Qu'attendent encore la junte algérienne et sa marionnette séparatiste pour lever le torchon blanc et se rendre à l'évidence? Après la quasi-moitié du siècle de menterie et d'impostures sur une terre historiquement et légalement au profit de ses légitimes propriétaires, ils ne font finalement que cumuler de cinglants revers et de cuisants discrédits. Récemment encore aux Nations Unis, lors d'un débat ouvert au conseil de sécurité sur : «Rôle des jeunes dans la lutte contre le défi sécuritaire en Méditerranée», le chef de la diplomatie algéroise s'est montré «grincheux» à l'égard du Sahara marocain en émettant des propos louvoyants. En réplique à ces fantaisies, le représentant permanent de notre pays auprès de l'instance onusienne eut rappelé l'irréversibilité de l'appartenance des provinces récupérées à la mère patrie. En fait, cette attitude en biais, entachée d'amalgame par rapport à la question palestinienne dont le Souverain préside le comité d'Al Qods et à laquelle il ne cesse d'apporter le soutien sans compter, ne ferait qu'attiser l'instabilité et le terrorisme dans la région. Ce comportement malsain s'en prend même au club de Berkane pour avoir porté un maillot frappé de la carte géographique du royaume au complet.Alors que la junte militariste verse dans la dérision, le Maroc multiplie les prouesses et conforte sa présence sur l'échiquier mondial, à travers son réalisme et surtout la confiance dont il jouit à grande échelle. Son aura infaillible franchit les frontières, en dépit des coups bas fomentés par la soldatesque, de par ses valeurs mises en avant, un peu partout dans le monde. Il s'en va s'approprier l'hydrogène vert, se frayer les façades Atlantiques au profit de l'Africanité, se faire sienne l'intelligence artificielle au sein de ses innovations multidisciplinaires, s'ériger en partenaire fiable dans les réciprocités diverses et multiples, accéder au registre des Nations Emergentes dans la clarté et le respect... Ses vertus en tant qu'entité séculaire conduite par une Monarchie sage et agissante au service de Peuple dévoué et vaillant, sont un réel modèle pour le reste du monde, excepté son voisin de l'est qui s'enrage et perd le nord.Psychopathe, l'Algérie ne s'en remettra jamais tel un sanglier blessé qui charge dans tous les sens. Mais, elle ne se rend peut-être pas compte de la justesse de la cause marocaine qui se propage partout dans la raison et le cœur de la communauté internationale. Cette myopie de la junte vexée rappelle la position du romancier de la gauche Sud-américaine, le colombien Gabriel Garcia Marqués quand les autorités américaines lui refusent l'octroi de visa pour aller en terre de l'oncle Sam, récupérer pour son chef-d'œuvre, «Cent ans de solitude». Le lauréat du prix Nobel de littérature rétorquait aux américains par cette fameuse citation : «Ces nigauds ne savent pas que l'effet de l'écrivain n'est pas du tout corporel mais intellectuel car les idées se sont déjà infiltrées sans visa !».
