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La fin d'un rêve néocolonialiste
Publié dans Maroc Diplomatique le 28 - 08 - 2025


La malveillance travestie en analyse : 1/6
Cette réplique n'est pas une simple réponse circonstanciée à une série d'articles journalistiques. Elle est, en réalité, une mise au point académique, une rectification nécessaire face à des insinuations biaisées, perfides, et souvent malveillantes, relayées par un journal français nommé « Le Monde » qui, sous couvert d'analyse, se permet de verser dans la spéculation gratuite. Ce texte vise à rétablir la vérité, à rappeler les faits, à dénoncer les préjugés, et à replacer le Maroc et son Souverain dans leur juste lumière, celle de l'histoire, de la légitimité et de l'action constructive.
Deux journalistes ont signé la série d'article en question, ventilée en six chapitres, au nom du journal précité, si notoire. Bien sûr qu'ils sont responsables de leurs propos. Mais, « juridiquement c'est le Directeur de la publication qui est le premier responsable des articles publiés dans un journal, car il est légalement le représentant de la personne morale éditrice et assume la responsabilité pénale de tout ce qui est publié, puis à défaut l'éditeur et enfin l'auteur du propos fautif. Compte tenu de cette responsabilité tripartite incontournable, je m'adresserai donc au journal en question, en l'appelant Monsieur Le Monde.
Mon langage sera essentiellement académique, observant les règles de politesse en matière de débats, dans la sérénité et le calme, mais avec l'extrême rigueur intellectuelle et la franchise totale, en appelant un chat un chat.
Monsieur Le Monde,
Ce n'est point de gaieté de cœur que je vous écris cette lettre ouverte qui, non plus, ne vous plaira. Néanmoins, quand vous l'aurez lu intégralement, sauvegardez-là, parce qu'elle vous servira un jour en enseignements quand votre conscience se réveillera sur un grand pays qui s'appelle MAROC. A moins qu'elle ne se réveille illico, après en avoir pris connaissance. Je l'espère.
Et comme vous, je diviserai ma réplique en 6 chapitres. Non pas pour vous répondre du tac au tac ni dans l'ordre chronologique de vos épisodes, mais par symétrie artistique avec mes chapitres dans l'art de débattre que vous ne semblez pas connaître déontologiquement.
SM le roi Mohammed VI présidant à la prière de l'Aïd al Adha, le 7 juin 2025, à Tetouan, se prosternait devant Dieu assis sur un tabouret, effaçant sa gloire en présence de celle de Dieu. Quoi de plus normal ? Auparavant il le faisait debout. Cette scène, pourtant habituelle dans le quotidien des Marocains : la prière, soulevait des interrogations à vos yeux. Pourtant, l'énigme que vous en faites est en soi un mystère. Mais sûrement une preuve éclatante (réelle ou voulue) de votre ignorance de l'Islam, voire des règles élémentaires de la prière islamique. Preuve encore qu'aucun de vos chroniqueurs ou enquêteurs – même sans pouvoir mettre les pieds dans une mosquée – n'y a jamais jeté un coup d'œil de curiosité journalistique même de dehors, durant l'accomplissement par les fidèles du deuxième pilier de l'Islam, cinq fois par jour. Car soit qu'il en aurait conclu à la normalité de la manière dont le Souverain priait assis comme tant de citoyens autorisés à le faire par un mal physique (pas forcément mortel), soit qu'il en aurait déduit que tous ceux qui le font dans ce royaume sont des handicapés candidats au trépas. Or aucune des deux hypothèses ne fut la conclusion de vos prétendus enquêteurs. Malgré cela, l'usage de la première est évident et la fausseté de la seconde ne l'est pas moins. Peu importe, vous avez décidé d'en profiter pour une « série spéciale », qualifiée d'« enquête » à six épisodes, intitulée « l'Enigme Mohammed VI ». Du déjà vu, du déjà entendu, du déjà lu, du déjà connu. Le premier chapitre, publié le lundi 25 août 2025, signé par Christophe Ayad et Frédéric Baudin, évoque ce qu'il qualifie d'« atmosphère de fin de règne ».
Lire aussi : Quand l' « autre Monde » se prend pour le psy du Palais 2/6
Monsieur Le Monde,
Logiquement, la moindre des choses que vous auriez dû apprendre est le fait qu'un musulman, indisposé ou passagèrement malade, peut faire sa prière assis ou même couché sur un lit s'il y est contraint. Néanmoins, pour vous, dans cette mosquée, le Roi montrait le signe d'une maladie fatale, d'une fin de règne. Quelle intelligente et prompte conclusion avez-vous manifestée, digne d'un scoop pour les habitués aux cafés littéraires parisiens. Jamais, le « prestigieux journal » de l'après Seconde Guerre mondiale que vous fumes n'est tombé aussi bas, en pêchant si minablement, depuis plus de huit décennies de votre création.
