Alors que certains se perdent en discours creux et en surenchère au nom de la Palestine, le Maroc choisit une autre voie... celle de l'action plutôt que des mots, du concret plutôt que de la démonstration. Le silence du Roi a résonné plus fort que le vacarme des opportunistes. Un pont aérien humanitaire s'est déployé de Rabat à Gaza, sous la haute direction royale, transportant nourriture, médicaments, et avec eux un message clair de fidélité et de soutien inconditionnel. Les avions chargés d'aide marocaine ont poursuivi leur route vers l'enclave assiégée, l'un après l'autre, sans tapage médiatique, mais avec une portée humaine qui a touché les cœurs palestiniens bien avant d'atteindre leurs oreilles. À chaque vol, le Maroc confirmait son engagement historique envers la cause palestinienne, non pas par des slogans, mais par des décisions concrètes et des actions urgentes sur le terrain. De Jérusalem à Gaza, des églises aux mosquées, des responsables politiques aux citoyens ordinaires, les voix de reconnaissance et de gratitude à l'égard de l'initiative marocaine se sont unies. Jamal Al-Shoubaki, ambassadeur de Palestine à Rabat, a été clair : « L'aide marocaine est arrivée au bon moment et au bon endroit. » Quant à Mahmoud Al-Habbash, conseiller aux affaires religieuses du président palestinien, il n'a pas caché son estime pour l'action royale, affirmant que « le Roi a toujours été un fervent défenseur du peuple palestinien dans tous les forums. » L'archevêque Atallah Hanna, figure emblématique des chrétiens de Jérusalem, a également exprimé sa gratitude : « Sa Majesté le Roi n'a jamais cessé de soutenir les droits des Palestiniens, avec constance et par des initiatives humanitaires nobles. » Des mots qui traduisent la profondeur spirituelle de l'engagement marocain, pour qui Jérusalem et la Palestine sont une cause nationale autant que religieuse et morale. Sur le plan opérationnel, Omar Al-Kiswani, directeur de la mosquée Al-Aqsa, a salué « une initiative véritablement humanitaire et médicale, menée par le Maroc sous la direction du Roi Mohammed VI, pour alléger les souffrances de nos frères à Gaza. » Un témoignage de plus qui illustre la position constante du Royaume : défendre les opprimés par des actes concrets, et non par des cris. Pour Saïd Khaled Al-Husseini, président du Congrès de Jérusalem, « Rabat a toujours été en première ligne dans le soutien à la cause palestinienne. Cette initiative n'est qu'un exemple de plus. » De même, Samah Mroueh, ministre palestinienne du Développement social, a exprimé sa reconnaissance en déclarant : « Nous remercions Sa Majesté le Roi et saluons le peuple marocain pour son soutien indéfectible. » Les témoignages se sont succédé, venant de hauts responsables palestiniens tels que le ministre de l'Information, Zuhair Doudin, ou le membre du comité exécutif de l'OLP, Adnan Al-Husseini. Tous s'accordent sur un point : le Maroc était présent sur le terrain, alors que d'autres brillaient par leur absence ; il a agi, pendant que certains se contentaient de discours enflammés. Malheureusement, cette initiative humanitaire noble n'a pas échappé aux tentatives de récupération et de dénigrement politique. Mais le Maroc, confiant dans ses choix, n'y a prêté aucune attention. Pour lui, la cause palestinienne n'est pas un outil de communication ou un levier de calculs étroits, mais un engagement historique et éthique profondément enraciné. Le pont aérien marocain n'était pas seulement un envoi de vivres et de médicaments. Il était un pont de dignité et d'humanité, porteur d'un message unique : le Maroc, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a été et restera un véritable allié de la Palestine, sans chercher les applaudissements, mais en laissant une empreinte durable.