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Une longue marche pour une «société juste, égalitaire et non violente»
Il y a 57 ans, assassinat de Gandhi
Publié dans L'opinion le 06 - 01 - 2015

Le 30 Janvier 1948, vers 17h30, heure locale, un extrémiste hindou, Nathuram Godse, tue Mohandas Karamchand Gandhi de trois balles alors qu'il se rendait à la prière publique. Gandhi tombait sous les balles d'un fanatique religieux compatriote
et coreligionnaire qui lui reprochait d'être un ennemi de la religion hindoue. Deux millions d'Indiens assisteront
dans la douleur à ses funérailles.Le fait que le Mahatma (la grande âme) soit assassiné par un Hindou
est le symbole même du désaccord existant au sein même d'un peuple qui réclamait sa liberté.
Le grand apôtre de la non-violence tombait alors, victime de la violence.
Dix jours avant son assassinat, il avait été victime d'un attentat à la bombe. Durant un sermon qu'il adressait à la foule, une bombe éclata à quelques pieds de lui. Imperturbable, il poursuivit son sermon sans y prendre garde. Le lendemain, en réponse aux félicitations que l'on lui adressait il répondait : «Je mériterai ces félicitations si un jour, frappé à mort, je garde le sourire et ne ressent aucune haine contre mon assaillant». D'ailleurs, si je dois mourir, dit-il, il vaut mieux que cela soit à la prière. Quant à son agresseur qui faisait partie d'une bande qui avait juré de le tuer, Gandhi demanda à la police de le traiter avec affection dans l'espoir de le convertir à de meilleurs sentiments.
En fin d'après-midi, le 30 janvier 1948, Gandhi quitta Birla House pour se rendre à la prière; soutenu par ses deux petites-nièces, il marchait vite car il était en retard. La foule s'ouvrait devant lui pour le laisser passer. Au moment où il levait les mains pour répondre à la salutation traditionnelle, son assassin se prosterne devant lui, prend son revolver et tire trois balles à bout portant.
Mohandas Karamchand Gandhi est né le 2 octobre 1869 à Porbandar dans l'état du Gujarat. Il est issu de la caste des Vayshia et sa famille est relativement aisée. Enfant, sa mère lui inculque les valeurs hindouistes mais il apprend aussi à connaître les autres religions et la tolérance à leur égard. C'est sans doute pendant cette période que se forgent les convictions morales de Gandhi.
Conformément aux coutumes de sa caste, sa famille le marie à 14 ans avec Kasturbai qui restera son épouse toute sa vie. En grandissant Gandhi devient convaincu qu'il ne sera quelqu'un qu'en rompant avec les coutumes de l'Inde et en copiant le style de vie des anglais. C'est donc logiquement qu'il s'embarque pour l'Angleterre en 1888 en laissant femme et enfant pour y faire ses études de droit.
C'est paradoxalement à Londres que Gandhi lit les principaux textes de l'hindouisme, notamment la Baghavad-Gita qui l'influencera profondément. Il découvre aussi la vie de Bouddha, Mahommed, Jésus et fait la connaissance des théosophes anglais.
Après trois années en Angleterre et son diplôme d'avocat en poche, Gandhi rentre en Inde. Malheureusement sa vie professionnelle s'enlise et il reste tiraillé entre ses racines hindoues et son attirance pour la bourgeoisie occidentale. En 1893 une entreprise indienne lui propose de se rendre en Afrique du Sud pour y défendre ses intérêts lors d'un procès. Gandhi accepte. Il ne le sait pas encore, mais c'est le tournant de sa vie.
Dès son arrivée là-bas il est confronté à la discrimination raciale. Expulsé d'un train il s'aperçoit très vite que les britanniques et le boers dominent sans partage les populations noires et immigrées (à cette époque 100 000 indiens vivent en Afrique du Sud). Il est choqué de voir que les sujets de l'empire britannique ne sont pas traités de la même manière suivant la couleur de leur peau.
En 1894, à l'issu du procès, gagné, pour le lequel il était venu, Gandhi décide de lutter contre une loi visant à interdire aux indiens le droit d'élire des représentants à l'assemblée de l'état du Natal. Il fait signer une pétition à 10 000 personnes et obtient le retrait du projet de loi. Gandhi avait surtout réussi à faire prendre conscience aux indiens qu'il fallait s'unir. Devenu populaire, Gandhi décide de poursuivre le combat. En 1896 il va chercher sa femme et ses enfants en Inde et revient en Afrique du Sud. Il travaille comme avocat jusqu'en 1899. La guerre des Boers éclate alors et Gandhi appelle ses compatriotes à soutenir les anglais.
En 1906 une nouvelle loi ségrégationniste est votée au Transvall. Elle enjoint les asiatiques à se faire inscrire sur des listes destinées à contrôler de près leurs activités. Gandhi réussit à convaincre 3000 délégués de ne pas se soumettre à la nouvelle loi et de résister quel qu'en soit le coût, mais sans violence. Gandhi est arrêté et incarcéré pendant six mois. En 1909 il publie «Hind Swaraj», livre dans lequel il développe les théories du combat par la non-violence : la satyagraha.
