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Forbes : «La candidature marocaine est à prendre au sérieux»
Publié dans Lions De l'Atlas le 15 - 11 - 2017

Le magazine américain «Forbes» avait jugé, dans un article publié le 12 août sur son site Internet, que le Maroc n'avait aucune chance d'obtenir l'organisation de la Coupe du monde 2026.
Trois mois plus tard, le même magazine a changé son point de vue et assure dans un article publié le 8 novembre que «l'Amérique du Nord doit prendre au sérieux la candidature marocaine». Un revirement à 360 degrés. Dans le premier article, il n'y avait pas de véritable analyse, mais plutôt du dénigrement. Une sorte de guerre déclarée à la candidature marocaine. Le second, en revanche, a tenté de faire ressortir les points forts et les points faibles de la candidature marocaine avec un peu plus d'objectivité.
Un temps sous-estimée par le magazine «Forbes», la candidature marocaine pour l'organisation de la Coupe du monde 2026 commence à faire paniquer outre-Atlantique. Dans un article publié sur son site Internet le 8 novembre et intitulé «Coupe du monde 2026 : pourquoi l'Amérique doit prendre au sérieux la candidature marocaine», le magazine a énuméré les points forts de la candidature du Royaume. Le premier est le soutien indéfectible de la Confédération africaine de football (CAF). En effet, le président de la CAF Ahmad Ahmad a promis à plusieurs reprises de soutenir le Maroc. Les pays arabes sont également acquis à la candidature marocaine. Le magazine souligne également que l'Europe a des raisons de voter également pour le Maroc en raison de sa proximité du Vieux Continent – ce qui faciliterait le déplacement des supporters – et du fait que le pays partage le même fuseau horaire avec l'Europe.
L'appui de la FIFA
Selon le magazine américain, l'autre argument fort en faveur de la candidature marocaine est les déclarations favorables du président de la FIFA, Gianni Infantino, qui avait indiqué que «le Maroc est capable d'accueillir la Coupe du monde, et qu'il avait déjà accueilli à deux reprises la Coupe du monde des clubs». «Forbes» met également en avant l'injustice qu'a subie le Maroc en 2010. Une injustice semblable à celle subie par les Etats-Unis lors de l'attribution de la Coupe du monde 2022, écrit le magazine. À cela s'ajoute le fait que la FIFA veut développer le football dans diverses régions du monde. Le Royaume qui n'a pas encore organisé de Coupe du monde, pourrait, d'après le magazine, être soutenu par la FIFA, contrairement aux Etats-Unis qui ont déjà abrité cet événement en 1994 et au Mexique qui eu l'honneur de l'abriter à deux reprises, en 1970 et 1986.
Le magazine américain a également énuméré les faiblesses de la candidature marocaine, mais a fini par mettre en garde le Comité d'organisation des Etats-Unis afin qu'il ne dorme pas sur ses lauriers. Pourtant, il y a trois mois, «Forbes» avait pondu un article dans lequel il réduisait à néant les chances de la candidature marocaine, intitulé «Pourquoi l'Amérique ne doit pas se soucier de la candidature marocaine». L'auteur de l'article était alors catégorique : «Le Maroc n'est pas préparé à organiser la Coupe du monde 2026 à 48 équipes et l'Amérique n'a pas de soucis à se faire». Trois mois après, le ton a bien changé !
Trois mois plus tard, le même magazine a changé son point de vue et assure dans un article publié le 8 novembre que «l'Amérique du Nord doit prendre au sérieux la candidature marocaine». Un revirement à 360 degrés. Dans le premier article, il n'y avait pas de véritable analyse, mais plutôt du dénigrement. Une sorte de guerre déclarée à la candidature marocaine. Le second, en revanche, a tenté de faire ressortir les points forts et les points faibles de la candidature marocaine avec un peu plus d'objectivité.
Un temps sous-estimée par le magazine «Forbes», la candidature marocaine pour l'organisation de la Coupe du monde 2026 commence à faire paniquer outre-Atlantique. Dans un article publié sur son site Internet le 8 novembre et intitulé «Coupe du monde 2026 : pourquoi l'Amérique doit prendre au sérieux la candidature marocaine», le magazine a énuméré les points forts de la candidature du Royaume. Le premier est le soutien indéfectible de la Confédération africaine de football (CAF). En effet, le président de la CAF Ahmad Ahmad a promis à plusieurs reprises de soutenir le Maroc. Les pays arabes sont également acquis à la candidature marocaine. Le magazine souligne également que l'Europe a des raisons de voter également pour le Maroc en raison de sa proximité du Vieux Continent – ce qui faciliterait le déplacement des supporters – et du fait que le pays partage le même fuseau horaire avec l'Europe.
L'appui de la FIFA
Selon le magazine américain, l'autre argument fort en faveur de la candidature marocaine est les déclarations favorables du président de la FIFA, Gianni Infantino, qui avait indiqué que «le Maroc est capable d'accueillir la Coupe du monde, et qu'il avait déjà accueilli à deux reprises la Coupe du monde des clubs». «Forbes» met également en avant l'injustice qu'a subie le Maroc en 2010. Une injustice semblable à celle subie par les Etats-Unis lors de l'attribution de la Coupe du monde 2022, écrit le magazine. À cela s'ajoute le fait que la FIFA veut développer le football dans diverses régions du monde. Le Royaume qui n'a pas encore organisé de Coupe du monde, pourrait, d'après le magazine, être soutenu par la FIFA, contrairement aux Etats-Unis qui ont déjà abrité cet événement en 1994 et au Mexique qui eu l'honneur de l'abriter à deux reprises, en 1970 et 1986.
Le magazine américain a également énuméré les faiblesses de la candidature marocaine, mais a fini par mettre en garde le Comité d'organisation des Etats-Unis afin qu'il ne dorme pas sur ses lauriers. Pourtant, il y a trois mois, «Forbes» avait pondu un article dans lequel il réduisait à néant les chances de la candidature marocaine, intitulé «Pourquoi l'Amérique ne doit pas se soucier de la candidature marocaine». L'auteur de l'article était alors catégorique : «Le Maroc n'est pas préparé à organiser la Coupe du monde 2026 à 48 équipes et l'Amérique n'a pas de soucis à se faire». Trois mois après, le ton a bien changé !


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