phosphate du Sahara ». Ces prononcés convergents ont remis en question les prétentions de victoire du Polisario dans leur bataille juridique vouée perdue à l'avance. de Nouvelle-Zélande. « Par conséquent, le Fonds n'a pas manqué à ses obligations statutaires en matière d'utilisation de superphosphate dans ses fermes », a expliqué le juge Mark Woolford. Pour sa part le Fonds de retraite néo-zélandais a accueilli le prononcé avec satisfaction, « Nous prenons très au sérieux nos obligations en tant qu'investisseur responsable », a déclaré son porte-parole. « Dans toutes les questions d'investissement, nous appliquons correctement notre code pour répondre à nos exigences législatives de gestion du Fonds d'une manière à éviter de porter atteinte à la réputation de la Nouvelle-Zélande en tant que membre responsable de la communauté mondiale ». L'Algérie et polisario, tentent depuis belle lurette via des Lobbyistes en Nouvelle-Zélande et dans le monde de mettre des bâtons au bon déroulement des importations des ressources naturelles marocaines. L'épisode de la cargaison de phosphates longtemps saisi en Afrique du Sud avant que la Justice de ce pays n'intervienne pour mettre de l'ordre est encore vivace. Ce coup-ci c'est la Nouvelle-Zélande qui a su répondre objectivement et en toute neutralité à la plainte du soi-disant représentant séparatiste en Australie et en Nouvelle-Zélande, un certain Kamal Fadel, qui n'a de citoyenneté néo-zélandaise qu'une absence des plus remarquée. Ce n'est pas la première bataille juridique que le groupe séparatiste et son sponsor ont entreprise et perdue. Le but de ces drames juridiques n'étant pas de gagner ou de perdre mais juste présenter un histoire donnée pouvant susciter un moindre soutien et sympathie de la communauté internationale, que cela soit vrai ou faux.