Pendant huit ans, Gandhi ne cessera de s'opposer aux lois ségrégationnistes et au Général Smuts ce qui lui vaudra d'autres séjours en prison. Finalement, le 30 juin 1914, Smuts et Gandhi signent un accord sur l'abrogation d'une grande partie des lois raciales. Le 18 juillet 1914 Gandhi quitte l'Afrique du Sud pour toujours et rentre en Inde.
Il décide, dès son retour, de partir à la découverte de son pays natal. Son périple dure un an à l'issue duquel il établit un ashram près d'Ahmedabad. Son nom est désormais associé à la lutte contre l'injustice. C'est pourquoi, début 1917, Gandhi se rend au Bihar à l'appel des cultivateurs de l'indigo exploités sans vergogne par les industriels anglais. Devant les risques d'émeutes, le gouvernement donne satisfaction aux planteurs.
À peine rentré à Ahmedabad, Gandhi soutient un mouvement de grève des ouvriers textiles et utilise, pour la première fois, le jeûne pour faire pression sur les patrons et pour marquer son entière solidarité avec les grévistes.
À la fin de la première guerre mondiale, pendant laquelle Gandhi avait appelé au soutient de l'effort de guerre, il présente aux britanniques ses premières revendications d'autonomie pour l'Inde. Le 6 avril 1919, pour impressionner les anglais, Gandhi appelle le peuple à manifester publiquement dans tout le pays et à cesser toute activité. La manifestation est un énorme succès. Le 13 avril, à Amritsar, la population manifeste de nouveau malgré l'interdiction. Le général Dyer ordonne alors à ses hommes de tirer sur la foule pacifique. Le bilan est effroyable : plus de 300 morts et plus de 1000 blessés. Horrifié, Gandhi suspend immédiatement la satyagraha.
En 1920 il repense ses moyens d'action. Soutenu par le parti du Congrès et par les musulmans, il appelle à la non coopération avec l'administration britannique et se prononce pour le boycott des produits textiles d'origine européenne. L'Inde tout entière bouge et la tension ne cesse de monter. De nombreux leaders sont emprisonnés et des affrontements ont lieu. Pendant l'un d'eux, 22 policiers sont lynchés par la foule. Le Mahatma, comme on l'appelle désormais, décide de mettre fin à toute action.
Il est cependant arrêté puis condamné à 6 ans de prison. Il restera emprisonné 2 ans pendant lesquels le mouvement va sensiblement s'essouffler.
À sa sortie de prison, Gandhi appelle à la cohésion nationale et il réclame l'égalité sociale pour les intouchables qu'il appelle affectueusement les harijans («enfants de Dieu»). Il mènera d'ailleurs deux grèves de la faim pour qu'ils puissent entrer dans les temples.
Au début des années 30, Gandhi a retrouvé toute sa fougue. Il bénéficie d'une influence considérable. À chacun de ses mots d'ordre l'Inde s'immobilise. Le 12 mars 1930 le Mahatma entreprend son action la plus célèbre : la marche du sel. Son objectif est de dénoncer le monopole anglais de la vente du sel. Pendant 24 jours et sur 350 km le cortège ne cessera de gonfler. Arrivé à son but Gandhi ramasse une poignée de sel et annonce qu'il commence la désobéissance civile. Il est de nouveau arrêté.
En janvier 1931 le Vice-Roi Lord Irving le fait libérer. Il échange la libération des prisonniers politiques et la fin des lois sur le sel contre la fin de la désobéissance civile et la participation de Gandhi à une conférence organisée à Londres. Celui-ci accepte et en profite pour visiter l'Europe. Cette table ronde ne sera suivie d'aucun changement notable sur la politique indienne d'autant que Churchill arrive au pouvoir avec l'intention d'écraser le Parti du Congrès. Des milliers de militants sont bientôt arrêtés. En août 1932 Gandhi est jeté en prison. Les dissensions entre les communautés s'aggravent et les droits des intouchables sont menacés. Le 20 septembre le Mahatma entreprend une nouvelle grève de la faim. Le gouvernement britannique plie devant la menace de la mort de Gandhi devenu très populaire en Europe.
En 1934 Gandhi se retire de la politique en tant que telle, préférant la laisser aux jeunes leaders du Congrès dont Nehru. Il continue en revanche de se battre pour la cohésion entre les communautés et pour l'éducation des masses, ce qui lui vaudra l'inimitié des extrémistes hindous. Cette année là, Gandhi échappe à la première des cinq tentatives d'assassinat dont il fera l'objet.
Lors des élections de 1937, le Congrès obtient la majorité écrasante au parlement indien. Dès lors la marche vers l'autonomie et l'indépendance semble inéluctable.