Les titres d'articles autant que leurs contenus paraissent cette fois plus médiocres en qualité d'information, maigres et primaires en rédaction, comme fondés sur des commérages, des racontars, des rumeurs ou tout simplement de l'invention journalistique illicite.
Hubert Beuve-Méry, votre fondateur, a dû se retourner dans sa tombe six fois, à chaque chapitre de votre piètre feuilleton, en vous voyant souillé d'assertions de mauvaise facture, quel qu'en fût le prix que vous avez encaissé en contrepartie. Et pour cause. Son grand produit journalistique que vous étiez censé demeurer, se voulait un « journal de référence », engagé à « offrir une information de qualité, précise et vérifiée » au monde entier, « régulièrement considéré comme tel » pendant longtemps. Je parierai que vous ne le serez certainement plus au Maroc, voire en Afrique. Car demain, vous vous inventerez peut-être un autre titre incroyable, au niveau du continent, non moins attrayant dans la mystification que celui sur le règne du souverain marocain, en insinuant « la fin d'un continent ». Et parce que demain peut-être, un autre chef d'Etat africain, quelle que soit sa dimension, ne sera moins vilement visé d'insinuations, voire de diffamations, que SM le Roi Mohammed VI. L'Afrique, à partir donc du 25 août 2025, vous a démasqué, à partir du Maroc.
Monsieur Le Monde
Permettez-moi maintenant, à la lumière de ce qui précède, de tourner en dérision vos allégations sur des questions que vous semblez ignorer, qui vous dépassent, mais que vous osez évoquer et juger dans la cime de l'immoralité.
Je commence donc par remettre les pendules à l'heure. Car vos insinuations malveillantes sur la santé du Roi du Maroc, vos spéculations sur une prétendue fin de règne, vos rumeurs distillées à propos de rivalités au sein des élites marocaines, ne relèvent pas de l'analyse sérieuse, mais bien de la mauvaise foi la plus crasse, d'un mélange de rancune, de dégoût et, disons-le, de venin médiatique. Votre plume n'est plus celle d'un observateur : c'est celle d'un contempteur. Et votre "analyse", en réalité, n'est rien d'autre qu'un pamphlet teinté d'hostilité personnelle, frisant le dégoût et le mépris des règles élémentaires de la déontologie journalistique.
Monsieur le Monde,
Par votre monde, vous vivez dans un autre monde, immonde. Vos propos sont déplacés et absurdes, car, soyons clairs : aucun être humain, de sa naissance à sa mort, ne peut prétendre vivre sans jamais souffrir, ne serait-ce que d'un malaise ou d'une fragilité physique. Vos journalistes, à commencer par votre Directeur de la Publication, sont sans doute passés par des épisodes de fatigue ou de maladie et en connaîtront encore probablement dans le futur. Faut-il en conclure que vous n'êtes plus aptes à écrire ou à réfléchir ? Non, évidemment. Alors pourquoi appliquer au Roi du Maroc ce que vous n'appliquez pas à vous-même et à vos collaborateurs, ni à aucun autre dirigeant de la planète ?
Le fait est universel : le pouvoir use. Il ressemble à une meule disait feu Hassan II. Il lamine même en aiguisant. Gouverner, assumer des responsabilités publiques, trancher chaque jour sur des dossiers lourds engageant l'avenir d'un pays, cela épuise au fil du temps. Et même les hommes les plus robustes physiquement se retrouvent parfois accablés. Mais ce n'est pas le corps qui gouverne ; c'est l'esprit, l'intelligence, la vision, la capacité à décider.
D'ailleurs, l'histoire universelle regorge d'exemples qui réduisent vos insinuations à néant, en parlant des dirigeants et la maladie. Je ne vous parlerai pas des monarques des Etats du Golfe. Vous souririez peu de leur longévité à vie sur leurs trônes, en vous moquant moins de leurs maladies de vieillesse ; puisque les pays occidentaux s'y accommodent bien, par leurs intérêts stratégiques, y compris la France. Vous le savez. Et pourquoi ferait-elle exception ? Je vous parlerai plutôt de Républiques, et non de monarchies héréditaires. Des républiques de divers régimes et idéologies, dans les cinq continents. A commencer par les grandes puissances. Depuis l'Asie avec Mao Tsé-Toung le chinois jusqu'en Amérique Latine avec Fidel Castro le Cubain, chacun des deux fut arraché au pouvoir par la maladie et la vieillesse, mais avec une lucidité étonnante. C'était donc l'esprit et non le corps qui gouvernait là encore. Vous me diriez peut-être que c'étaient des socialistes. Passons alors dans le camp des capitalistes.
Monsieur Le Monde,
Faut-il vous rappeler que Franklin Delano Roosevelt, président des Etats-Unis, fut frappé par une paralysie due à la poliomyélite ? Qu'il gouverna pourtant la première puissance mondiale durant douze ans, y compris pendant la Seconde Guerre mondiale, jusqu'à sa mort en avril 1945 ? Ses jambes étaient immobilisées, il perdait du poids, son corps se fragilisait. Mais son esprit demeurait d'une acuité exceptionnelle. Et c'est cet esprit qui guida les Alliés vers la victoire contre le nazisme.
