Ce vendredi 1er septembre 2023 très tôt à l'aube, quatre hauts responsables des milices terroristes du polisario ont été abattus par des drones des Forces Armées Royales (FAR) après qu'ils se soient infiltrés de quelques kilomètres dans la zone tampon avec l'intention de s'approcher du mur de sécurité des régions sahariennes du Sud du Royaume. Le premier d'entre eux n'est autre qu'Aba Ali Hamoudi, un Algérien membre du Secrétariat national et commandant de la sixième région militaire du polisario, tandis que le second est El Bachir Said Limam, commandant opérationnel d'un bataillon, qui se désigne comme un expert dans la reconnaissance du terrain. Pour cette fois-ci c'est foutu, il n'aura rien reconnu du tout. Les deux autres sont Hammadi Belaïd lui aussi algérien puisqu'il est détenteur d'un passeport algérien. Il fut durant sa courte vie ex-secrétaire général du ministère de l'Exécution, pardon de l'Education et Salama el Mehdi Sid El Arbi un soi-disant spécialiste et chef des transmissions qui in fine n'aura rien transmis du tout. Les bombardements via drone interposé ont fait également de nombreux blessés (une bonne vingtaine selon des sources), que les FAR se sont fait un plaisir de ramasser et d'en faire des prisonniers. Cet évènement s'est passé à une trentaine de kilomètres de Tindouf, dans la zone tampon près de Zag et Touizgui, les malheureux étaient à peine entrés dans la zone tampon. On s'en doute les mercenaires ont eu vite fait de publier un énième communiqué de guerre en fin d'après-midi, portant le n° 865 avec les blablas de circonstances habituels, évitant cependant d'annoncer la mort de leurs responsables. Hespress se faisant là, une joie de l'annoncer.
A titre de rappel, Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, avait confirmé que le Maroc s'accrochait au cessez-le-feu, mais qu'il répondra à toute menace contre sa sécurité et sa stabilité, conformément aux instructions du Roi Mohammed VI. Depuis que le Royaume a libéré le passage de Guerguerat, les FAR ont depuis, réagi avec rigueur à toutes les provocations le long du mur de sécurité dans ses provinces du sud.