Mohamed Nait Youssef La Coupe du monde 2022 bat son plein au Qatar. Ce championnat du monde coupe les souffles ces temps-ci. Les temps sont arrêtés et les regards sont rivés sur le stade Al Bayt. Quelle magie !!! Quel mystère !! Ce ballon rond tourne les têtes. Les yeux s'allument. L'émotion au summum. Ce sport de masse fait rêver les gens. Ce sport universel a réuni les populations. Ce ballon rond et magique a fédéré les peuples, peu importe leurs religions, langues, identités et origines. Le football est un langage universel, mais aussi un temps fort pour fêter la fête. C'est un condensé de sensations, un rêve partagé. C'est un constat ! Ce que la politique n'a pas pu concrétiser, le spectacle sportif l'a fait : faire rêver les gens et les réunir. Le football incarne ainsi toutes les contradictions et les émotions : la gloire, la défaite, le possible, l'inachevé... Quelle magie !!! Quel mystère !!! Ce ballon rond tourne les têtes. Il nous a fait oublier la guerre d'Ukraine, la hausse des prix et les maux profonds du monde. Une pause s'impose. Les temps se sont arrêtés et les regards sont tournés vers les stades Qataris. En effet, au-delà de tout quelconque enjeu, le football est aussi source de plaisir, de joie. Et c'est aussi une manière de comprendre des mentalités, de découvrir des comportements et des cultures. Pour le meilleur et pour le pire, chaque peuple soutien son équipe jusqu'au dernier sifflet. Et, à peine, l'aventure a commencé... Quelle magie ! Quel mystère ! Ce ballon rond tourne les têtes. Ce rendez-vous sportif planétaire offre aussi aux supporters et spectateurs des instants de beauté et de jouissance. Les grands hommes font de grands matchs, tandis que les meilleurs se battent pour l'histoire. A vrai dire, la beauté du geste, la grâce, la résilience, la prise de risque, l'intelligence, l'art et la manière y sont pour quelque chose. Le football n'est qu'un simple sport. Etrange: ce ballon rond gonflé de vent et de rêves à la fois éphémères et éternels. Les yeux s'allument. L'émotion au summum. Bons vents aux Lions de l'Atlas!