Monsieur Le Monde,
Faut-il vous rappeler également Winston Churchill, accablé de crises dépressives et de maladies chroniques, mais qui sut tenir tête à Hitler par la seule force de sa volonté et de son intelligence stratégique ?
Et plus près de nous, au XXe siècle encore, John F. Kennedy souffrait d'un mal de dos chronique et d'une maladie d'Addison, mais cela ne l'empêcha pas de gérer la crise des missiles de Cuba dans les années soixante et de marquer l'imaginaire du monde libre.
Ce n'est pas un corps sans faille qui fait un dirigeant, Monsieur Le Monde, c'est une vision, une énergie intellectuelle, une capacité de discernement.
Et si vous cherchez des exemples encore plus parlants, inutile d'aller très loin. Dans votre propre pays, la France, Georges Pompidou fut président alors qu'il était atteint d'une leucémie, dont il mourut en exercice en 1974. Mais jamais les grands médias français ne passèrent leur temps à le mettre sous la loupe pour sa santé, ou à spéculer sur la "fin de son règne".
François Mitterrand, que vous tenez sans doute en haute estime, souffrait d'un cancer dès le début de son premier mandat. Et pourtant, il gouverna la France durant quatorze ans, jusqu'à son dernier souffle, sans jamais avoir songé à démissionner. Jamais alors vous n'avez parlé de « fin de règne ». Les Français ne l'ont pas jugé sur son état de santé, mais sur ses choix politiques. Sa Majesté le Roi Mohammed VI aurait pu être beaucoup mieux portant et plus fort physiquement sans forcément révolutionner le Maroc pendant 25 ans de règne, mais l'a quand même fait pour le meilleur contre le pire, en bonne santé comme en période d'indisposition, comme chez tout le monde, Monsieur Le Monde.
En faisant sa prière dans la mosquée de Tétouan dans les conditions islamiques précitées, SM le Roi Mohammed VI, comme des milliers de musulmans qui prient éphémèrement assis, dans le monde musulman, se fatigue parfois comme chaque être humain. Mais il est toujours au gouvernail par la grâce de Dieu, Premier serviteur de son peuple, par la même volonté, le même style, la même popularité, la même détermination. Alors pourquoi cette sévérité particulière à Son égard ? Pourquoi deux poids, deux mesures ? Pourquoi ce qui est toléré et même "tabou" en France deviendrait sujet de sarcasmes et de malveillance au Maroc ? Voilà bien la preuve que votre critique est non seulement malveillante, mais également discriminatoire et biaisée.
Permettez-moi, Monsieur Le Monde, de pousser plus loin la comparaison. Le grand juriste et politologue français Maurice Duverger a écrit noir sur blanc que « la France est une monarchie républicaine ». Pourquoi ? Parce que le pouvoir de gouverner s'y concentre principalement entre les mains d'un homme, le président, investi d'une légitimité suprême. Ses mandats sont certes limités par la Constitution, mais chacun sait qu'en réalité le président français exerce un pouvoir personnel qui dépasse de loin celui du Premier ministre ou du Parlement.
Or, le Maroc, lui, assume pleinement cette réalité. Comme l'avait déclaré feu SM Hassan II : « Je ferai de la monarchie marocaine la meilleure des républiques ». C'est dire que la monarchie marocaine est fondée sur une triple légitimité : historique (par la continuité dynastique), religieuse (par la bay'a, ce pacte d'allégeance enraciné dans la tradition islamique), et constitutionnelle (par le suffrage et les référendums qui valident la Loi fondamentale).
Ainsi, la monarchie marocaine n'est pas une anomalie. Elle est un système politique cohérent, assumé et légitime, comparable à cette "monarchie républicaine" qu'est la France, mais enrichi d'une profondeur historique et spirituelle que votre regard biaisé refuse de voir.
Voilà pourquoi, Monsieur Le Monde, vos insinuations sont non seulement inconvenantes, mais surtout vaines et ridicules. Elles révèlent moins sur l'état du Roi du Maroc que sur l'état de votre propre plume, comme gangrenée par la rancœur et le mépris.
En vérité, ce que vous craignez, ce n'est pas la fin de règne du Maroc. Ce que vous craignez, c'est la continuité d'un Royaume debout, la tête haute, qui avance, qui rayonne, et qui dérange vos schémas d'analyse fatigués. Mais c'est surtout et sûrement la fin d'un rêve néocolonialiste médiatique à laquelle vous assistez déjà, dès le 25 août. Le deuxième chapitre de ma réplique vous le démontrera spécialement, de vos racines.
Car la monarchie marocaine est bien plus solide que vos insinuations, et l'Histoire, encore une fois, vous donnera tort, Monsieur Le Monde.
(*)Par Issa Babana El Alaoui
Politologue, Historien


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