Sur le front économique, c'est, en quelque sorte, le sauve-qui-peut, chaque pays essayant de s'en sortir tant bien que mal. Chômage, inflation, déficit commercial, augmentation de l'endettement, budgets dans l'impasse, les désagréments sont nombreux et ils font tomber des gouvernements. Les peuples de l'occident sont devenus ingouvernables d'où la succession de gouvernements toujours contestés alors que les élections anticipées sont devenues presque la norme. Dans cette ambiance morose, la démocratie occidentale vit des moments difficiles; Des groupes politiques désavoués par les urnes vont investir les rues, bloquer les villes et les institutions pour imposer leur politique. Par la force et la violence. Les urnes ne veulent plus rien dire pour eux. Plusieurs forces, pourtant incompatibles entre elles, se sont liguées contre la démocratie. Une sorte de communisme artificiel, d'islamisme de guerre et de wokisme de façade se sont ligués contre la démocratie. Des activistes rejetés par la politique tentent de revenir par la violence ou du moins perturber les sociétés par leurs actions « militantes ». Une inconscience monumentale sachant que leur pays et leur civilisation sont menacées par les nouveaux conquérants: Le conquérant économique, la Chine et le conquérant idéologique l'islam. Ce sont les deux causes des troubles que connaissent en ce moment les démocraties occidentales. ` Pour un temps, on a cru que la riposte ne viendrait jamais. Jusqu'à l'arrivée de Donald Trump et ses tarifs douaniers. Non seulement, le président américain a compris les vrais enjeux, mais il a eu le courage d'agir. Le commerce international ne peut plus continuer sur cette lancée. Il faut y mettre de l'ordre. La Chine doit être stoppée. Sur le front idéologique, les sociétés occidentales se sont réveillées. Les prières islamiques dans les rues et devant les édifices de la foi chrétienne ont fini par énerver tout le monde. Aujourd'hui, les citoyens ont décidé d'occuper le terrain. Ils manifestent à Montréal, à New York, à Auckland, à Varsovie, à Londres et dans d'autres grandes métropoles contre l'islamisation et contre l'antisémitisme. Ils font plus de bruit et hissent très haut les drapeaux de leurs pays. Aucun autre drapeau ne doit être porté chez eux. Le patriotisme revient et les partis politiques qui profitaient du conflit israélo-palestinien en ont eu pour leur frais parce que les citoyens en ont assez de subir le diktat d'organisations dont le fondement même ne reconnaît par les principes démocratiques et qui peuvent aller très loin dans leur action. Avant hier, au coeur de l'université américaine un militant patriote américain a été assassiné alors qu'il parlait lors d'un rassemblement d'étudiants. Image choquante, on a vu l'assassinat en entier. Il était assis, en train de parler, micro à la main, et puis, plus rien. Des coups de feu et le jeune homme de 31 ans a cessé de vivre. La question est de savoir si en le tuant, ses assassins et leurs idéologues vont profiter de l'aubaine. Peu sûr parce que la société américaine et occidentale, en général, a été choquée de la même manière qu'elle l'a été le 11 septembre et le 7 octobre. Elle a compris que les deux dates sont liées et qu'il s'agit du même ennemi. Charlie Kirk est mort, certes, mais son mouvement va s'intensifier et s'exporter à d'autres pays occidentaux. Lorsque le Hamas a lancé son agression terroriste sur Israël, il espérait peut-être que ce serait la fin du conflit. Un pari dont le résultat était connu d'avance. Tous les chefs qui ont imaginé l'attaque et tous ceux qui y ont participé sont morts maintenant. Pendant ce temps là, la balance commerciale de Chine a enregistré un gros excédent. C'est juste pour rappeler aux « militants » occidentaux que leur action va tuer leur économie. C'est juste un suicide.