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Le scandale se rebiffe à Tamaouanza, près d'Agadir!
Publié dans Albayane le 07 - 10 - 2018

A une dizaine de kilomètres au sud d'Agadir, dans la commune rurale d'Aourir, le quartier Tamaouanza, perché sur un monticule éminent, surplombe l'océan et procure à l'horizon,un panorama chatoyant.
Depuis déjà des lustres, ce fleuron naturel est convoité par un parterre d'adeptes dela grâce du site, aussi bien nationaux qu'étrangers. Faisant partie de la zone dite balnéaire, cette butte exquise était soumise à la tutelle de la SMIT, après la défunte SONABA, dans le but de la promouvoir et valoriser. Cependant, au fil du temps, ce joyau est vite malmené par les prédateurs de l'immobilier, le transformant en un réel guêpier de scandales fonciers. En complicité soudoyée des agents de l'autorité et en connivence abjecte des élus de la commune, l'anarchie prolifère sur les lieux, au grand jour, depuis longtemps, au même titre que toute la plaine mitoyenne.
Actuellement, on s'indignera devant ces insanités qui s'emparent dece bijou rouillé ! De même, on citera au passage, le cas révoltant d'un ressortissant français (M.C) dont le projet se convertit en profonde désillusion.
En effet, après s'être assuré de la véracité du plan cadastral, ne souffrant d'aucun doute sur les données topographiques y afférentes, il procéda à l'acquisition des parcelles titrées: T172774 et T181851, en décembre 2015. Un peu plus tard, il constata, non sans étonnement, qu'un riverain était en train de monter sa demeure sur l'une de ses trois façades, tout en empiétant sur le domaine public, comme le stipulait l'extrait des cadastres. En dépit des préjudices saillants relevés par les commissions de contrôle, dépêchées par l'ancienne Wali et les prescriptions irréfutables des instances concernées, le contrevenant poursuit ses infractions urbanistiques, dans l'impunité totale. Pis encore, un autre fauteur se permet également de commette le même dépassement sur rue avoisinante, la réduisant de 9m à 1,5m, sans aucun scrupule.
Ce dernier se paya même le luxe de condamner les accès du passage, en implantant des deux côtés, des portes en métal, comme si ce domaine de l'état lui revenait de droit ! On se lance alors, sans vergogne, dans une privatisation pur et simple des lieux publics, en violations flagrantes des règles en vigueur.
Le plaignant a dû frapper à toutes les portes pour restituer ses droits, en vain. Il se trouve dans un véritable ghetto qui le cerne et le prive des ingrédients décisifs pour lesquels il s'était fixé le choix de l'achat des parcelles. Aujourd'hui, tous ces éléments d'option pour ce lieu sont faussés par l'intrusion des actes de transgression qui lui assènent de fâcheux coups moral et matériel. Il demande justice à qui veut l'entendre, après plus de trois ans d'attente, de requête et de malheur. Dans le même ordre d'idées, il convient de soulever un autre scandale qui prévaut dans les environs. Il s'agit, en fait, d'une notabilité de la ville qui jouit des égards de son entourage complaisant pour acquérir un terrain de plus de 2500 m2 à seulement 3,50 dhs le m2, en 2010, alors que des citoyens modestes ont versé, dans le même quartier, plus de 2500 dhs le m2.
Le comble encore c'est qu'il annexe froidement un espace vert relevant du domaine public qu'il intègre dans sa propriété ! Ce n'est, sans doute, qu'un «petit» détournement immobilier, si l'on sait que le même bonhomme aux longues crocs, avait procédé à une «grande» entorse à la loi, en érigeant sur la plage d'Aourir, près de l'embouchure de l'oued, de géants bâtiments de plusieurs niveaux.


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