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L'artiste peintre Mohammed Mansouri nommé Meilleur ambassadeur de la Mondial Art Academia
Publié dans L'opinion le 17 - 06 - 2016

L'artiste Mansouri Idrissi Mohamed est catalogués parmi les meilleurs ambassadeurs de la Mondial Art académie au titre de l'année 2015 , et ce aux cotés de Margarita Chacon Bache ( 2013) , Dominique Lecomte ( 2014) et Armando Fallas Varela ( 2016). Né à Rabat en 1962, Mansouri est président délégué de l'Académie Européenne des Arts de Bruxelles (Belgique). Il est très actif dans le domaine associatif, président de l'Association la Pensée Plastique (Rabat) qui a pu assurer un partenariat avec la MAP dans le cadre du Froum de la Culture et une autre avec le ministère de la culture, Vice Président du Syndicat Marocain des Artistes Plasticiens Professionnels, membre de l'Association Internationale des Ecrivains et des Artistes ( TOLEDO, USA), membre du Conseil d'Administration de la Coalisions Marocaine de la Culture et des Arts. Il a été sélectionné par le Mondial Art Academia en reconnaissance de la qualité de son travail et de son parcours artistique ainsi que son dévouement à l'art. Il est le premier artiste chercheur du monde arabe et africain à siéger dans cette honorable Académie dont les membres sont très sélectifs. Dans ce contexte, Pierrick Her, président de cet organisme mondial, affirme : « Tous nos ambassadeurs sont généreux et dévoués. Ils ont donné beaucoup de leur temps et de leur énergie afin de faire connaître Mondial Art Academia dans leur pays....et qui continuent ponctuellement semaines après semaines.... Un artiste se doit selon nous de représenter son pays dans la dignité et la consistance. Il y a en art moderne, une grande quantité d'artistes, on peut les féliciter pour leur travail et moyen d'expression, néanmoins la qualité n'est pas toujours au rendez-vous. En ce qui me concerne, je préfère le grand art, la technicité, la recherche d'harmonie à la provocation, sans pour autant défendre un schéma standardisé. Mansouri répond à nos critères. Les titres chevaleresques historiquement existent principalement depuis le moyen-âge, pour valoriser et récompenser les artistes, les artisans ayant contribué par leur art, à la grandeur de la France. Ils recevaient un titre chevaleresque, chevalier, officier, commandeur etc... En fonction de leurs parcours professionnel, représentant des années de travail. Napoléon a repris les mêmes concepts pour récompenser les militaires méritants en instaurant la légion d›honneur. Les autres titres chevaleresques, mettent en exergue la culture, les arts, le dévouement. Les hôpitaux, la Croix Rouge, et nous-mêmes rentrons dans ce cadre. En effet, nous sommes totalement ouverts à un partenariat artistique avec le Maroc. Nous avons déjà quelques excellents artistes marocains dans notre académie et nous avons missionné Sidi Mohammed Mansouri Idrissi, en lequel nous avons une grande confiance, pour nous présenter des artistes de qualité. Notre but est d›organiser avec le Maroc une grande exposition internationale où nous pourrons inviter des artistes marocains sélectionnés, pour un grand échange culturel.».
Sur son acte plastique, Mansouri précise : « Avec mon style personnalisé, je fais de la couleur mon champ plastique. Et c'est par la seule technique de l'empreinte que j'imprime les formes aux éléments constituant ma toile. Je veux que celui qui regarde ma toile soit en mesure de se défaire de sa paresse et de sa vision du monde subjective pour décoller pour un rêve continu et toujours renouvelé et naviguer de conserve avec les cadences rythmées de la couleur. Formes et créatures excentriques s'y échangent leurs tonalités respectives, corps à l'état de transe n'arrêtent pas d'y pinailler subtilement. ». Et d'ajouter : « Le monde rendu dans la toile n'invite pas uniquement le récepteur à prendre l'onirisme de la couleur en marche et générant ses mouvements et ses formes, ses signes et ses multiples dimensions, mais t'invite également à ne voir que ce que tu voudrais voir, car à coup sûr, tu ne verras que ce que tes yeux sont en mesure de voir et de percevoir. Tu verras des vallées et des steppes, des nuages dans tous leurs états, des ténèbres, mais aussi celles dont tu ne soupçonnais pas même l'existence en ton âme. Tu verras la couleur des fois attenant la couleur et d'autre fois l'envahissant et la couvrant. Tu verras des couleurs impulsives s'extasier dans un tourbillon vertigineux. Transes extatiques et rites pour abolir les formes et les absorber comme pour amener son spectateur à les recréer par la force d'une cosmologie le transformant en un spectateur actif en interaction avec l'œuvre dont il restitue les signes et les codes. La toile devient un microcosme rassemblant créatures et formes, illuminations et esprits purs ; l'ensemble évoluant dans un monde à la fois céleste et chthonien. Un monde où le rêve devient réel dans sa perception matérielle : épiphanie apparue aux pôles du soufisme et que je veux qu'elle se manifeste au mystique qui sommeille en nous. J'aimerais bien rappeler la citation éclairée d'un grand critique d'art qui a écrit sur mon acte pictural un article consistant dont voici un extrait : « Mansouri, partant du colorant de la nature, abandonne sa palette aux caprices de la lumière qui lui fait subir ses métamorphoses chromatiques et discursives. Le rendu en est des claires-obscures, images et musique, formes et silhouettes, apparents et caché, aplats et fondus dans un tourbillon vertigineux et une transcendance Excelsior allant au-delà des limites de la toile. Mansouri met sa palette dans tous ces états et prend un malin plaisir à provoquer l'étonnement du spectateur, appelé à marquer un temps d'arrêt pour méditer un tant soit peu ce monde d'abondance, aux contours fantomatiques obtenus par sa seule palette source (le colorant de la nature). Une peinture qui génère ses nombreuses couleurs à l'infini, travaillées par l'usage de diverses empreintes en tant que toile de fond et à même d'occasionner tantôt l'émerveillement, tantôt la perplexité du spectateur. ».

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