Lorsqu'éclate la seconde guerre mondiale en 1939, Gandhi refuse de s'engager aux côtés des anglais. Il affirme que seule une Inde indépendante pourrait contribuer à la lutte contre les nazis. En 1942 il lance même son fameux slogan «Quit India». Il enjoint les britanniques à partir au plus vite et relance le mouvement de désobéissance civile. Lui et les dirigeants du Congrès sont arrêtés après que des émeutes aient éclaté. Sa femme Kasturbai meurt lors de sa détention. En 1944 Churchill le fait libérer.
Après la guerre, les travaillistes d'Atlee arrivent au pouvoir en Angleterre. Le Premier Ministre est bien décidé à mener le processus d'indépendance à son terme. Lord Mountbatten est nommé Vice-roi avec cette mission. C'est alors que les communautés musulmane et hindoue se déchirent. La Ligue Musulmane de Mohammed Ali Jinnah ne cesse en effet de réclamer la création d'un état indépendant à majorité musulmane.
Gandhi, lui, reste attaché plus que tout à l'unité de l'Inde. Jinnah refuse de participer au gouvernement provisoire de Nehru et appelle à une journée d'insurrection le 16 août 1946. Elle se solde par des milliers de morts dont au moins 5000 à Calcutta.
Gandhi use de toute son influence pour éviter la partition mais le 15 août 1947 Lord Mountbatten annonce l'indépendance de deux nouvelles nations : le Pakistan et l'Inde.
On assiste alors à l'exode meurtrier de plusieurs millions de personnes. Les sacs, les meurtres, les règlements de compte en tous genres feront entre un et deux millions de victimes. Épouvanté par la situation, notamment à Calcutta, Gandhi décide de jeûner jusqu'à la mort. Nehru fait alors tout ce qui est en son pouvoir pour mettre fin aux massacres. Il y parvient d'extrême justesse et Gandhi se nourrit à nouveau. Pourtant la colère des extrémistes n'est pas retombée. Ceux du côté hindou notamment tiennent rigueur à Gandhi de sa trop grande mansuétude à l'égard des musulmans.
Le 30 janvier 1948, l'un d'eux, Nathuram Godse, l'abat à Delhi. «Hé Ram» seront les dernières paroles du Père de la Nation.
Sa mort provoque une émotion internationale. À Delhi plus de deux millions de d'indiens assisteront à ses funérailles nationales.
Aujourd'hui encore l'empreinte de Gandhi est vivante en Inde même si la société juste, égalitaire et non violente dont il avait rêvé reste à construire.
L'hégémonie anglaise sur le sous-continent indien remonte au milieu du XVIIIe siècle.
Profitant du déclin de l'empire moghol établi à Delhi... et de l'éviction de leurs rivaux français conduits par Dupleix, des marchands anglais réunis au sein de la Compagnie des Indes orientales avaient peu à peu subjugué les États de la péninsule et soumis les princes hindous.
En 1867, la reine Victoria avait reçu de son Premier ministre Benjamin Disraëli le titre d'impératrice des Indes. Dès lors, le gouvernement de Londres allait remplacer officiellement la Compagnie dans la gestion de l'immense sous-continent.
Usant habilement des rivalités entre princes, castes et religions, les Anglais allaient réussir à maintenir l'Inde dans une paix relative pendant près de 80 ans tout en maintenant sur place une présence dérisoire. A peine quelques 7.000 Européens.
Gandhi doit son surnom de Mahatma au poète Tagore. Le mot Mahatma («Grande âme») appartient à la langue hindie, majoritaire au nord de l'Inde. On peut reconnaître dans cette expression les mêmes racines que dans les mots latins major («grand») et anima («âme»). De la même façon, le mot Maharadjah («Grand roi») a les mêmes racines que les mots latins major et rex («roi»).
Grâce à des observations de cette sorte, les linguistes du début du XIXe siècle ont mis en évidence une parenté commune entre les Européens et les habitants du nord de l'Inde.
Gordon Childe, un grand préhistorien britannique du début du XXe siècle, a pensé que les uns et les autres descendaient de tribus originaires des pays du Don et de la Volga, en Russie.
Ces tribus parlaient à l'origine la même langue. Elles auraient migré, 4000 ans avant JC, qui vers l'Europe, qui vers la Perse et l'Inde. Les découvertes archéologiques les plus récentes donnent à croire qu'elles seraient en fait originaires d'Anatolie (la Turquie d'Asie) et auraient migré à partir du... VIIIe millénaire avant JC.
Faute de mieux, ces populations (Indiens, Perses, Grecs, Romains, Celtes, Germains et Slaves) sont qualifiées d'Indo-Européens ou d'Indo-Germains par les linguistes.
Max Müller propose pour sa part le terme d'Aryens, d'après l'appellation «ârya» que se sont données celles qui ont migré vers le Pendjab et l'Inde. Ce mot signifie noble.
Le Français Arthur de Gobineau exalte pour la première fois en 1853 la prétendue supériorité raciale des Aryens dans son Essai sur l'inégalité des races humaines.
Dans cet ouvrage appelé à une grande célébrité, l'auteur déplore les conséquences du métissage irréversible des populations.
On sait comment les nazis ont dévoyé ces théories savantes pour tenter de démontrer la supériorité de leur race.


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