La société Royal Road Minerals, cotée à la Bourse de croissance de Toronto sous le symbole RYR, a annoncé que ses actions ordinaires sont désormais également négociées sur le marché OTCQB aux Etats-Unis sous le code RRDMF, une démarche destinée à accroître l'accessibilité de son capital aux investisseurs nord-américains. L'entreprise, dont le siège est situé à Jersey (îles Anglo-Normandes), conserve sa cotation principale sur le TSX Venture Exchange (TSXV). Cette cotation parallèle devrait faciliter les échanges transfrontaliers, tout en élargissant le périmètre des opérations boursières de la société. Fondée sur un modèle d'exploration minière rigoureux, Royal Road Minerals concentre ses travaux sur la mise en valeur de gisements de cuivre et d'or à fort potentiel, tout en affichant une préoccupation constante pour la préservation des milieux naturels. Présence géographique étendue et méthode discrète Outre ses recherches en Arabie saoudite et en Colombie, la société a initié des campagnes de prospection au Maroc, témoignant d'une volonté manifeste de structurer ses efforts dans des régions géologiquement contrastées mais complémentaires. Elle revendique une approche fondée sur l'observation patiente des données sédimentaires et tectoniques, privilégiant les avancées durables aux gesticulations spéculatives. Equilibre entre attractivité financière et exigences environnementales Dans une brève déclaration, la direction a souligné que cette admission au OTCQB offre aux investisseurs américains «une voie plus fluide pour s'exposer à nos projets», sans modifier le calendrier ni l'architecture stratégique des campagnes d'exploration en cours. L'entreprise affirme vouloir conjuguer prudence géologique, exigence scientifique et sobriété dans l'exploitation des sols, refusant toute précipitation dans ses projets extractifs. Les autorités financières canadiennes ont d'ailleurs salué l'ancrage de la société dans un dispositif réglementaire exemplaire, conforme aux standards du TSXV et du OTCQB. Royal Road Minerals entend poursuivre ses activités sans renier les engagements qu'elle a pris en matière de préservation des habitats, s'appuyant sur des expertises locales et une lecture fine des écosystèmes concernés.