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Il y a un an, dispaissait le “King of Pop”
Son frère, Jermaine Jackson: “Michael Jackson n'était pas contre une conversion à l'Islam”
Publié dans L'opinion le 25 - 06 - 2010

Michael Jackson ne serait pas mort s'il s'était converti à l'islam, estime son frère Jermaine dans une interview diffusée à la radio britannique jeudi.
S'exprimant à l'occasion du premier anniversaire du décès du "roi de la pop", Jermaine Jackson a déclaré au BBC World Service que son frère aurait dû quitter les Etats-Unis, pays pour lequel il a réservé des mots très durs.
"Je pense que si Michael avait embrassé l'islam, il serait encore ici aujourd'hui, et je dis ça pour plusieurs raisons", affirme le frère de la star, lui-même musulman. "Pourquoi? Parce que quand tu sais à 100% qui tu es et ce que tu es et pourquoi toi-même et les gens qui t'entourent existent, alors les choses changent et s'améliorent pour toi. Ca donne une certaine force".
Il ajoute qu'il avait ramené des livres d'Arabie Saoudite et de Bahreïn à son frère Michael: "Il les étudiait. Il lisait beaucoup de livres."
Michael Jackson est mort le 25 juin 2009 à l'âge de 50 ans à Los Angeles, des suites d'une surdose de médicaments et d'une intoxication à l'anesthésiant propofol. Ses fans commémoraient, hier vendredi, le premier anniversaire de la mort du "roi de la pop", qui a connu depuis sa disparition un regain formidable de popularité.
Dans son interview avec la BBC, Jermaine Jackson affirme que son frère n'était pas contre une conversion à l'islam.
"Tous ses gardes du corps étaient musulmans parce qu'il faisait confiance à l'islam, parce que ces gens sont capables de se sacrifier pour quelqu'un et aussi parce qu'ils essaient d'être les meilleurs êtres humains possible, non pas pour Michael Jackson, mais pour Allah", déclare-t-il. "Quand tu as ces gens autour de toi, tu sais que tu seras protégé par dieu", soutient-il.
Jermaine Jackson évoque aussi les moments "difficiles" qui ont succédé la mort de la star: "Il n'y a pas de mots pour décrire ce sentiment. C'est un sentiment que l'on ne peut comprendre qu'une fois qu'on l'a vécu. On apprend tout juste à vivre avec. On ne s'en remettra jamais".
Jackpot pour les héritiers
"Mort au bord de la faillite", "un king criblé de dettes", "une montagne de dettes"... Lors de la disparition de Michael Jackson, il y a tout juste un an, tous les médias semblaient s'accorder sur un point: outre l'héritage musical et artistique qu'il laissait derrière lui, le plus gros vendeur de disques de tous les temps léguait surtout à sa progéniture une liste de créances à la hauteur de ses excès. Les journalistes s'en inquiétaient, d'autant plus qu'à 50 ans, le King of Pop s'éteignait à la veille d'une tournée mondiale censée marquer son grand retour, mais aussi remplir les coffres désespérément vides du royaume de Neverland. Avec un train de vie qu'on estimait à 30 millions de dollars par an, Michael Jackson s'était forgé une réputation de piètre gestionnaire. Au total, ses dettes étaient estimées à 400 millions de dollars, selon le Financial Times.
Mais quelques jours à peine après sa disparition, sa famille découvrait, en plein émoi planétaire, le testament que le King of Pop, plus prévoyant qu'on l'aurait imaginé, a consciencieusement rédigé, le 7 juillet 2002. Entre-temps, son patrimoine avait été réévalué à la hausse, puisqu'on lui attribuait 500 millions de dollars de biens, comprenant, entre autres, son fameux ranch de Neverland, des voitures de collection et des antiquités, mais surtout la poule aux oeufs d'or: la société ATV, propriétaire notamment des droits du répertoire des Beatles, qu'il ne détenait plus qu'à 50%. Le testament fut donc rapidement transmis à la justice, et c'est la Cour supérieure de Los Angeles qui mit en application les dernières volontés de celui qui fut surnommé "Wacko Jacko" par la presse américaine.
Joe Jackson a vainement essayé d'hériter
40% de l'ensemble de ses biens furent légués à ses 3 enfants -Paris, Prince Michael et Prince Michael II, dit Blanket- et 40 % à sa mère, Katherine. Les 20% restants ont été transmis à différentes oeuvres de charité. Son père, à qui il reprochait de l'avoir maltraité depuis son enfance, était totalement exclu de l'héritage, tout comme son ex-femme, Debbie Rowe, mère de Prince Michael et de Paris. Le testament précisait également que la garde de ses enfants serait confiée à sa mère, ou à son amie d'enfance Diana Ross, au cas où la grand-mère des trois héritiers venait à disparaître. Une décision que n'a pas contestée Debbie Rowe. Autre précision, à la mort de Katherine Jackson, qui est âgée de 80 ans, sa part de fortune restante ira à ses petits-enfants.
Michael Jackson avait également pris soin de nommer deux exécuteurs testamentaires: l'avocat John Bronca et le producteur John McClain. Les deux hommes devaient notamment s'assurer que les fonds soient bien reversés au Michael Jackson Family Trust, ses enfants ne pouvant pas y toucher avant l'âge de 30 ans. La mère de Michael Jackson s'est, elle, vu refuser la possibilité de devenir administratrice des biens des enfants -un rôle qu'ont conservé Bronca et McClain. Le père du King of Pop, Joe Jackson, a, quant à lui, bien essayé de toucher sa part du gâteau, en réclamant une pension de 20.000 dollars par mois pour subvenir à ses "besoins". Une demande à laquelle la justice américaine n'a pas consenti.
L'héritage de Bambi n'avait rien d'un cadeau empoisonné en fin de compte, puisque les administrateurs Bronca et McClain se sont d'ailleurs employés à éponger les dettes du chanteur culte. Et si l'on songe aux gains astronomiques amassés en un an seulement, évalués à un milliard de dollars par le magazine américain Billboard, on peut penser que le Michael Jackson Family Trust a de beaux jours devant lui.


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